Très grands moments dans ce lieu culte qui mérite de vivre à l’infini !!!
JOY/DISASTER
Longue vie à l’Usine,ne baissez jamais les bras! pour que la musique et l’independance vivra!
Bernd psycholights
DOMMAGE pour une assoc’ artistique comme vous de ne pas prendre les piéces ( pas les centimes : les euros entiers ) ALORS QUE DEMAIN VOUS SEREZ à LA PORTE DU TRAM ENCORE PLUS QU’ AUJOURD’ HUI ….. ( une double compta… change… c’ est pas si compliqué !!! et franchement, demain avec le tram on vivra ensemble quoi !!! (émoticon triste)
fredpitch
AVEC L’USINE FOREVER <3
DESIRELESS
On vous soutien, on vous aime !
Denis prem
Ne les laissons pas faire notre musique nous appartiens!!L’Usine doit être et rester et grandir!! Leur mensonges politicosoporifique continurlns
Klém
Merci d’être la et d’exister 😉
Clo' Usinienne ;)
… plus capable de se mouvoir avec ensemble, en même temps que chacun […] a plus de mouvements propres[…] Chaque organe, en effet, y a sa physionomie spéciale, son autonomie, et pourtant l’unité de l’organisme est d’autant plus grande que cette individuation des parties est plus marquée. Vive l’Usine !!!
le genou vrillé
Je soutien l’usine !
« Si il y avais un impo sur la connerie,l’État s’autofinancerait.’
Peuf
J’etait à Geneve, jeune etudiant, avant meme l’Usine est etablit. Je me souviens les batailles, les successes, l’ouverture et l’arrivée de l’Usine. Pas possible que ca soit menacé, c’etait et ca demeure un phare de comment ca peu etre. Continuons! Luttons-nous…!
Jason Prince, urbaniste, Montreal, Canada
Bravo l’Usine, la persévérance et la ténacité ont permis de gagner une bataille. Gageons cependant qu’il va falloir rester extrêmement vigilant pour que la culture alternative soit respectée dans son originalité et la richesse de ses apports. Vive l’Usine!!!
Favre Béatrice
Tralala je soutiens, tralala le festif, tougadî, scoubidou, ragnagni, ragnagnà. Clap,clap, bouge ton cul la culture……….tuturututu, chgling glong, prout de splouf, cochonnail au pouvoir!
Giorgio(Santo)Zambelli
HAPPY NEW YEAR à Toute l’équipe, Merci encore pour cette magnifique soirée Cyber Punk. Belle organisation, même sans préloc… lol.
Bisous à Tous, PEACE & LOVE & ACID FOREVER. Les 2 chapeaux magiques 😉
David Double Dose & Babs, Vallée de Joux, Les Bioux
Si l’USINE s’effondre, c’est une citadelle de la CULTURE et du bon vivre qui s’écroule. Je soutiens l’USINE, car c’est à la fois un repère, un emblème, des concerts, des souvenirs, des nouvelles rencontres. Et la CULTURE lutte toujours
Naumi
Parce que des centaines de groupes y sont passés, parce que j’ai eu la chance d’y jouer. Ce lieu à été et sera un tremplin pour bon nombre d’artistes! Pour que l’ont puisse toujours dire ça n’a pas changer, j’y allais quand j’avais 20 ans. Parce qu’on continuera à y aller !
Daniel
Soutenons l’usine et tous les centres alternatifs en suisse ! Nous avons besoin de gens qui réfléchissent plus loin, des lieux de révolutions et si nous voulons changer les choses, il faut qu’on se sert les coudes ! Toutes les personnes alternatives !
FreeWorld
Les attaques contre la culture, une maladie dégénérative.
Un climat morose s’est installé durant l’automne. Sur fond de bagarre budgétaire, on tire à l’arme lourde sur toutes les institutions, qu’elles soient étatiques ou non.
On en vient même à tirer sur le pianiste.
Les édiles du canton aussi bien que de la ville de Genève, campés trop souvent droit dans leurs bottes de mépris et de suffisance, s’unissent pour détruire les cellules les plus vitales de notre société. Leurs décisions agissent comme une maladie dégénérative; elles s’insinuent dans les organes les plus fragiles que sont les lieux de culture et de création et en détruisent insidieusement le fonctionnement par asphyxie.
Au chevet des malades se battent ceux qui ont compris qu’en tuant un organe, on tue la société.
La création culturelle peine à trouver le soutien politique qu’elle mérite. Les maladies dégénératives touchent des minorités et ne rapportent pas assez, en termes d’espèces sonnantes et trébuchantes; elles ne suscitent que peu d’intérêt malheureusement.
Et pourtant, combien d’artistes, méconnus de leur vivant, ont apporté à l’humanité un regard, une réflexion, un courant, inédits, reconnus bien plus tard et désormais partie intégrante d’un patrimoine culturel riche à la portée de tous.
Ne pas soutenir la culture, laisser aujourd’hui la maladie des coupes budgétaires la miner de l’intérieur, c’est priver les générations futures d’un patrimoine culturel qui contribue à forger l’esprit critique. C’est appauvrir l’humanité.
Béatrice Favre
L’usine, grand et beau débat.
Je n’ai toujours pas compris qui on dérangeait ? Est-ce les soirées du Zoo ou de l’Usine qui pousse les voisins à bout?
C’est vrai que Genève n’est pas une ville que l’on peut qualifier vivante surprise un groupe de jeune qui se lâche après une semaine de travail intense en tapant du pied,riant, buvant et ne faisant que du mal à leur cerveau en les mettant à l’envers pour respirer un coup dans ce monde de coincés. Nous acceptons dans cette ville des salons à Champagne pour les internationaux qui veulent »changer d’aire » avec une jolie escort mais certains se plaignent que le seul lieu où on peut rentrer sans talons et sans devoir faire des monstres »show-off » pour passer la queue.
Bref, je suis convaincue que si toute l’organisation s’arrête, Geneve perdra son côté contemporain et ouvert.
Mlk
ON A FAIM! ON VEUT DE LA CULTURE!
ON A SOIF! TOUCHE PAS À NOS BUVETTES!
LONGUE VIE À L’USINE et AUX EMPÊCHEURS DE TOURNER EN CHIFFRES
Estelle Germain, actrice culturelle
For the defence of cultural spaces everywhere!
James R Payne, Senior lecturer in Architecture, The Cass, London
l’USINE bastion de CULTURE, diversité rassemblée,
l’USINE fait du THÉÂTRE une pensée, du pain pour la foule,
l’USINE existe et la CULTURE à travers l’USINE,
l’USINE arrose les esprits, libéralité, générosité,
l’USINE richesse partagée équitablement entre celles et ceux qui aiment l’esprit la pensée,
l’USINE lumière dans un monde absurde et uniformisé,
Genève sera elle encore ville de lumières sans l’USINE ?
Ignacio Llusia
Laissez-nous notre chère usine !
morgane
Je suis allé pour première fois visiter l’Usine lors de la journée portes ouvertes. J’étais impressionné par la vitalité, la créativité, l’engagement des personnes que j’ai rencontrées, et de la diversité des activités proposées. J’ai aussi été désabusé de pleins d’a priori sur cet endroit. Chapeau à tou-te-s ceux/celles qui font vibrer l’Usine! La culture est une plante délicate qu’il faut nourrir. Il faut aussi l’arroser, dans l’occurrence grâce aux buvettes placées à des endroits stratégiques afin d’encourager encore plus d’échanges, sans parler de tout simplement faciliter de passer un bon moment ensemble. Elles ne constituent évidemment pas le but et l’objectif des lieux, tout le monde peut voir cela. La nouvelle loi ne menace pas uniquement l’Usine, même si celle-ci s’est mise sur la ligne de front pour l’opposer. Nos « représentant-e-s » devraient comprendre que toute association culturelle va en subir les conséquences.
Nigel Lindup
C est un endroit rêvée pour faire la fête il ne faut pas l’enlever
Alexis
Les weekends seraient bien trop vide sans l’usine
RS
Je soutiens l’Usine depuis toujours, la culture a besoin de diversité pour exister et apporter de la dignité au nom qu’elle porte.
Le Blevennec Roland
La Culture genevoise a besoin de l’Usine, ce formidable lieu de rencontres artistiques, culturelles et humaines.
CLAIRE TALLIA directrice artistique d'ARCODIS
Fight for l’Usine, pour la créativité et la culture!!
Seb, Musicien
Many apologies for taking so long to respond to this appeal. What you write is deeply disturbing, especially in this historic moment when the power of cinema to bridge divides is needed more than ever.
When I was in Geneva I couldn’t but help noticing how Black Movie, and its associates, act as magnets for an alternative, open culture too often swept under the carpet. Let me know if there is something in addition I can do to express my support.
In solidarity, and with warm wishes,
Jay
Jay Weissberg, journaliste britannique à Variety, membre du Jury de la Critique 2014 au Festival Black Movie
Quel magnifique message pour la culture et la musique (même si je plutôt branchée reggae lol)! Je venais déjà quand j’avais 15 ans… les premiers graffs en face… les jam au piment rouge (sans distinction de frontière merci ) et 20 ans après je prends toujours autant de plaisir à venir et à voir tout ce qui fait notre monde : la diversité !
Evelyne GRILLET
Ne touche pas a l’usine. mon repère de la culture, mon temple d’évasion, mon forum du contre-pouvoir et de la liberté. Dernier vestige du geneve underground, qui nous laisse l’espoir d’un monde différent, meilleure, d’intégration et de partage dans une époque et une ville qui ressemble dangereusement a un bunker isolé et a l’écart du monde.
olivier Hubert
La culture a besoin de ces lieux qui nous offrent du rêve. Sans connaître l’Usine, je sais que, comme d’autres lieux en Romandie, elle fait vivre tout un monde, et que comme ailleurs aujourd’hui, elle doit lutter pour subsister. Courage!
Yaëlle Dällenbach
En cet age où les innombrables actes de destructions s’accordent à massacrer tout ce qui met en péril l’inertie des pouvoirs, les étendards s’unissent sur tous les fronts. Battons nous avec tous nos idéaux, face au cynisme et à la sinistrose qui nécrosent notre société, notre monde.
Les pirates du Pantographe
Ondine, collectif Pantographe
le règne du pognon, cache misère de l’ignorance, outil de pouvoir des inconscients.
elisabeth burch, artiste plasticienne
Ne perdons pas l’Usine!
Mena Avolio (Chorégraphe)
Parce-que j’ai connu mes meilleurs moments musicaux depuis 2009, parce-que j’ai vu disparaitre le Goulet, parce-que les lieux de culture alternatifs dérangent et tout simplement parce-que si les autorités veulent faire qqch de bien pour le quartier, je les renvoie rue de la Coulouvrenière, là où les voitures s’arrêtent fréquemment et sans doute pas dans un but culturel.
Relange Pascal (FR) Yverdon-les-Bains
On se demande pourquoi l’état ne soutient pas un vrai lieu de rencontre et de mixité autour d’un projet alternatif. Certainement parce qu’il n’a rien à y gagner à court terme électoralement parlant… Je ne connaissais pas l’Usine il y a un an et j’ai été plutôt étonné dans le bon sens par le brassage des populations. Contrairement à ce qu’un politique policé et étriqué pourrait penser, l’usine s’adresse à tout le monde. Et ce besoin de mélanger les communauté est essentiel aujourd’hui encore plus qu’hier. Si ce n’est pas un devoir de l’état qui alors?
Alors Fight for l’usine!!
Fred Réal, Chef d'entreprise
Parce que sans l’usine, le paysage culturel romand ne serait pas le meme, Geneve se doit de faire vivre ce haut lieu de la culture.
Akim (Grinding Rebellion Recs, SAS Delemont)
Pour une culture genevoise libre et juste, nous demandons le respect de l’Usine, plateforme de partage et de quête, qui respire et dialogue, explore et découvre.
LD
Quand l’on demanda à Winston Churchill de couper dans le budget des arts pour l’effort de guerre, il aurait répondu: « Alors pourquoi nous battons-nous ? ». La culture, sous toutes ses formes diverses et variées, est l’essence même de la société, ce qui la définit, la fait avancer, la modifie et l’embellit. STOP aux coupes budgétaires vis à vis de l’art! FIGHT FOR L’USINE!
Thomas Baumeler
Full support !
Lionel Schüll, programmateur au SAS de Delémont et pour l'association MTP (Fours-à-Chaux, St-Ursanne)
Ne lâchez rien il nous faut des îlots de liberte ……….kenavo
Renaud gentric
Quelles tristes nouvelles que de voir autant de lieux mythiques, culturels et alternatifs sur la sellette en Romandie. Restons ouverts. Laissons entendre notre soutien.
Floriane Moosmann
Voyez ce plongeoir des bains où c’est marqué poésie
en lettres rouges à dix mètres sur la rade (la rage) de hauteur
où crache le jet de l’eau honteusement blanchie des banques
comprenez diable qu’en vos shampoings gluants vous êtes perdus
car est venu le temps que les montres brûlent
& que gosier d’oiseau à trois voix intenses rappelle
à pleines turlurettes que le vaste monde
que nous défendons est tendre & furax & qu’il est beau
partisans de la bonté d’être, nous confisquons vos lâches allumettes
vous n’écartellerez pas l’ardeur immense d’être
jean
jean firmann - soudeur aux eaux-vives
Chères Anges du cinéma,
Chères Guerrières culturelles,
J’ai eu l’immense plaisir de découvrir l’Usine par votre intermédiaire lorsque j’ai eu la chance de me nourrir de votre programmation du Black Movie qui, chaque année, investit ce lieu. J’écrivais alors quelque éloge à ce propos « témoignant d’un éclectisme détonnant le Black Movie ne propose pas moins que le meilleur du cinéma indépendant. Les regards suggestifs et sans compromis des deux programmatrices se croisent afin d’exciter nos sens. »
Singulier, réflexif et jouissif, votre festival se définit également par son cadre. Depuis ma première visite à Genève, que j’ai alors fantasmée temple de la culture alternative, je me suis rendu compte que la force du Black Movie, outre votre curiosité et votre humanisme, réside dans l’effervescence d’une scène dont l’Usine serait l’épicentre – et le mode de fonctionnement, infiniment démocratique, exemplaire.
Le cinéma Spoutnik, bien vivant, n’en est pas moins mythique. A défaut de pouvoir profiter de l’ébullition culturelle offerte par l’Usine tout au long de l’année, il me tarde que le calendrier défile et que janvier vienne afin de voyager avec et autour de votre sélection, et bien au-delà ; il me tarde de refaire le monde avec vous, vos invités et vos amis qui, comme moi, trouvent en l’Usine un espace de pleine liberté. Aujourd’hui, plus que jamais peut-être, cette liberté apparaît vitale.
Nicolas Gilson
Nicolas Gilson, journaliste belge, RTBF, blog Un Grand Moment de Cinéma... ou pas! Présent au Festival Black Movie depuis 2014
Par ce que avoir le droit a une alternative n’est pas que le caprice d’une poignée de marginaux mais bien un droit et un besoin fondamentale pour une société en bonne santé! Fight for l’Usine!
Loïc Ribe-Éducateur social
Cette ville est trop belle pour être corrompue par des bureaucrates grincheux et vaniteux. Laissez aux Genevois l’espoir de vivre et de s’exprimer librement, à travers l’art, la fête et le partage pour que Genève soit un carrefour joyeux entre les cultures du monde.
Charles-Antoine
L’état encore une fois détourne des sommes fédérales à leur avantage.
Ça devient trop flagrant à la longue !!!
Cavadia Christian
détestons la maudet-ration, vive la liberté de création !!
phil péril, usinateur depuis 25 ans
Depuis de nombreuses années, au-delà de ses prestations diverses et multiples, l’Usine a administré la preuve de son utilité sociale dans le sujet des complexes et parfois douloureuses relations entre une vieille cité pétrie d’histoire et sa jeunesse qui tente de regarder vers l’avenir, le sien – somme toute – et celui de cette même cité qui, inévitablement, est la sienne.
Albert Rodrik
Fight for L’Usine ! De la place pour la culture.
Saskia Thies
I think society and its institutions should defend a place where people can exchange, learn, and divulgate art. Education and culture are not just in the schools and universities, we should stand up and fight to defend public spaces for thinking and practicing our ideas.
Sara
Juste pour la liberté de choisir sa façon d’être libre chacun à sa facon!!!! Fight for l’usine!!!
Angeline
Que la cohérence s’impose
De Martino Julia
Depuis mes 15 ans l usine est à mes côtés. Elle est le reste de notre âge d’ or à nous Genevois, elle est le peu qui reste des quelques années de liberté qui ont soufflé sur Genève.. Combien sommes nous à avoir été acceuilli entre ses murs? d’ abord comme jeune qui préfère être dans les rues que chez ses parents; puis comme jeune adulte qui dévore les soirées et autres concerts et encore comme adulte qui propose des spectacles et autres concept de soirées. J espère que dans la fleur mûre de l’âge je pourrai toujours me dire: « tient c’ est bientôt noël, je n’ ai pas fait mes cadeaux…ah mais il y a le marché de noël des créateurs de notre chère usine..!! »
Maya Quiminal/ danseuse/membre MantraTribeSytem
Pourquoi fermer des lieux de détente si c’est pour ouvrir des lieux de propagande haineuse…
Gilloteau Yves - musicien
Le seul endroit magique à Genève. Sommes-nous gouvernés par des calvinistes ?
Andrée
Let’s fight !
Michaël Jacquemai - SAS
Notre société a besoin de diversité culturelle et ce genre d’organisation permet de la lui en donner. Sans cela reste notre identité culturelle fade et plate.
Maitre, Carole - SAS
Ubikar fight for L’Usine. Un lieux avec une âme, qui ne peux tomber.
UBIKAR-Groupe Rock électronique Lyon.
Ces lieux d’échange de culture, de fête doivent rester instact malgré les attaques d’une société malade !
Alexis Werlé
Endroit culturel unique …support total de notre part.
Stuto Giuliano ( BASS N SMILE, Bienne )
turlututu la culture lutte
chapeau facho je te culbute
aimer savoir
savoir aimer
jean firmann - cultivacteur aux eaux-vives
Que de soirées passées dans ceux lieux… On dois bien moins ce marrer sur un banc, fut-il haut perché…
couRAGE
Katcheur
Rester ouvert
Otmani Guillaume
L’Usine tout comme Fri-Son (entre autres) sont des lieux nécessaires à un renouvellement de la scène artistique, des lieux de rencontres, d’échanges, des lieux de foisonnement artistique, culturel, multi-culturel.
Martine Chalverat
I want to support everything to do with BLACK MOVIE Film Festival, my friends.
Zhang Lu, réalisateur sino-coréen, présent au Festival Black Movie 2006 avec GRAIN IN EAR, 2012 avecLA RIVIERE TUMEN et 2014 avec SCENERY
« L’Usine est un lieu unique, indispensable à la vie culturelle et musicale d’un canton et d’une ville comme Genève, nous espérons que les autorités genevoises sauront reconnaitre et valoriser la particularité de son mode de fonctionnement. »
Benedikt Wieland - Syndicat Musical Suisse
Chers membres du collectif de l’Usine,
Présents côte à côte depuis l’ouverture du bâtiment de l’Usine, nous nous sentons
bien évidemment extrêmement interpellés par les vives tensions qui se manifestent aujourd’hui.
En effet, nous avons bénéficié avec Etat d’Urgences à l’époque et un certain nombre d’artistes et d’associations d’un contrat de confiance grâce à Monsieur Claude Haegi qui, le jour de la cérémonie de remise des contrats disait « une Cité doit savoir donner de l’espace à ses marges, à sa jeunesse… » et nous vivions tous ensemble un moment
joyeux, dynamique, porteur,…
Jean-Luc Godard dit aussi « c’est la marge qui tient les pages »…
Nous sommes particulièrement sensibles à cette question de marges, étant donné que nous avons fondé l’association autrement-aujourd’hui dans la perspective de proposer un espace de pratiques artistiques à des personnes en situation de handicap mental au travers d’un projet global et collectif.
Et nous souhaitions que ce lieu, nouveau et prospectif, porteur d’une vision des personnes en situation de handicap mental sous l’angle de leurs potentiels, soit intégré dans un centre culturel.
Voilà donc vingt-cinq ans que nous faisons vivre ce bâtiment, chacun à notre manière, avec nos identités propres et selon une forme d’intégration réelle, vivante…
Presque quotidiennement, ce sont des dizaines de jeunes adultes en situation de handicap mental qui croisent, saluent, discutent quelques minutes avec les responsables de vos activités, le disquaire, le coiffeur, les organisateurs de concert… et bien sûr tous les gens qui vont et viennent et s’affairent dans les différents collectifs.
Selon les époques, des collaborations se sont parfois nouées pour un événement, un moment, avec l’un ou l’autre des permanents ou des collectifs, avec le cinéma Spoutnik, le Théâtre..; d’autres ont traversé le temps et se poursuivent comme avec Azurro Matto
et Isabelle Meister avec ses magnifiques photos de théâtre; enfin, des projets sont en devenir avec la musique…
Il nous semble que cette coexistence est une richesse mutuelle et pour nous, les locaux de l’Usine représentent un outil de travail et de développement inestimable en même temps qu’une intégration de facto dans la Cité.
Car l’Usine est un lieu exceptionnel, tenu il nous semble avec beaucoup d’engagement et de savoir-faire.
Nous souhaitons donc très vivement qu’une solution satisfaisante et viable sera trouvée pour que puisse continuer à vivre ce lieu d’expérimentation, de rencontres et de partages culturels et associatifs, indispensable à la vie de Genève et plus largement.
Pour autrement-aujourd’hui :
Marie-Dominique Mascret,
Gilles Anex, Rossana De Sanctis
Co-responsables de l’association
Marie-Dominique Mascret - autrement-aujourd'hui, association
Dear friends,
We feel deeply concerned on reading your email.
As filmmakers, we have had the opportunity of attending some of the most prestigious international film festivals but going to the Black Movie Festival and visiting Spoutnik Cinema was one of the most moving experiences in our lives. We can say beyond doubt that your unique festival is for us very special.
We have been twice to your festival to present our films and will never forget the beautiful people we meet. People who truly love cinema, as one can see through your work, bringing every year to the City of Genève a selection of the best independent cinema from all over of the world. And the amazing audience, always curious and attentive to the films programmed. Every-night, the Sputnik Cinema became a place of debate and adventurous exchange. What better could we expect from a multicultural vibrant city which Genève is?
In Portugal, we are facing a similar situation. For the past four years our right-wing government has been freezing all the support granted to culture. We can assure you of its negative impact and outcome.
We, therefore, are more than happy to show our support to the Association L’Usine against the oppressive administrative regulations, hoping and believing that Spoutnik and L’Usine will keep their doors open.
Viva o Cinema Spoutnik! Viva L’Usine! Viva a Liberdade!
João Pedro Rodrigues
João Rui Guerra da Mata
João Pedro Rodrigues, João Rui Guerra da Mata, réalisateurs portugais, présents au Festival Black Movie en 2013 et en 2014 (O Fantasma, Almorada Vermeilha, A Ultima vez que vi Macau, Mahjong
In a dangerous historical moment where the irrational expressions of the most violent hate is arising, it’s essential to underline that we can’t stop looking at each other, we can’t stop feeling, we can’t stop emotions. Places like the Usine and Spoutnik Cinema are small oasis that makes a city richer and tolerant. Closing a place like this is like closing our own eyes. »
Best,
João Salaviza
Joao Salaviza, réalisateur portugais, présent au Festival Black Movie en 2013 avec Cerro Negro et Rafa
« Il n’est pas vrai – pas même en temps de crise – que seul ce qui est source de profit soit utile. » Nuccio Ordine (2015): L’utilité de l’inutile.
Ainsi, il est NÉCESSAIRE que l’Usine continue d’exister!
Stéphane Rothen
Why do we have to preserve the Sputnik?
In times when material things are scarce, intangible assets become more important still. Material things are lost, spent, stolen. But profound films that come to those who have less and less, gives you a spiritual experience, and that is something that you can´t buy, it never lost, lasts forever, and multiplies.
Juan Ignacio Fernández Hoppe, réalisateur uruguayen, présent au Festival Black Movie en 2014 avec “The flowers of my family"
Il en est pour qui la culture ne représente qu’un grand champ de pommes de terre génétiquement modifiées servant principalement à alimenter les rayons soupes industrielles dans de beaux et grands supermarchés.
Ne les blâmons pas, personne ne leurs à appris que la culture pouvait être « Autre Chose ».
On pouvait penser naïvement que se serait là le rôle des ministères concernés de promouvoir cet « Autre Chose »… Cet « Autre Chose » qui aiderait nos classes moyennes à se définir autrement que que par l’accession à ses propres produits de consommation ; à s’affranchir de la médiocrité ambiante en accédant à la réflexion et à l’action, à l’humain et à ses richesses de diversité, à la poésie et à la beauté. Après tout la liberté n’est elle pas fille de connaissance et de vérité ?
Mais nos instances on, plus ou moins consciemment, découvert certaines vérités avilissantes : De l’ignorance naît la peur, de la peur un besoin de sécurité, de murs, de barrières et de pavillons privés. Un fois l’homme moderne séparé des autres, on pourrait, par un raccourci grotesque, l’isoler des siens dans son propre foyer, occuper son temps de cerveau avec toutes sortes d’écran (dé)connectés. ainsi aliéné de solitude standardisée, notre homme moderne serait un peu le tampon inoffensif entre ces « marginaux » à la pensée libertaire sibylline effrayante et la « nouvelle bourgeoisie » puritaine et aseptisée.
Alors on se dit finalement, qu’il n’est peut être pas de l’intérêt des gouvernements d’élever cet « Autre Chose »…
SO FIGHT FOR L’USINE !!
« Divine Anarchie, Adorable Anarchie, tu n’est pas un système, un parti, une référence, mais un état d’âme,Tu es la seul invention de l’homme, et sa solitude, et se qui lui reste de liberté. […] Je voudrais que ces quelques vers constituent pour les hommes libres qui demeurent mes frères un manifeste de l’espoir. » Léo Ferré
Stf Mharre Hyni
je vous soutiens j’ai pas une imprimante mais je trouverais pour mettre ma signature Mr Maudet et Mme Emery-Torracinta ils prennent le peuple pour des cons…… mais UN GRAND MERCI PERSONNE COMME VOUS SONT LÂ » eux ils ont le pouvoir momentanément……….. » mais VOUS L’USINE VOUS AVEZ LA CREATIVITE L’INTELLIGENCE ET LE SOUTIENS !!!!!!! ET BEAUCOUP PLUS !!!!!
Merissa Haldemann Photographe
Haro sur le Maudet !
Marsel, plénipotentiaire anonyme.
Je soutien depuis Barcelone, l’emblématique salle de l’usine. Fight for usine
Julien fievet
My name is Zhou Hao. I became acquainted with the Usine when my debut feature film was included in the 2015 BLACK MOVIE Film Festival. Screened in the Usine’s fantastic Spoutnik Cinema, my film received the festival’s Prix de la Critique attribué. I was touched and inspired beyond description by the experiences that the Usine autonomous cultural center made possible.
At the heart of the Usine is reverence for cultural expression and connectedness. The Spoutnik Cinema is one testament to the center’s invaluable worth. In this open space, people from around the world have enjoyed opportunities to share their art, their ideas, their lives. Experiences there have endeared me and countless others to the city of Geneva and its people. I am saddened to learn that the Usine and its partners are at risk of being suffocated by the local government.
My support for the Usine and Spoutnik is not merely based on sentimental attachment. These institutions promote important forms of expression: forms that are excluded by mainstream institutions for being “too alternative,” “too artistic,” or “too ethnic” – forms that can enrich the lives of us all. I know that many others are fighting to keep the Usine’s mission alive. Many are wary of a government that disregards the things that give meaning and purpose to our existence. The Usine is an oasis of such meaning and purpose. It’s a beacon illuminating a hopeful way to connect our fractured world.
May free culture continue to thrive.
Usine’s sincerely,
Zhou Hao
Zhou Hao, réalisateur chinois, présent au Festival Black Movie 2015 avec THE NIGHT, Prix de la Critique 2015
Aurais-je eu l’impression de participer au meilleur festival du monde sans les projections au Spoutnik et sans les soirée de l’Usine lors de ma première couverture ? Serais-je revenu goûter à son ambiance enthousiasmante l’année suivante ? Aurais-je autant loué l’esprit convivial et de partage de Genève dans mes textes sans ce lieu magique ? Sans doute, car l’accueil, les gens, la sélection ont joué, mais un cadre à la hauteur de cet engagement a magnifié tout cela. Dans mes souvenirs, l’Usine et le Spoutnik représentent le cœur de ma découverte de la ville et du festival. Les fermer est enlever un atout indéniable et blesser une ville en enlevant un peu de son âme.
Directeur de la revue East Asia et rédacteur pour Japan Lifestyle et Animeland, présent au Festival Black Movie en 2013 et 2014
J’espère que l’Usine nous restera, sinon où aller ?
Nadine Kenel Mangold
Au-delà des apparences.
J’ai une chance inouïe: celle de vivre (de) ma passion pour le cinéma et d’accompagner, notamment, des « stars » du show-business façonnées par la machine à faire rêver et le regard envieux d’autrui.
Je les ai vues s’extirper de voitures de luxe ne leur appartenant pas, porter des costumes prêtés par les plus grandes marques de la planète et serrer des mains à des hommes prétendant savoir et s’évaporant aussitôt la lumière des projecteurs détournée.
Et puis je les ai vus nus, masque tombé, redevenus eux-mêmes, les yeux grands écarquillés, tous sens ouverts en découvrant la salle du Spoutnik. Jia Zhang-ke s’exclamant de découvrir la salle la plus belle du monde, Tsai Ming-liang affirmant qu’il n’y ait de meilleur endroit au monde pour rendre justice à ses films. Jeffrey Jeturian insistant de sauter le repas pour revoir son propre film (ce dont il a horreur habituellement) ou Park Jung-bum se lancer, soudain, dans un long monologue sur les nombreuses influences du cinéma suisse sur sa propre œuvre (projetée, elle, dans le monde entier).
Il n’y a pas nécessairement besoin du plus grand multiplexe du monde pour rendre justice à film sincère, comme il n’y a pas forcément besoin de papier glacé pour rendre une photo plus belle, ni des millions de francs pour rendre une parole plus vraie.
La ville de Genève a la chance unique de posséder un joyau de la culture, un endroit qui transporte même ceux qui réussissent à faire rêver le monde entier. Ne ramenez pas cet endroit à la triste réalité d’enjeux jeux politiques et de nuits sans lendemain. Sachez voir au-delà des apparences et continuer à faire rêver
Bastian Meiresonne, réalisateur et consultant français spécialisé dans le cinéma asiatique, médiateur de conférences et présentateur au Festival Black Movie depuis 2006
C’est notre endroit pour les jeunes à s’exprimer et se rencontrer. Il est bien placer et nous prions de le garder comme l’histoire irremplacable de la culture genevoise.
Daria Julen
Continuons de voter à droite, et la culture aura un bel enterrement.
Rossier Jean-Claude musicien
Je vous soutient a 200%
karim
Quand un lieu est bon pour l’art, alors il doit vivre.
Maxime Kurvers
Le Spoutnik génévois doit continuer à faire le tour de l’orbite du cinéma. Longue vie à l’Usine.
Hidenori Okada
Nous avons besoin d’espaces de respiration, de lieux où l’économie ne dicte pas sa loi.
Yves Belet Animateur Socioculturel
Des lieux comme l’Usine sont précieux pour faire vivre, à Genève comme ailleurs, la culture avec un grand C, mais aussi une forme de civilisation enrichie par l’échange, l’audace, la création, l’ouverture.
Isabelle Durand
Que vive l’Usine!
Parmis les derniers survivants des lieux alternatifs de la place Genevoise, elle doit bien sûr continuer à rassembler, catalyser et permettre de prendre vie à tous ces beaux projets vivants. Marre de la « cleanisation » généralisée dans cette ville, les choses deviennent mornes et fades. Vive les projets vivants, organiques et autogérés!
Manu Hagmann - musicien
En soutien inconditionnel à l’indispensable Usine
Philippe Koller, musicien
Il faut un maximum de diversités culturelles!
Il n’y a pas que des amateurs d’opéras au Grand Théâtre dans cette ville.
Il faut des endroits où l’on peut voir, écouter, découvrir des choses spéciales,
uniques, non-commerciales.
Il reste peu d’espaces comme celui-ci en Suisse et ailleurs… bichonnons-les!
Sylvain Fournier, membre A.M.R. et duo N'imPorte Quoi!
L’Usine, dans la tête comme dans le coeur. Un lieu de rencontres et de partage où nous ne sommes pas cataloguer par nos différences, celles-ci enrichissent ce collectif en dehors des normes et du temps. Parce qu’on a tous une place dans notre coeur où l’Usine a gravé nos souvenirs, de l’adolescence à l’âge adulte. Fight for l’Usine. Avec tout mon soutien, un grand big up à toute l’équipe.
DJ Rouni
Depuis les années septante, beaucoup de gens on comprit que les jeunes avaient besoin d’espaces alternatifs et autonomes ou ils pouvaient s’organiser librement pour s’exercer à devenir des acteurs responsables de notre société et de notre environnement. Apparemment, il n’y a que nos dirigeants politiques qui ont oublié ce que l’histoire récente nous a enseigné.
Rolf Stauffer
Toute forme de culture est essentielle pour l’homme; elle adoucit les moeurs et est aussi importante que la sécurité avant tout prônée par Pierre Maudet.
Résistons à son pouvoir et continuons notre route à travers la création!
Deslarzes Béatrice Médecin/musicienne
Soutien à un lieu indispensable à Genève.
Monique Buunk Droz AOL Lancy
voici que toute la droite genevoise se vautre sous la bannière haineuse de l’UDC – l’Union des Chromatiques du Centre – pour garroter tout financement de l’Usine. C’est insensé. C’est suicidaire. Vous ne tuerez pas l’Usine comme vous avez étranglé le squat de Rhino. Ici la corne rouge a des racines plus vastes & plus profondes. Mordus du coeur nous sommes & partisans d’être. Qui vous montrerons bientôt qu’on ne joue pas avec le son si délicat des roses. Pas plus qu’avec les grandes pendules à complications d’amour. jean firmann, fantassin aux eaux-vives
jean firmann - fantassin aux eaux-vives
J’y ai passé avec mes amis, toutes les meilleures soirées de ma vie.
Aujourd’hui, ma fille y passe, chaque semaine, la meilleure soirée de toute sa vie, avec tous ses amis.
LONGUE VIE AU PLUS LONG et BEAU FIL ROUGE DE LA CULTURE GENEVOISE!!!!!
Sandrine J.
Avec vous l’Usine, comme il y a plusieurs lustres ! et avec la Dampf (Berne) et la Fabrik (Zürich)
Pierre Losio (ancien président du Grand Conseil, du Conseil municipal de la Ville de Genève, de l'AMR, membre fondateur de PTR)
Pour l’Usine
Avec l’Usine
Fight !
Aemil
Mexico City, November 6, 2015.
Dear Sir / Madam:
I am writing in strong support of the Association L’Usine and the Spoutnik Cinema, in their fight for keeping the financial and administrative independence, which is necessary to continue with the work of excellence that these institutions have been doing for the last 25 years.
I am a filmmaker from Mexico City who discovered the Spoutnik and L’Usine in January 2015, when I was invited to present my film “Los Años de Fierro” at the Black Movie Film Festival. L’Usine, the Spoutnik and Black Movie are impressive in a number of levels. First their programming philosophy; formed in L’Usine, Black Movie has kept its values, carefully curating a selection of films that bring to the City of Genève the best independent cinema from all regions of the world, opening an important venue for unrecognized, but important films that hardly find a screen in the theatres and giving a voice to stories and characters that are normally ignored by the mainstream culture. Second its honest vibe and authentic style, Black Movie is not characterized by red carpets or celebrities, but for being an inclusive space for true learning, “a space for encounters and meetings, a platform that relays information from around the world.” Third its ability to build community, when you attend to the Black Movie or to any activity organized by L’Usine, you can feel that these institutions have created an accessible and solid social base, giving a space for musicians, performers, filmmakers and all kind of artists where they can connect with the community.
Cutting funds to the Spoutnik or L’Usine, will seriously damage the sustainability of this important cultural institutions and, in a way, it will also leave The Black Movie Film Festival homeless. These institutions are a jewel for the city of Genève and for the international community that finds in them a space for existence. They are innovative, they are brave and they are necessary! For these reasons, they should be protected.
Sincerely, Santiago Esteinou
Santiago Esteinou réalisateur mexicain, présent au Festival Black Movie en 2015 avec LOS ANOS DE FIERRO
Nous sommes sincèrement désolés de la situation que vous me décrivez.
Le festival Black Movie a toujours soutenu d’une manière exemplaire les films d’art et d’essai, dont la nature même les empêche de pouvoir s’exprimer en dehors d’un contexte associatif que vous représentez également avec beaucoup de talent et de persévérance.
soyez assurée de notre soutien indéfectible.
Avec mes cordiales salutations,
Nasrine Médard de Chardon
Nasrine Médard de Chardon productrice iranienne, présente au Festival Black Movie en 2015 avec A FEW CUBIC METERS OF LOVE
To whom this may concern:
As an independent filmmaker, I completely support Usine’s struggle against oppressive administrative regulations. The freezing of cultural funding towards Spoutnik Cinema is absolutely outrageous due to the cultural and artistic benefits the program has to offer. I sincerely wish to see the continuation of this amazing program and as well as all the monetary funding restored for future events.
Thank you for your time and effort.
Miaoyan Zhang
Miaoyan Zhang réalisateur chinois, présent au Festival Black Movie en 2008 avec XIAOLIN XIAOLI, en 2012 avec BLACK BLOOD, en 2015 avec A CORNER OF HEAVEN
Bravo pour les portes ouvertes. J’ai eu le plaisir d’y participer et j’ai découvert l’ampleur de l’offre culturelle de l’Usine. Il faut se battre pour ça!
Favre B.
L’Usine doit être déclaré d’utilité publique
L’état doit y apporter son soutien inconditionnel sans réserve au nom de la pluralité culturelle et de l’équité de traitement
Volodia Suchet
Mon premier défilé de mode, une expo, je ne sais plus combien de thés dansants, des séances de coiffure, des répèts en tant que « backing vocal » dans un groupe de rock, concerts au Kab, petites bouffes au Débido, travaillé derrière le bar, rendez-vous amoureux devant les bars ;), théâtre, danse contemporaine, soirée disco jusqu’à l’aube, soirées de noël entre amis après les réveillons en famille…..et tout cela devrait s’arrêter pour un détail ridicule de patente. NON!
Fight for l’Usine!!
Kathrin
Kathrin Rebsamen
Continuez à résister !
J’ai passée tellement de bons moments dans ces lieux et vus de magnifiques concerts !
L’Usine doit continuer à produire de la culture alternative et être gérée sans chef, c’est tellement rare de nos jours !
Vive la buvette unique !
Olfor Trash
Non mon endroit préféré ne peux fermer trop de souvenir et de futur à créé
Tibo animal nocturne
Quand on sait quel engagement, quel travail-passion et nombre d’heures de bénévolat implique la culture, au service de tous… comment une telle mesquinerie est-elle possible ?… une buvette dispatchée, quel ridicule prétexte ! Il faut croire que la Liberté ne plait pas à tout le monde !…
Fabrice Corazza
Parce que les villes vrais lieux de vie, ça serait très ennuyant…
Jérémie Barral
Visite de l’Usine ce jour : mon soutien total et sans réserve à ce lieu unique est encore renforcé . L’Etat , la Ville , les institutions , les magistrats qui d’une manière ou d’une autre veulent saper le mode de fonctionnement de l’Usine au risque qu’elle disparaisse se tirent une balle dans le pied . Ce ne sont pas quelques tags qui peuvent raisonnablement justifier vos positions. Quant aux patentes , en exiger une pour chaque lieu de débit de boissons dispersé dans les différents recoins du bâtiment , c’est n’avoir rien compris au fonctionnement de ce lieu unique , original et indispensable . Longue et belle vie à l’Usine !
François Blum
La culture n’est pas une valeur ajoutée, elle est au fondement même du vivant.
Thomas Witzeling
L’usine est la meilleure école de la vie, celle qui m’a permis d’être qui je suis aujourd’hui.
J’ai rencontré non pas des gens, mais une vraie famille, remplie de personnes haut en couleurs et sincères qui,eux, se battent tous les jours pour de vrais valeurs, non pas comme ces politiciens qui ne pensent qu’à rayer le parquet avec leurs dents si longues pour accéder à des postes ou ils peuvent et espèrent diriger le monde.
L’usine EST un monde propre à lui-même qui sait se gérer par lui-même, c’est ça L’AUTOGESTION!
Même si Le Moloko n’est plus, je continuerai à me battre aux côté de L’usine, de Ma Famille de coeur et de pensées.
Politiques et autres institutions de ce genres un conseil : regarde la poutre qui y a dans ton oeil ,avant de regarder la paille qu’il y a dans l’oeil du voisin!
Sans L’usine pas de vie, pas de jeunesse.
Merci L’usine pour qui tu es et longue vie à toi.
Sincèrement et de tout mon coeur
JE T’AIME
Vince Moloko
Vince Moloko - Le Moloko - L'usine
Alleeeeez les copains !! je pleure pour vous depuis Paris, on se bat jusqu’au bout, sinon c’est une partie de moi, de nous qui meurs !!! Fight for l’usine soutien total !
Loïc Aubort
Le meilleur lieu genevois doit vivre et faire profiter l’offre culturelle de la ville! Vive l’usine!
Thomas, Nantes
Depuìs Turin, un gros encouragement a vous et a toi, Usine, pourque sans culture on est pouvre, et je suis sure que Geneve n’aimerait pas avoir cette réputation, n’est pas?!
Marta Ruggieri
J’aime l’usine cette vie cette liberté d’expression.
Je ne veux pas être une grenouille qui cuit lentement …. Avant de mourir
Enlever les subventions revient à la mort de nos âmes d’artistes
Malc
L’Usine?
J’y suis née le 30 octobre 1994 au cours d’un T-dansant en « Bal des Sorcières ». Sans Elle, je ne serais pas. Je n’aurais pas animé des centaines de soirées, présenté des festivals, participé à des manifestations syndicales et autres, voyagé de concerts en performances dans toute l’Europe, parlé en chroniques sur Couleur3, écrit dans les pages de 360 magazine dont je suis la marraine (comme pour feu le squatt des Brigittes et autres espaces alternatifs), réalisé 3 albums (et bientôt un 4ème).
J’y suis née, y ai grandi, m’y suis développée, y ai pris des forces et de l’assurance. Si je suis belle, c’est en grande partie grâce à Elle, à cette force d’auto-exploitation et de bénévolat qui lui permettent d’accueillir des centaines de milliers de visiteurs et de leur proposer à bas prix concerts, fêtes, spectacles, expositions, débats et rencontres.
L’Usine, quoi qu’on en dise, est un outil précieux, indispensable, avec lequel tout apprentissage est possible (celles et ceux qui y sont passé-e-s peuvent témoigner de l’acquisition de savoirs formidables qu’elle offre grâce à une perméabilité rare entre les différentes disciplines et espaces qui la composent). Un espace de réflexion non hiérarchisé où chacun peut trouver sa place, une tentative de revisiter la démocratie (non pas celle formelle et non satisfaisante que nous proposent les Etats et les politiques avides de pouvoir mais bien celle où l’on prend le temps d’aller jusqu’au consensus et où chacun-e tente de comprendre les raisons de l’autre).
L’Usine est certes un laboratoire, une pouponnière qui revitalise Genève, non seulement artistiquement, mais socialement, politiquement, journalistiquement et même… économiquement. Mais Elle n’est pas que ça! Elle n’est pas (n’en déplaise à celles et ceux qui aimeraient l’y réduire) un centre de loisirs pour jeunes (il y a pour ça d’autres institutions); Elle est bien plus vaste que cela. Elle est l’endroit de tous les possibles, de tous les improbables et même de ce qu’on croit ailleurs impossible. Elle est l’espace où les autistes retrouvent la parole, où les sauvages s’apprivoisent, où les décallé-e-s trouvent leur place et peuvent proposer leurs univers poétiques, où l’on est d’accord de ne pas être d’accord.
Si L’Usine se bat pour que son mode de fonctionnement soit enfin reconnu après 26 ans de bons et loyaux services et qu’Elle continue à demander une seule autorisation pour ses buvettes accessoires (qui malgré les apparences ne sont pas des bars), ça n’est pas un caprice d’enfant gâtée (pour cela, il faudrait d’abord qu’on la gâte, ce qui est loin d’être le cas depuis son ouverture, à partir de laquelle et année après années, Elle perd tout ce qu’elle avait acquis). C’est simplement qu’Elle veut être UNE et INDIVISIBLE et que ses buvettes accessoires sont bel et bien reliées dans un but commun: permettre de faire exister tout ce qu’elle propose à ses publics.
On la guette depuis bien longtemps et il suffit de quelques graffs pour permettre à ses ennemi-e-s de focaliser toute l’attention en détournant les regards de celles et ceux qui ne la connaissent pas et se fient à des « on-dit » malveillants pour la juger.
N’en déplaise aux vautours qui attendent sa chute pour la déchiqueter, L’Usine participe largement à l’aura de Genève bien au delà de ses frontières, non seulement pour sa programmation mais aussi pour son mode unique de fonctionnement.
On ne veut pas la comprendre, on agite des chiffres, des subventions (dont la plus grande comprend le prêt du bâtiment et les fluides électriques et aquatiques). Or, 26 ans plus tard, elle est toujours pour la plus grande part autofinancée et ses détracteurs seraient surpris-e-s si l’on chiffrait la réalité de ce qu’elle offre. L’Usine est un luxe pour une Genève qui ne la mérite pas vraiment. Et, contre vents et marées, pressions, menaces et humiliations, Elle continue à ouvrir quotidiennement ses multiples portes avec acharnement, par passion et par amour pour une terre qui est aussi la sienne!
Une phrase d’Agatha Christie me vient toujours quand je cherche à comprendre un conflit: « À qui profite le crime? ». Il me semble que la réponse est évidente. À L’Usine? Certainement pas!
Fermer L’Usine, serait le geste le plus ridicule de toute l’Histoire politique genevoise et celles et ceux qui rêvent de voir un jour leur nom dans les dictionnaires feraient bien d’ouvrir les yeux et de réfléchir. Leur patronyme risque d’y laisser quelques plumes et de ne pas avoir le glamour qu’ils imaginent dans leurs égotiques projections.
I’ll fight for L’USINE!
Greta Gratos, créature indépendante et icône énervée.
Ya déjà pas beaucoup d’endroits pour sortir à Genève, alors si l’usine ferme. :mort:
L'étudiant Lambda
So sorry to hear this, I can’t believe this is happening, how can they freeze the subsidies granted for culture? that is absurd. The Usine is an amazing space, and my experience in the last edition of the Black Movie film festival was exceptional. It gathered a great crowd, all with something in common, a curiosity, a sensibility to observe and to create. That’s what the Usine stands for and there should be more spaces like these, not less.
Long live the Spoutnik and the Usine!
Hope everything comes together, this law has to be turned down.
Juan Camilo Olmos Ferris, réalisateur colombien, présent au Festival Black Movie avec PERSIGUIENDO AL DRAGON en 2015
As I have mentioned in person and in emails, Black Movie is a very special festival for me. I have had the best experience of watching an excellent selection of films at Black Movie. I believe the selection strategies is unique; an almost flawless and most exciting collection of films. I didn’t even see one film that I didn’t like at the festival. Outside of the screenings the community of people engaged in the festival makes it one of the most pleasant experiences for the filmmakers to attend. The peaceful environment of Usine and Sputnik, and the great people in the space, have just made it an ideal platform for me and for many filmmakers.
It is a shame how decisions have been made to freeze the subsidies for culture and to put such an important and unique film venue under the danger of getting closed. There may be a conservative majority in the city who are not caring for culture and for art-cinema, but you and Usine have the support of many international filmmakers and film and art lovers who know the value of that place and the activities happening there. I will be more than happy to show my support any time in any other possible way.
I really hope this problem can get solved. And I will do any help I can to support making it happen.
All the best,
Anahita
Anahita Ghazvinizadeh, réalisatrice iranienne, présente au Festival Black Movie avec NEEDLE et WHEN THE KID WAS A KID en 2014
My name is Rodrigo Sepúlveda, I’m a film director from Chile. I believe that one of the most endurable emotions I have had as a Director, was the screening of my Film Aurora at the Spoutnik. After the screening, a picture of my self was taken in the frontis of the cinema, and afterwards a really nice conversation of film making and scrip writing. That It’s all you need when you have been working for many years in a creative process. And I believe that could onlybhappen in such places as the Usine. Please keep fighting. That place cannot die!
All my support,
Rodrigo Sepúlveda Urzúa
Rodrigo Sepulveda, réalisateur chilien, présent au Festival Black Movie avec AURORA en 2015
I presented my first feature, MUNDANE HISTORY, at the Spoutnik Cinema a number of years back. It was a great screening. The space felt intimate and very special. I really do hope that Spoutnik and the Usine will keep their doors open for cinema lovers from all over the world as long as this art form still exists.
Anocha Suwichakornpong, réalisatrice thaïlandaise, présente au Festival Black Movie avec MUNDANE HISTORY en 2010
My name is Park Suk-young.
I am the director of Wild Flowers and Steel flower.
I and my actress Jeong Hadam were invited to Black Movie Festival last year.
It was the most energetic and loving festival that I have ever been. I was so happy to be in the cultural heritage and freedom of Geneva and greatly encouraged by Geneva people.
Hearing the news about U’sine and Sputnik, the most authentic cinema theater that I had ever seen, just hurt my heart deeply.
I want you to remember only out of freedom and support for humanity, the pure art can grow and blossom.
U’sine has been the womb of freedom and beauty. I, a South Korean director who hardly know Geneva before, learn to appreciate your government and its solidarity. It is all because of the very love and understanding of the city of Geneva, the very pride of modern citizenship and humanity.
Please remember the very dignity of humanity. World will watch and remember your decision. Be friend to U’sine and grow the partnership with crazy yet beautiful people in U’sine.
Park Suk-young Jeong Hadam réalisateur et actrice coréens du film Wild flowers, présents au Festival Black Movie 2015
A l’attention des responsables Black Movie
J’apprends avec consternation que ce lieu magnifique qu’est Le Spoutnik est menacé de fermeture comme L’Usine au sein de laquelle il se trouve. Le rôle moteur de cette structure pour la diffusion de films exigeants, issus de tous genres de cinéma est indiscutable.
Depuis plusieurs années, j’ai apprecié en tant que journaliste, d’appuyer ses programmes et en tant que critique de cinéma, soutien du festival Black Movie, j’ai pu mesurer son impact lors des nombreux débats qui suivent les projections de films.
Ce lieu unique participe à la vie citoyenne de Genève de par son organisation basée sur un collectif, et par les animations qu’il propose au public en élargissant son horizon culturel.
Une salle de projection comme Le Spoutnik n’est pas seulement un espace de culture mais c’est aussi un espace d’échanges, de confrontations, de rencontres qu’il est important d’appuyer, de préserver et d’aider.
En ce sens les actions de L’Usine qui offrent des concerts, ds pièces de théâtre, des projections doivent être soutenues par les responsables politiques, les bailleurs de fonds pour permettre aux citoyens de se rencontrer et de rencontrer des formes diverses de culture.
Cette diversité et cette ouverture sont des éléments majeurs de la vie publique et nous ne comprendrions pas que L’Usine et le cinéma Spoutnik qui est en son sein, soient balayés par la négligence ou l’inconscience des responsables de ses soutiens actuels.
Nous partageons cette inquiéude avec nos confrères journalistes, critiques et amateurs de culture, et envisageons de prolonger le débat sur l’existence de L’Usine et le cinéma Le Spoutnik par tous les réseaux qui animent nos médias.
Nous espérons que la raison saura convaincre de la nécessaire vitalité de L’Usine et le cinéma Le Spoutnik, et sommes attentifs à la résolution de leur mise en péril actuelle. Le rayonnement culturel ne se discute pas, il se relaie et doit s’amplifier grâce aux soutiens qu’il mérite.
Longue vie à L’Usine et au cinéma Le Spoutnik
Salutations attentives et cordiales de
Michel Amarger
Michel Amarger, journaliste français notamment à Médias France, La Lettre de la francophonie, Africiné, Images de la culture, présent au Festival Black Movie chaque année depuis 2001
What a terrible news. It will be a sad loss. Please don’t dry your locals and visitors of places for creativity. I hope the City of Geneva can reconsider its policy towards art & culture. Sputnik cinema, the Usine are one of your city’s highlights.
Big Hugs,
Joe Apichatpong
Apichatpong Weerasethakul, réalisateur thaïlandais, présent au Festival Black Movie avec TROPICAL MALADY en 2005 et SYNDROMES AND A CENTURY en 2008
L’Usine m’a semblé l’un des lieux les plus beaux, les plus vivants rencontrés en Suisse, qui soient consacrés au cinéma et à la culture. L’équipe est ouverte, pédagogique, contemporaine. Toute réduction de ses subventions, toute atteinte à son fonctionnement si remarquable porterait à mon sens gravement atteinte à la culture genevoise, et mon devoir de journaliste m’obligera à en parler en France. Je soutiendrai l’Usine dans tous ses combats pour la culture – car c’est la culture, et elle seule, qui peut sauver le monde.
Arthur Dreyfus, écrivain et journaliste à Vogue, Radio France, Radio Canada, et au Figaro, membre du Jury de la Critique au Festival Black Movie 2015
Quelle honte!
I have to say that from a foreign country it is surprising to see Switzerland, a model country for all of us in so many aspects, behave like a former western commercial colony like Singapur, instead of the ancient land of freedom where the development of personal thought and values are encouraged and the rights and wellbeing of all its citizens respected.
Please reconsider and procede considering everybody.
Carlos Reygadas, réalisateur mexicain, présent au Festival Black Movie avec les films BATALLA EN EL CIELO en 2007, LUZ SILENCIOSA en 2008, POST TENEBRAS LUX en 2013
Je souhaite que le cinéma Spoutnik, haut lieu du cinéma independent à Genève et où le festival Black Movie, a déjà réalisé de nombreux évènements internationaux puisse continuer ses activités, si précieuses non seulement pour les spectateurs Suisse, mais pour tous les invités internationaux qui ont eu l’occasion de fréquenter ce lieu de culture.
Thierry Michel, réalisateur belge, présent au Festival Black Movie avec les films KATANGA BUSINESS en 2010, et L'IRRESISTIBLE ASCENSION DE MOISE KATUMBI en 2014
Dear friends,
I feel deeply concerned on reading your email.
For me… your festival is not merely an event of good films brought together in Geneva annually. Rather it is a meeting point, a confluence of ideas, minds and cultures from around the world.
I have had the opportunity of attending some of the most famous international film festivals either as a filmmaker, guest or jury. But let me assure you that your festival is unique and nothing should stop you from what you have been doing meticulously for years internationally.
I believe that the world today is both expanding and narrowing down to threatening limits. For someone like me living far away from Switzerland, Black Movie Festival is an oasis to express unheard voices through sound and images freely with the people of your country and more. This is absolutely important while we need to negotiate the current environmental, political, ideological and personal issues at all levels.
I remember that there was a beautiful entry door to the theatre at Spoutnik. After the screening of my film a volunteer came running and asked me sign on the door! I hesitated because it looked like a painting. Then I noticed that the door is a collage of signatures by filmmakers who have come from all corners over the years!!!
Please keep the door and Usine alive in the same same spirit.
Many thanks for remembering me.
Best wishes
sourav
Sourav Sarangi, réalisateur indien, présent au Festival Black Movie avec les films BILAL en 2011 et CHAR...THE ISLAND WITHIN en 2014
Je suis les choses de loin, de France, mais c’est très étrange ce
qu’il se passe à Genève concernant la Culture. Un Combat Droite /
Culture et soudain, on voit c tte ville sous un autre jour.
Nicolas Bauche, journaliste français notamment à la revue Positif, membre du Jury de la Critique au Festival Black Movie 2012
‘Going to the Black Movie festival and visiting the Spoutnik – seeing the audience’s reaction to the film playing – was one of the most moving experiences of my life. The city of Geneva, with its sanctified pockets of culture is one of the havens for artists to showcase their latest works and both the festivals and the cinema have been at the forefront of creating that movement.
It is unfortunate that curbs on running cultural movements are preceding those that we should be putting on rising intolerance. That’s what we need to address first. Even here in India – my own country. Please do not let the unspeakable wither, the darkness light out, the spaces where we meet our inner recesses blather off – for it is there that we meet true selves – and from whence we have hope of finding redemption.
Please let the Spoutnik be all its own.’
Best,
Kanu
Kanu Behl, réalisateur indien, a participé au Festival Black Movie 2015 avec le film TITLI
As a Chilean filmmaker who participated in the 2015 edition of the Black Movie Film Festival, it makes me sad to hear that the Usine and all its associations such as the Spoutnik Cinema are in danger. The Spoutnik Cinema is where I presented my film and I was able to share many different appreciations of my film in a very special and intimate way. I met a lot of beautiful people there that I’m sure I could not have met so easily somewhere else in Geneve. I also met other artists who were working in the Usine and it amazed me to see so many arts converge in one place. I believe this autonomous centre is essential for Geneve and its cultural growth.
Jorge Yacoman, réalisateur chilien, invité au Festival Black Movie en 2015 avec le film LA COMMODIDAD EN LA DISTANCIA
GE suis l’Usine
Rachel Lam, Théâtre du Grütli
Déjà que les années 2000 on vu la fermeture de tous les squats qui étaient un vecteur formidable d’expression pour tous les jeunes groupes de musique qui commençaient, maintenant on veut fermer l’usine qui est une institution ou nombre de groupes se sont produits dans la salle de diffusion mais aussi beaucoup ont été soutenus, aiguillés et mis-en-confiance dans leur pratique artistique. C’est un vrai pôle local de promotion qui risque de s’éteindre au profit de quoi, d’une dérive sécuritaire? Je ne comprends pas.
Vive l’usine.
Lucas, (Lucky Joy)
Je suis arrivé en 2007 en Suisse, à Sierre. Venant de Santiago du Chili et familiarisé avec la scène alternative chilienne, j’ai été fasciné par le niveau de fonctionnement et d’engagement des différentes associations indépendantes suisses. Je me rappelle tout particulièrement d’un concert à l’Usine en 2008, d’un groupe que je suis depuis mon adolescence, Dinosaur Jr. Cela a été ma première approche de ce lieu que j’ai depuis fréquenté régulièrement. La Suisse et Genève sont riches de ces lieux et organisations alternatifs et j’ai collaboré et continue à collaborer régulièrement avec certaines d’entre elles.
L’Usine n’est pas seulement un espace culturel mais c’est aussi une école qui permet d’explorer non seulement des possibilités de savoir-faire mais aussi des possibilités de « faire savoir ».
Cristián Valenzuela, artiste visuel et Doctorant en Art en Sciences de l'Art, Bruxelles
Soutien total et absolu !
Mathieu, Artiste / Producteur
Soutien à l’Usine de la part de musiciens de France (René Lacaille)
Lagacherie (Présidente de l'Ass. Do Bwa France)
Je m’appelle Marco Berrettini et je suis un danseur et chorégraphe. J’ai déménagé il y a 13 ans à Genève. Ce qui m’a apparu évident à l’époque et aujourd’hui encore est le fait qu’un théâtre comme celui de l’Usine est fondamental pour la danse et le théâtre contemporain. J’habitais à Paris avant de m’installer en Suisse et dans les cercles des compagnies de danse le petit théâtre de Genève était bien connu par sa programmation compétente et avant-gardiste. Il est inadmissible que le théâtre de l’Usine risque de disparaître ou connaisse des difficultés financières ; ça serait comme couper les racines d’un arbre. Le théâtre de l’Usine fut le premier lieu qui m’a accueilli à Genève et continu à être un des indicateurs de la culture émergente en danse et théâtre. Quiconque menace le théâtre de l’Usine ne comprend pas le tissu socio-culturel existant et risque de commettre des dégâts irréparables. La culture officielle, les théâtres nationaux, les théâtres des abonnés et toutes les autres grandes salles d’accueil de spectacles vivants programment les spectacles des créateurs qui sont passé par des salles comme le théâtre de l’Usine. Dans une époque ou les gens de tous les métiers ont peur que l’argent puisse absorber leurs vies, leurs carrières, leurs liens sociaux, il me semble important de soutenir le théâtre de l’Usine, encore plus que ce n’est le cas aujourd’hui. Genève peut être fière de posséder un lieu qui rayonne à l’étranger et qui pose des bases pour une culture fleurissante.
Marco Berrettini, Plainpalais, 3 novembre 2015
Je suis à 100% avec vous. Et cela fait vraiment du bien au moral et au mental de voir qu’il existe encore des bastions de résistance à la droitisation de la société. J’ai 55 ans et je suis un ancien très fervent utilisateur de vos lieux. Bravo, et tenez bon !
Pierre, Carouge
All my support goes to the Usine and its free minds !
Marizza MadSpy, polyvalent independant artist (singer)
Après l’Artamis, le rhino et j’en passe….Cette fois, ile ne passeront pas ! Résistons
Audrey
« Tout ce qui dégrade la culture raccourcit les chemins qui mènent à la servitude » A. Camus.
Fight for l’Usine!
Céline
La cellule FIGHT FORT FOR L’USINE
Cellule VAV
FROM GRANADA (ANDALUCIA) WE FIGHT FOR L’USINE!!
GRANADA DUB FAMILY
Pour que l usine continue de nous émerveiller! Résistons!
Caroline, assistante sociale
It’s all about #PeaceLoveRespectFunAndUnity
Laissons pas l’état nous enlever notre 2ème maison et nos droits culturelles.
– Fight for l’usine.!
C.G
Pour que vive l’Usine
Je manifesterai au milieu de la rue
Pour que vive l’Usine
Je m’opposerai à la pensée unique
Pour que vive l’Usine
Je m’insurgerai contre l’ordre établi
Il faut que l’Usine vive
Reprenons le pouvoir
John, retraité
rien de grand ne se fait sans beauté…
rien de beau ne se fait sans humour…
japon
j’aime cette maxime et voulais la partager… c’est tout :o)
Patrick Maurer
Aujourd’hui comme hier, l’Usine résiste. Salutations solidaires
Valérie Buchs, syndicaliste
Pourquoi fermer un lieu qui regroupe soirées, bars, cinéma, milieu associatif, salle de concerts et plus? Je dis bravo à ceux qui se battent pour préserver ce lieu mythique de notre ville et dans lequel j’ai passé d’excellentes soirées.
Stouf
Keep Fighting!!
We need l’Usine in Geneva!
S.
Pas besoin de refaire encore l’histoire de l’Usine pour comprendre sa place essentielle dans la vie culturelle genevoise. Année après année, elle s’impose comme le lieu central où convergent sans discontinuer des forces nouvelles de la création alternative. Qu’on s’entende, l’alternative proposée par l’Usine n’est pas un ersatz paresseux peuplé d’anarchistes en défaut de lutte, de créateurs en mal de succès et de jeunes désoeuvrés. Que cela plaise ou non, c’est un vrai modèle de réussite, qui réalise sans cesse le fantasme de réunir dans un même bâtiment emblématique une très large palette de formes d’expression artistique, offrant des espaces de création et de diffusion qui coexistent au prix d’un effort constant d’échange et de renouveau. Plasticiens, metteurs en scène, musiciens, programmateurs, graphistes, politiciens même, nombreux sont ceux qui ont pu faire leurs armes et su faire leurs preuves dans ce lieu largement reconnu au-delà des frontières cantonales. Si on peut entendre les volontés politiques d’uniformisation dans l’application des règlements, au mieux dans un souci d’égalité, au pire (pour rester sobre) dans une obsession administrative dont tout esprit honnête connaît les limites, qu’il soit de gauche ou de droite, libéral, socialiste, populiste ou de toute couleur utile, il serait visionnaire d’aider l’Usine à valoriser son modèle gagnant plutôt que de lui mettre des bâtons dans les roues et d’en regretter plus tard les conséquences en s’en remettant au souvenir d’un bon vieux temps où on savait comment faire. Il serait dommage d’enlever les rails d’un tramway si désirable pour les réinstaller à grands frais des années plus tard… Que la droite ravale donc son mépris et son dénigrement systématique d’une institution qui oeuvre bien plus pour le rayonnement de Genève que nombre de petites entreprises individuelles mercantiles et égocentrées. Quant à M. Maudet, puisqu’il s’est retrouvé récemment dans l’oeil du cyclone et le charme des pochoirs, et puisqu’il est celui qui doit montrer la voie à ses troupes, disons-le franchement : non, ce n’est pas un facho, il ne faut pas se satisfaire d’invectives. Mais il est certain que le cuir de ses bottes ne s’est pas encore assez assoupli, il devrait venir aux manifs, ça donne le sourire aux chaussures.
Casimir M. Admonk
L’Usine est un phare, un espace de joie et de liberté pour beaucoup de gens déçus par cette société froide et contrôlée. L’Usine est un lieu de formation et d’expérience pour toutes les personnes qui y organisent des concerts, des spectacles, des expos, etc., et on les retrouve ensuite comme responsables dans les lieux de la culture officielle. L’Usine est l’endroit où la vie est la plus proche de l’idéal que l’on avait adolescent: moins de fric, plus de fun, moins de règles, plus d’idées folles…
Narain Jagasia (musicien, sonorisateur à l'Usine durant les années '80-90)
Genève la multi ethnique,la multi culturelle… Espérons pour longtemps encore.
yoann
[…] victime de son succès. FIGHT FOR L’USINE… était le mot d’ordre de la soirée (cliquez ici pour plus de renseignements). Soutenez l’Usine en cliquant […]
Laissez-nous écouter la musique qui nous plaît même si vous n’appréciez ni cette musique ni les messages gauchistes qu’elle véhicule. N’est ce pas cela l’esprit libéral?
Benoît Zuber, Lausanne
Longue vie et merci à l’indispensable Usine de dépistage de talents en or, une mission hautement et généreuse (rappelons l’origine de l’Usine de dégrossissage d’or)
Catton Dominique fondateur théâtre Am Stram Gram
L’Usine est une exceptionnelle richesse qui offre l’accès à une culture large et variée aux habitants jeunes et moins jeunes du canton. Il serait criminel de la miner sous prétexte d’un légalisme outrancier.
Béatrice Favre
ne rien lâcher… BANZAI
Alexandre GVA
Maintenir des lieux culturels et alternatifs dans les villes c’est cultiver l’humanité, c’est agir pour le bien être des gens qui y vivent, y travaillent. C’est laisser les coeurs s’ouvrir au mélange, les sourires s’echanger… Un tel espace n’enlève rien aux acteurs prives alentours, souhaitons que les politiciens comprennent qu’il donne même un certain charme a cette ville…
Sophie, cliente
Bien sûr que je vous soutiens! Genève sans l’Usine c’est pas Genève. Et puis c’est tout.
Emilie
L’Usine m’a appris, m’a fait grandir, évoluer et elle a participer incontestablement à ce que je suis devenu aujourd’hui. Sans elle, j’aurais raté une grande quantité de rencontres, de découvertes, et d’opportunité d’ouverture d’esprit.
J’ai vu ce qu’elle a fait autour de moi, et comment elle a influencée les gens qui l’ont côtoyée, activement ou passivement.
Je ne peux pas imaginer Genève sans l’Usine, et constate régulièrement son rayonnement, également au delà de nos frontières.
Elle est pionnière, elle se remet en question et peut déranger les esprits. C’est aussi ce que l’on espère d’un lieu de créativité et d’innovation.
Avoir la chance de pouvoir participer à un espace de vie et de culture de cette qualité est un plaisir qui ne devrait pas être compromis, au même titre que ne peut l’être l’âme de ce lieu.
Will – PorCus
Will van Gulik - Président de Darksite, Dj, artisan numérique
Ainsi l’on décide d’arracher à la racine même les dites mauvaises herbes. Quel dommage, quelle défaite : c’est précisément de ces pousses que viennent l’innovation et le changement. En nous chassant des territoires tels que l’Usine, ce sont ces si précieuses zones franches dans lesquelles les artistes peuvent encore s’essayer librement à la critique qui sont attaquées. Mais il ne faut toutefois pas sous-estimer l’une des plus grandes qualités de nous autres jeunes pousses : celle-ci se nomme ténacité.
Maud Blandel, chorégraphe
Si l’Usine ferme, la Suisse n’a plus aucun intérêt. Sauver l’Usine c’est sauver la Suisse !
Daniel, revue ChériBibi
C’est vraiment triste! après les squats, Artamis, maintenant c’est au dernier bastion de la culture alternative, véritablement libre et populaire qu’on s’attaque. Et où ira-ton ensuite? Dans la rue? Pour donner un nouveau prétexte à Mr Maudet d’augmenter encore la présence policière, et de terrer encore plus la population dans sa peur de l’autre et de la délinquance? Cette ville est ma ville, j’y suis née et elle me fait honte!
Leila, musicienne
L’Usine c’est le dernier bastion fort de résistance contre la volonté de la ville de Genève d’étouffer la culture « non-conforme », de leur point de vue étriqué bien évidemment. On ne veut pas d’une ville que pour des trentenaires friquer! Tuer la culture alternative, c’est tuer la culture. Le nettoyage est déjà terrifiant dans cette ville! Arrêtons le massacre! FIGHT FOR USINE! Longue vie et qu’elle continue à nous faire vibrer!
Camille étudiante en cinéma
Genève sans l’Usine ne serait plus vraiment Genève pour beaucoup, y compris pour moi. L’impensable ne doit pas arriver!!!!
Raph Gost
l Usine est l’un des rares lieux culturels au centre ville ne nous le fermez pas….
Morin 54 ans
La très grande majorité des concerts auxquels j’ai pu assister à Genève ont eu lieu… à l’Usine !
Keep fighting
François alias Keritsu
L’Usine est un projet à nul autre pareil, en Suisse, comme ailleurs sur cette planète. De part sa singularité, de part son histoire, l’Usine permet des expériences artistiques et une proposition culturelle unique à Genève, proposition culturelle qui devrait faire la fierté des autorités, et qui est un atout indéniable pour la ville du bout du lac. L’Usine répond aujourd’hui à toutes les normes nécessaires pour poursuivre son aventure et ses différentes exploitations. Vouloir l’obliger à rentrer dans les mêmes cases que des lieux privés, pour des sombres raisons de concurrence (et cela reste à prouver), ou de contrôle, est une double erreur:
a) D’abord l’Usine ne proposera jamais la même programmation que les établissements privés, car c’est là que réside sa force et sa richesse de projets. Les établissements privés quant à eux ne pourront jamais proposer ce que programme l’Usine, car ils n’ont soit pas la taille, ni la polyvalence, ni la singularité d’un tel endroit. Présenter l’Usine et les autres établissements privés de cette ville, comme les pièces d’un même puzzle est une grave erreur.
b) Vouloir ensuite diviser l’Usine, pour de futiles autorisations de buvette, c’est ne rien comprendre à l’Usine, qui a toujours été une avant d’être multiple. Nier sa singularité, c’est nier ce qu’elle est, et ce qu’elle propose.
Full respect, et full support à l’Usine. Longue vie à l’Usine.
De la part d’un établissement privé.
Vincent Jacquemet, directeur du Silencio
L’indispensable choas support d’expérimentations — comment ne pas comprendre la nécessité d’un tel lieu ? c’est une chance incroyable pour la ville de Genève et la Suisse romande !
Guillaume Pilet, artiste, curateur à Forde 2010-2012
Genève peut s’enorgueillir de l’existence de L’Usine, qui brasse une palette d’expressions artistiques et d’activités rare en Suisse Romande en un seul et même lieu. Foyer d’émergence et écrin indépendant pour une programmation internationale, sa mise en péril par le légalisme et la bureaucratie fait froid dans le dos. Cette richesse doit être préservée à tout prix!
Valentin Mottier
Forza!
Annabel Glauser, chargée de production, far° Nyon
Si il faudra descendre dans la rue pour garder notre usine nous y serons !!!
Ⓐ
Un inconnu habitué
J’ai grandi à la campagne. Profonde même. Vu de mon village fribourgeois, Genève, c’était « New York dans les années 80 ».
Mes parents ne m’y avaient jamais emmené. Pas vu le jet d’eau, pas vu l’horloge fleurie, ni les Fêtes de Genève, ni le mur des Réformateurs, ni le Musée du CICR, encore moins le MAMCO.
La première fois de ma vie que j’ai vu Genève, c’était pour venir… à l’Usine. Vers 1998. Et ouais. Rien que ça.
Et j’y suis revenu. Pas qu’une fois. Et je n’étais pas le seul. Sans ces lieux alternatifs, combien d’autres que moi seraient restés isolés et repliés sur eux-mêmes ? Enfermés dans nos préjugés et refusant l’altérité ? Ayant comme seul horizon les fausses joies d’un consumérisme vulgaire et individualiste ? La personne que je suis est notamment redevable à l’Usine et surtout aux personnes qui façonnent ce lieu magique.
Combien d’existences ces lieux alternatifs ont-ils changé ? En accueillant à bras ouverts, en donnant droit d’exister à celles et ceux qui ne rentrent dans aucune de ces sacro-saintes cases. Enfermée dans certaines tours d’ivoire et ses préjugés, une majeure partie de la caste politique n’arrive pas à cerner l’immense travail social que font de tels lieux. Ces espaces interstitiels que certains définissent comme « hors-la-loi » permettent à d’autres de devenir acteur de leur propre vie. En donnant confiance, en déléguant des responsabilités, en formant des jeunes, en leur conférant des compétences hautement valorisables sur le marché du travail (autant vous dire que la gestion de projets, après l’organisation de concerts punk, c’est de la rigolade. Et je parle d’expérience), le tout sur une base autogestionnaire et largement autofinancée. Qui dit mieux en termes d’intégration et de cohésion sociale?
Est-il nécessaire de revenir au passage sur l’apport culturel indéniable de l’Usine et plus globalement des milieux dits alternatifs. Quelle serait la renommée de la Genève internationale sans de tels lieux ? L’Usine ancre Genève sur la carte mondiale de l’art et de la culture. Cela ne se prête pas à discussion.
Aujourd’hui l’entêtement stérile d’un magistrat relève soit de l’aveuglement administratif court-termiste et contre-productif pour toutes les parties, soit de la mauvaise foi crasse et opportuniste d’un élu en mal d’existence politique. L’un comme l’autre sont indignes et n’auraient pas à affecter le bon fonctionnement de ce fleuron culturel et social qu’est l’Usine. Les autorités publiques se doivent de soutenir et de faciliter les activités de l’Usine et non d’entamer des bras de fer inutiles et désobligeants.
Longue vie à l’Usine.
Daniel Prélaz, entre autres responsable projet livre Fri-Son 1983-2013
Et s’il fallait trouver une vertu au conflit actuel à propos de l’Usine (et à tous les autres conflits en gestation dans le champ culturel -y compris à propos d’institutions culturelles, comme la Nouvelle Comédie) ce serait celle, pédagogique, de matérialiser l’importance d’un rapport de force politique, et de rappeler la nécessité de se battre. Parce que ça roupillait un peu, faut bien le dire, dans le champ culturel genevois, réveillé ces temps à coups de pompe dans le fondement. Alors, si Maudet, ses services et ses supplétifs municipaux peuvent, entre deux inaugurations de prisons, ressusciter une mobilisation de la jeunesse « querelleuse, protestataire et bohème » (comme la décrit, amoureusement, « Le Temps ») et secouer le tissu culturel genevois, ils auront, involontairement, bien mérité de la République, de la Commune et de la culture, alternative ou pas.
Pascal Holenweg (Conseiller municipal, PS)
Avant je sortais pas a Genève, qui est pourtant a 7km de chez moi… puis j’ai découvert l’usine. Conviviale, pas chère, proposant de la musique totalement nouvelle pour moi, bien loin du 103.6 habituel ! résultat, les soirées à l’Usine sont inscrites en rouge dans mon agenda, que ce soit au PTR (qui ne fait depuis plus partie de l’usine, mais garde la salle du rez), au ZOO, au kalvingrad, à la Gravière ou encore a la Makhno… les sons résonnent encore dans ma tête !
On à besoin de l’usine.
A l’Usine, haut lieu de culture alternative en Suisse et en en Europe, bien loin du ByPass et de ses dresscode, tremplin pour des artistes manquant de reconnaissance, a ses salles combles, aux soirées mémorables que j’ai pu y passer et qui m’attendent encore, FIGHT!
Thomas KYRIACOU
Comme une évidence je signe la pétition estimant que ce combat-ci préfigure des batailles à venir…
MENINE Karelle
L’Usine c’est un supplément d’âme, nécessaire, vitale….C’est l’Esprit de la Loi, l’esprit de Genève, multiculturel, multiple….un endroit qui réconcilie, et qui rassemble…les gens, le corps et l’esprit (encore lui!). Arrêtez cette vampirisation par cette dérive sécuritaire, c’est elle qui transforme le peuple en mort-vivant et qui ne lui laisse que ses poings pour exister. L’alternative? La Culture alternative = culture inclusive vs divisée. Je soutiens l’Usine, créatrice d’énergies fécondes.
Carla
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/////////// L’USINE VIT ! ///////////////////
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pierre thoma, sons
Until people have an idea, until people have voice, people need a place like this, people need L’Usine!
Nick, musician from "Hangover Generation"
De tout coeur et pour toujours!
Nicolas Wadimoff, réalisateur et producteur de films, ancien bénévole à l'Usine!
Entre le Canton qui bloque la subvention et la droite et Ville qui fait de la punition une sanction collective, on doit lutter contre ce diktat, cette vision de la nuit qui exclut, qui refuse la différence, le bénévolat, l’échange, l’interdisciplinaire, la programmation de qualité.
Continuons à LUTTER!
Olivier Gurtner, conseiller municipal Ville de Genève, grand conseil de la Nuit
Les fous, les marginaux, les rebelles, les anticonformistes, les dissidents… Tous ceux qui voient les choses différement, qui ne respectent pas
les règles.Vous pouvez les admirer ou les désapprouver, les glorifier ou les dénigrer. Mais vous ne pouvez pas les ignorer. Car ils changent les choses.
Ils inventent, ils imaginent, ils explorent. Ils créent, ils inspirent. Ils font avancer l’humanité. Là ou certains ne voient que folie, nous
voyons du génie. car seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu’ils peuvent changer le monde y parviennent.
Extrait du livre « sur la route » jack Kerouac
Enrico Gastaldello, fondateur du collectif Azzurro Matto Photo
En total soutien avec l’Usine.. On ne lâche rien !! De vouloir soumettre l’Usine au diktat d’une administration psycho-rigide est un très mauvais signal pour la culture alternative à Genève pourtant essentielle..
Catherine Thobellem, co-présidente Everybody's perfect, ancienne élue Ville de Genève (Verts)
Ich bin ein Usiner !
Julien
When Winston Churchill was asked to cut arts funding in favor of the war effort, he simply replied « then what are we fighting for? » ( et voilà, cette phrase résume tout!)
Sarah Hofmann, Lugano
« Personne plus que moi, messieurs, n’est pénétré de la nécessité, de l’urgente nécessité d’alléger le budget.
J’ai déjà voté et continuerai de voter la plupart des réductions proposées, à l’exception de celles qui me paraîtraient tarir les sources même de la vie publique et de celles qui, à côté d’une amélioration financière douteuse, me présenteraient une faute politique certaine.
C’est dans cette dernière catégorie que je range les réductions proposées par le comité des finances sur ce que j’appellerai le budget spécial des lettres, des sciences et des arts.
Que penseriez-vous, messieurs, d’un particulier qui aurait 500 francs de revenus, qui consacrerait tous les ans à sa culture intellectuelle, pour les sciences, les lettres et les arts, une somme bien modeste : 5 francs, et qui, dans un jour de réforme, voudrait économiser sur son intelligence six sous ?
Voilà, messieurs, la mesure exacte de l’économie proposée. Eh bien ! Ce que vous ne conseillez pas à un particulier, au dernier des habitants d’un pays civilisé, on ose le conseiller à la France.
Je viens de vous montrer à quel point l’économie serait petite ; je vais vous montrer maintenant combien le ravage serait grand.
Ce système d’économie ébranle d’un seul coup tout net cet ensemble d’institutions civilisatrices qui est, pour ainsi dire, la base du développement de la pensée française. Et quel moment choisit-on ? C’est ici, à mon sens, la faute politique grave que je vous signalais en commençant : quel moment choisit-on pour mettre en question toutes les institutions à la fois ?
Le moment où elles sont plus nécessaires que jamais, le moment où, loin de les restreindre, il faudrait les étendre et les élargir. Eh ! Quel est, en effet, j’en appelle à vos consciences, j’en appelle à vos sentiments à tous, quel est le grand péril de la situation actuelle ?
L’ignorance. L’ignorance encore plus que la misère. L’ignorance qui nous déborde, qui nous assiège, qui nous investit de toutes parts. C’est à la faveur de l’ignorance que certaines doctrines fatales passent de l’esprit impitoyable des théoriciens dans le cerveau des multitudes. Et c’est dans un pareil moment, devant un pareil danger, qu’on songerait à attaquer, à mutiler, à ébranler toutes ces institutions qui ont pour but spécial de poursuivre, de combattre, de détruire l’ignorance.
On pourvoit à l’éclairage des villes, on allume tous les soirs, et on fait très bien, des réverbères dans les carrefours, dans les places publiques ; quand donc comprendra-t-on que la nuit peut se faire dans le monde moral et qu’il faut allumer des flambeaux dans les esprits ?
Oui, messieurs, j’y insiste. Un mal moral, un mal profond nous travaille et nous tourmente. Ce mal moral, cela est étrange à dire, n’est autre chose que l’excès des tendances matérielles.
Et bien, comment combattre le développement des tendances matérielles ? Par le développement des tendances intellectuelles ; il faut ôter au corps et donner à l’âme. Quand je dis : il faut ôter au corps et donner à l’âme, ne vous méprenez pas sur mon sentiment. Vous me comprenez tous ; je souhaite passionnément, comme chacun de vous, l’amélioration du sort matériel des classes souffrantes ; c’est là selon moi, le grand, l’excellent progrès auquel nous devons tous tendre de tous nos voeux comme hommes et de tous nos efforts comme législateurs.
Eh bien la grande erreur de notre temps, ça a été de pencher, je dis plus, de courber l’esprit des hommes vers la recherche du bien matériel.
Il importe, messieurs, de remédier au mal ; il faut redresser pour ainsi dire l’esprit de l’homme ; il faut, et c’est la grande mission, la mission spéciale du ministère de l’instruction publique, il faut relever l’esprit de l’homme, le tourner vers la conscience, vers le beau, le juste et le vrai, le désintéressé et le grand. C’est là, et seulement là, que vous trouverez la paix de l’homme avec lui-même et par conséquent la paix de l’homme avec la société. Pour arriver à ce but, messieurs, que faudrait-il faire ?
Il faudrait multiplier les écoles, les chaires, les bibliothèques, les musées, les théâtres, les librairies. Il faudrait multiplier les maisons d’études où l’on médite, où l’on s’instruit, où l’on se recueille, où l’on apprend quelque chose, où l’on devient meilleur ; en un mot, il faudrait faire pénétrer de toutes parts la lumière dans l’esprit du peuple ; car c’est par les ténèbres qu’on le perd.
Ce résultat, vous l’aurez quand vous voudrez. Quand vous le voudrez, vous aurez en France un magnifique mouvement intellectuel ; ce mouvement, vous l’avez déjà ; il ne s’agit pas de l’utiliser et de le diriger ; il ne s’agit que de bien cultiver le sol.
L’époque où vous êtes est une époque riche et féconde ; ce ne sont pas les intelligences qui manquent, ce ne sont pas les talents, ce ne sont pas les grandes aptitudes ; ce qui manque, c’est l’impulsion sympathique, c’est l’ encouragement enthousiaste d’un grand gouvernement. Je voterai contre toutes les réductions que je viens de vous signaler et qui amoindriraient l’éclat utile des lettres, des arts et des sciences. Je ne dirai plus qu’un mot aux honorables auteurs du rapport. Vous êtes tombés dans une méprise regrettable ; vous avez cru faire une économie d’argent, c’est une économie de gloire que vous faites. Je la repousse pour la dignité de la France, je la repousse pour l’honneur de la République. »
Victor Hugo défend le budget de la culture
Ah l’Usine… J’y étais à ses débuts en 1989 – sans pour autant avoir été présente à sa soirée d’inauguration. J’ai vraiment l’impression qu’on est en train de se retrouver dans le même situation que dans les années 80, où on se battait pour avoir un lieu comme celui-là. Incroyable qu’après 25 ans d’existence, il y a encore des gens qui veulent voir l’Usine disparaître. Alors fight! fight! fight!
Zaza of Geneva
Comment la droite genevoise peut-elle décemment critiquer toutes les contraintes jugées comme dissuasives imposées aux entreprises et aux fortunés, et ensuite torpiller l’Usine avec des tracasseries administratives superflues et qui nient entièrement l’âme de ce projet et ses besoins propres?
Depuis que la quasi totalité des squats et autres contrats de confiance ont été éradiqués dans cette ville, même les pouvoirs publics ont largement dû reconnaître l’apport inestimable que ces espaces de liberté, d’expression artistique et d’expérimentation sociale apportaient à la culture de la région. Et quand il s’est agit de tenter de combler (même partiellement) ce manque, on a pu se rendre compte que ça coûtait très cher… A nouveau, s’il fallait quantifier l’extraordinaire énergie investie dans les activités de l’Usine depuis ses débuts par ses membres, souvent bénévoles ou très modestement rémunérés, s’il fallait en estimer les coûts véritables, cela coûterait une véritable fortune, ceci alors que l’apport de l’Usine à la région est largement reconnu comme irremplaçable!
L’Usine n’est pas ingrate, elle reconnaît celles et ceux qui l’aident, à commencer par ses membres et son public, mais également les pouvoirs publics qui ont souvent soutenu ses activités. Mais à l’inverse, l’Usine ne devrait pas avoir à mendier les conditions nécessaires à sa survie, elle a raison d’être fière de son indépendance et de son auto-gestion, car c’est bien cet esprit qui permet à ses membres de s’investir sans compter pour offrir à la région ce cadeau inestimable.
Ne laissons pas Genève se tirer (à nouveau) une balle dans le pied…
Fight for l’Usine!!!
Aurélien Gamboni, artiste et chercheur, ancien curateur de Forde
Fight for l’Usine. What else?
Christophe Solioz, référent culturel et professeur de philosophie, CEC Emilie-Gourd
Je suis les activités de l’Usine sa fondation. Je trouve ce lieu de vie très créatif, intéressant.C’est un des poumons d’invention à Genève. Il est vital que la jeunesse ait sa place dans cette ville et la culture alternative s’y développe. L’originalité, La pluralité, la diversité sont fondamentales. C’est un bout de l’espace public, un lieu de vie, de pensée, de culture indispensable pour toute la population genevoise. Pour ne pas vieillir idiots, nous avons besoin de nous faire déranger! Savons-vivre le débat critique, le conflit pour avancer, nous déplacer, nous faire interpeller? Il est à la base de la création de la démocratie et de la philosophie. J’apporte ma solidarité.
Caloz-Tschopp Marie-Claire, philosophe, Collège international de philosophie, Genève-Paris
Travail de qualité et reconnu, il faut que L’Usine existe ! Vive la culture alternative !
Lisa
Je connais l’Usine à peu près depuis mon arrivée en Suisse. C’est est un lieu de culture ouverte, diversifié, énergétique, unique dans le paysage de la Suisse romande et au-delà. L’autorisation buvette unique est de reconnaître son fonctionnement collectif. Retirer les subventions etc. annonce le pire pour le proche avenir. Où ira la culture? Résistons. Le groupe art&politique soutient l’Usine également. (http://kunst-und-politik.ch/pagina.php?1,0)
Heike Fiedler auteure, performeure, membre comité art&politik
Tout cela est vraiment absurde. L’Usine est vitale pour Genève et je soutiens absolument le projet associatif et culturel qu’elle représente.
Jérôme Léonard ( ingénieur du son et musicien)
Ne tuez pas la culture alternative!!!!
Cécile Cosmic, Annecy (France)
L’Usine est l’une des rares institutions actuelles qui maintient Genève en vie ; je suis partisan de l’ordre dans la ville mais pas d’une ordre figé qui tue toute création, tout changement social, toute revendication de ceux qui ne se reconnaissent pas dans l’idéologie dominante.
Roland Peccoud, retraité de l'enseignement genevois.
Indispensable l’Usine ! Je défend la spécificité des modèles de gestion collectif, qui plus est qui ont montré leur succès depuis de nombreuses années comme le prouve l’Usine. Vous avez droit à un traitement adapté à votre manière de fonctionner.
Dominique TINGUELY, Conseiller municipal Plan-les-Ouates
Tout mon soutien pour ce lieu indispensable et riche de la culture genevoise
Fakhr-Soltani Keiwan
L’Usine est depuis sa création, pour les artistes en tournée, un exemple en terme d’accueil technique, administratif, humain et logistique.
Stéphane CUPILLARD, KICKING RECORDS
L’usine fait partie de l’identité de Genève
sans elle pas de culture, pas d’ouverture!!
We fight!
SP
L’usine est indispensable à Genève et personne ne la fera jamais se taire. Fight for usine!
Joaquim
Courage l’usine, on va la gagner cette guerre anti-jeunes! Merci pour tout votre travail et continuez comme ça!
Pablo-Moustache Claparedien
USINE SINEU INEUS NEUSI EUSIN DANS TOUS LES SENS & TOUJOURS UN.
elisa QUARK
Pour tout ce qu’elle fait l’Usine doit être soutenue, c’est une des plus belle richesse culturelle de notre région !
MATTHIEU GEVERTZ
L’Usine est un lieu culturel de patrimoine de première importance au cœur de l’Europe ! Elle est la Mère de toutes les expériences de requalification des friches industrielles !
Laurent DUSSUTOUR Syndicat National de l'Enseignement Agricole Public/Fédération Syndicale Unitaire (F)
Courage, on a besoin de l’Usine ! Meilleur lieu de Genève, jamais je pourrais me passer de vos concerts !
Matthew
Longue vie a l’usine!!!
bibich
Le pouvoir n’aime pas le monde alternatif, ça fait réfléchir les gens et ça, ce n’est pas une bonne chose pour eux.
JSP
Tout mon soutien à l’Usine dont la polyvalence des activités permet à Genève d’avoir sa place dans la création contemporaine au sens large!
Vincent Le Lann
Ivre, la droite genevoise fait de la politique culturelle…
ça serait super que la ville de Genève dans son ensemble se rende compte que y’a une partie de sa population qui souhaite avoir accès à une culture hors des institutions bourgeoises, sans que ça soit hors de prix, le tout dans un lieu qui propose autre chose que les normes qui standardisent nos vies. Mais peut être que c’est trop demander…
Lucile
plus de lieux alternatifs et moins de gros cons!
<3
pied de biche
Un tien, vaut mieux que deux,tu l’auras
Marc
Bip up les amis, on est avec vous, on est ensemble!
Saskia
Lieu culturel indispensable à Genève! Touche pas à l’Usine! We will fight for l’Usine!
Julien Babel
Mr Maudet et Mme Emery-Torracinta luttent contre la culture dans quel but? rendez l’usine au peuple!
Cam
ce qui est sur. Vous allez trouver une solution. Mais ne cedez pas. Une autorisation suffit amplement pour un lieu. Les partis qui se sont mis dans votre anti soutient montre leurs betise et leurs soif de pouvoir et de fric. Beark
Robert hyppolite conseiller en informatique
Tout mon soutien
Al
« I met my love by the gas works wall… » (The Pogues)
Antoine
MERCI A L’USINE, COEUR DE GENEVE, IMPRESCINDIBLE! NO MORIRA!
La Ribot
PLUS DE LOIS
MOINS DE JOIE
Que dire devant tant de bêtise?
On est là et on sera toujours là!
AMI
je vous souhaites de gagner ce combat. L’ usine est un superbe lieu qui abrite de très bon projet, un exemple de gestion collective pour moi .
Kev (I Comme Ici)
On proteste, on clame, on crée :
Croyez-vous qu’ils tiennent compte de nos désirs et de nos idées ?
Et bien, non ! La jeunesse s’amuse et ça dérange
Elle balance tout haut ces opinions, on l’a boycotte à outrance
Non de dieu ! Que faut-il donc faire ?
Quoi que l’on fasse, il y a toujours un que ça exaspère
Ce serait cool si vous déniez nous lâcher
Par exemple, nous foutre la paix et nous laissez danser
IAM, "Laissez-nous Danser"
L’usine est indispensable!
Louis
Il faut rappeler que l’Usine a soutenu et permis à plusieurs générations d’artistes, d’artisans, de technicien de développer un travail de qualité, souvent internationalement reconnu. Il faut se souvenir que l’Usine a permis, au travers des ses diverses associations, à un public diversifié d’accéder à des films de cinéma, des concerts, des expositions et des fêtes rares. Il faut se souvenir des premiers baisers échangés dans ses murs. Grâce à ses activités, ses membres, ses amis et ses utilisateurs, elle à simplement ouvert l’esprit de nombreux-ses, dont moi, à une forme de vie collective, solidaire, généreuse et porteuse d’une culture exigeante.
La culture alternative et sa diversité émancipe! Soutien eternel !
Florian Bach, plasticien et éclairagiste.
Voisin haut savoyard,j’ai fréquenté de nombreuses années l’Usine. Apres avoir nettoyé tous les squats il y a 15 ans, aujourd’hui certains souhaitent terminé le travail en faisant disparaître le seul lieux associalternitf de Genève. Luttez partisans, luttons!!! Tous le point en l’air. La culture doit vivre! United for l’Usine!
Antoine, Barcelone.
L’usine est sans doute le plus bel exemple d’espace culturel libre et indépendant de Suisse Romande. Un exemple de créativité artistique et d’intégration sociale qui fascine les uns et inquiète les autres depuis 25 ans.
Une fois encore (et ce n’est ni la première, ni la dernière), ses opposants tentent de la museler, par peur et par ignorance. Une ignorance qui frise le ridicule lorsque qu’elle incite certains élus genevois à demander la suppression de ses subventions.
Chers élus, permettez-moi un modeste conseil: Si vous souhaitez amadouer et endormir une culture qui vous fait peur, gavez-la de subventions. En lui coupant les vivres, vous la rendrez plus forte et plus incisive (et vous passez pour des guignols auprès de vos concitoyens).
Fight for l’Usine. Forever.
Julien Friderici, Lausanne
Si Babylone ferme l’Usine, je jure que nos soirées continueront d’avoir lieux quitte a ce qu’on les organises dans les rues!
Tout ce que nous voulions c’était danser mais ils on fait de nous des pirates!
Battons nous pour la Liberté! Pour mettre un terme a cette oppression.
Stand Up for your rights as said Bob Marley.
Esteban aka Zephyr-DubFamily
L’USINE COMME EVIDENCE :
En quittant Genève pour Bruxelles il y a 4 ans, j’ai été surprise de peiner à trouver le milieu culturel « alternatif » tant il était discret, petit, caché, marginal. Les gens avec qui j’en parlais me disaient : « Ha oui mais tu viens de Genève ! Ici c’est pas pareil, même lorsque vos squats se font vider il vous reste L’USINE au moins, ici il n’y a rien de cette ampleur.. » Et en effet, alors et toujours, rien d’aussi visible, affirmé, intégré, soutenu, aucun phare de cette envergure.
Un niveau de légitimité symbolique plus officiellement reconnu : l’Université Libre de Bruxelles. En Master de gestion culturelle, lorsque est abordée la question de l’autogestion culturelle, une étude analysant le cas de l’USINE est au centre de la documentation. J’apprends ainsi que L’USINE est un des grands exemples européens en terme d’autogestion culturelle. Pour démystifier un peu peut-être, accrochons-nous un instant à un rocher rassurant : l’autogestion est ‘simplement’ un modèle de gestion à part entière. Un modèle dit « alternatif » car il diverge des modèles dominants, il ouvre un autre horizon de possibles. En fait une des choses qui le différencient vraiment de la plupart des autres modèles est qu’il s’affirme ouvertement lié à une certaine idéologie sociale et politique (plutôt ‘solidaire’), contrairement aux autres dans lesquels l’idéologie intrinsèque est tout autant présente mais jamais aussi révélée..
Si l’on étudie son cas pour illustrer l’autogestion, c’est aussi qu’au-delà de son application du modèle, l’USINE est un succès. C’est en effet LE grand centre culturel populaire que l’on dessine et auquel on rêve déjà dans l’Europe d’après-guerre. C’est un lieu réellement multiple qui reste pourtant lisible et ainsi accessible, aussi grande qu’elle soit suivant ses projets, l’Usine reste à l’échelle humaine et ça, pour la cohésion sociale d’une ville, c’est drôlement capital. A tel point que l’on remarque que, pour peu que l’on habite Genève, l’USINE cesse d’être (uniquement) une exception pour faire partie intégrante du maillage culturel genevois, elle est une évidence dans sa diversité, une évidence que d’aucune sont par la suite surprises de ne pas retrouver dans d’autres plus grandes villes européennes..
L’USINE c’est une plus-value à la ville, une valeur ajoutée. C’est carrément DES valeurs ajoutées. Des valeurs que beaucoup d’entre nous partagent, ce qui nous donne envie d’investir de nos personnes. Et ça aussi c’est du profit, même si comparé aux évaluations normatives de la gestion classique, c’est de l’ « alter-profit ». TANT MIEUX, voyez, il y a plein de joie et d’innovation dans l’alternative.
En tout logique gestionnaire, ce dit modèle alternatif implique toutefois bien entendu ses propres moyens d’évaluation et de fonctionnement. Ainsi trouver des accords et ne pas être « hors la loi » pour les choses qui importent vraiment : d’accord, mais L’USINE ne peut pas être « mise au pas » et suivre toutes les directives uniformisantes, pour la simple et bonne raison qu’elle fonctionne autrement. Il faut donc adapter les moyens aux buts, différencier et entrer dans la réflexion, et ça aussi c’est bon signe, Genève a besoin de cette diversité, il en va de la société comme des champs: non à la monoculture !
Alors, cher.e.s élu.e.s qui sanctionnez depuis en haut en coupant « les fonds de l’USINE » à chaque fois qu’elle sort de vos marquages au sol, vous qui ne voulez pas que l’on écrive sur les murs (juste parce que c’est sale ou parce que les mots vous font un peu peur ?), ALLEZ, arrêtez de vous en prendre à l’USINE comme si elle cristallisait tous les dangers d’une altérité souterraine et menaçante.. L’USINE c’est une altérité au grand air et intégratrice, l’USINE veut « vivre ensemble » et y réussi.
Bien sûr les subventions paraissent un très bon levier de pression, tout le monde s’affole, mais j’ai bien peur que vous ne voyiez ça qu’à court terme… Je me demande si vous vous rendez même compte de l’impact que peuvent avoir vos sanctions punitives, le gel des subventions d’un tel lieu pendant au moins une année c’est des centaines de projets qui n’ont pas lieux, des centaines de vies affectées, mais c’est aussi un raz de marée encore sans précédent dans le champ culturel dont il vous faudra réparer les dégâts pendant de nombreuses années à venir..
L’USINE NE DEVRAIT PAS ETRE UNE ZONE A DEFENDRE, L’USINE CE DEVRAIT ETRE UNE EVIDENCE POUR TOUTES ET TOUS. L’USINE C’EST UNE AMBITION.
Pamina de Coulon - artiste / COdirectrice du Bâtard festival Bruxelles
En 2005, j’ai commencé mes activités d’auteur et de metteur en scène au Théâtre de l’Usine. Sans ce soutien apporté à un parfait inconnu, je n’aurais pas pu développer une activité qui dix ans plus tard essaime dans toute l’espace francophone tant par les spectacles que l’écriture de pièces. Nous avons besoin d’espace hors de l’institution, nous avons besoin de nous construire hors des cadres, des sentiers tous tracés. Porter atteinte à l’Usine dans son ensemble, c’est se couper d’une vitalité essentielle à la bonne santé de la Ville de Genève, c’est propager l’idée d’une ville où rien ne dépasse, où tout est étouffé. La vie, c’est avant tout le mouvement, le foisonnement. L’Usine est essentielle à cette vie. Ce serait dommage de l’oublier.
Jérôme Richer, auteur, metteur en scène - Compagnie des Ombres
L’Usine est encore se qui me donne fois dans cette société et dans notre ville ou brasse argent et hypochrisie, lieux de culture, de partage et de rencontre artistique, la sensation de libérté qu’elle procure est incomparable aux autre établissement. Je me bats et me batterai encore pour cette cause car je l’aime moi, l’Usine!
Maëlle, Etudiante en Architecture
Lieu cultissime de Geneve,qui draine tous les alentours pour des soirées éclectiques et des ambiances de dingue!!!Pourquoi vouloir empêcher cela??
MattC
Je vais à l’Usine y voir des concerts depuis 30 ans et l’endroit est un des lieux culturels les plus côtés de Suisse! J’y ai joué plusieurs fois et ai vu des concerts inoubliables (je viens de Lausanne). Longue vie à l’Usine!!!!
Stephen Garey
l’Usine est un lieu du coeur et de la possibilité de la pensée libre et humaine! c’est un territoire de l’imaginaire, du partage et de la complexité grand MERCI!! créatif et généreux.Longue vie à l’Usine!FORZA l’USINE
Stauffer Gregory
« …People have the power! People have the power!
Power to dream, to rule
to wrestle the world from fools!
I believe everything we dream
can come to pass through our union
we can turn the world around
we can turn the earth’s revolution
we have the power… »
Patti Smith
On ne va pas lâcher! L’Usine gagnera, c’est sûr!
V.
J’ai quitte Geneve il y a quelques annees mais je souhaiterai remercier l’usine pour toutes les lecons de vie q’elle m’a appris. Je vous soutiendrais pour toujours
Marocain
J’ai decouvert l’Usine en arrivant a Geneve et j’etais rassuree de voir qu’un tel endroit puisse exister encore dans un environnement culturel deja lisse et polisse….defendons les creations artistiques, leur liberte et l’expression de liberte et le partage! L’argent ne doit pas etre la seule valeur qui gere l’art et l’expression. Geneve doit etre fiere de sa vie alternative et la proteger – et meme si la majorite des genevois ne visitent pas les spectacles!
Diane
Habituelle ritournelle politique, que l’on retrouve dans toute l’Europe et ailleur.
Ils font mine que le système est lent à l’égard de la culture. Qu’elle ne peut plus être soutenu car la ville dépense déjà assez et que ce type d’espace est entrain de devenir obsolète face à la demande.
Ils aimeraient secrètement se débarrasser de cette culture pour une autre. Ils se voient garant d’une culture pour tous qui seraient une ingénierie entrepreneuriale bien huilé. Ils n’ont pas honte, jamais.
C’est régressif et monarchique mais la non plus ils n’ont pas honte car s’ils pouvaient prendre le pouvoir sur nous ce serait encore pour le bien de tous et pour le rayonnement culturel de Genève en suisse et surtout pas au-delà.
Ils sont capricieux comme des enfants gâtés et personne n’est la pour les remettre en place. Au contraire les entreprises privées leurs donnent des sucettes pour entretenir leur impotence en matière de politique.
Rémi
A 100% avec vous !
Rémy
Il me semble que les gens qui veulent en finir avec l’usine ont la mémoire courte et ne se souviennent des manifestations qui ont précédé son obtention par la jeunesse genevoise… Maintenant qu’on l’a, on va pas la lâcher!!!
François
L’usine est une part incontournable de Genève ; la Genève d’hier, d’aujoutd´hui et de demain! Pour beaucoup nous avons grandit avec! C’est évident! Nous nous battrons!
Océane, géographe
Si on ferme l usine que restera-il de culturel à Genève? Où iront nos jeunes qui n’ont pas les moyens? Dans la rue?
Rosa Capelli
Laissez nous l’Usine!! C’est vrai, l’art et la créativité font peur, surtout aux dictatures. Et c’est pour ça qu’il ne faut pas se laisser faire.
FIGHT 4 USINE!!
Anna
La culture ne peut et ne doit pas être régie par la politique! Les villes ont besoin de ces espaces de vie et de création comme l’Usine qui est devenue un vrai symbole pour tous les possibles de Genève à travers les dernières décennies….
Livia Gnos
C’est beau l’Usine la nuit…
Christine Ferrier, Présidente du Rassemblement des artistes et acteurs culturels (RAAC)
L’usine c’est nous! C’est mes 20 ans. On s’est battu pour l’avoir, on se battra pour la garder!
Danya
Genève n’est rien sans l’Usine, je suis de tout coeur avec vous ! Fight for l’Usine !!
Céline
hasta la victoria siempre!!
Cherix Delphine
I love L »usine, I fight for L »usine!!!
Hereby my support from The Netherlands.
Warmly,
Renée van Trier
Renée van Trier, Artist / Musician
Bon sérieux les gars, maintenant on fait payer l’accès à ma tombe, alors vous allez quand même pas faire chier l’Usine?
Karl Marx
L’Usine est un lieu de tolérance où se mélange la Genève artistique, alternative, passifique, internationale, festive, dansante. Soutenez la culture de l’ouverture!
M.S, habitante de la Jonction
Bonjour,
L’usine est un lieu fondamentale et utile, tant au niveau artistique que social !
Athias Mickael ( Réalisateur - Toulouse )
« Qui sème le vent récolte la tempête. » Est-ce le but recherché par la droite?
Histoire de réprimer et rassurer le bon peuple qui semble avoir tant besoin de l’être?
Muriel Dovaz
Madame, Monsieur,
Quelle désolation de voir qu’à travers le scandaleux chantage que vous exercez sur un espace culturel comme l’USINE, c’est le dynamisme et l’innovation suisses que vous détruisez.
Shakyla Hussain, association FOCUS et ancienne collaboratrice de la Fondation suisse pour la culture Pro Helvetia
Défendre l’Usine, c’est défendre le bastion de la culture alternative.
Grégoire Carasso, Conseiller municipal (PS/Gr)
L’Usine contribue depuis plus de 20 ans faire de Genève une ville rayonnante socialement artistiquement. Initier sa fermeture à cause de lois sévères, qui pourraient tout a fait être adaptées aux fonctionnements des lieux culturels et des associations, est fortement dommageable pour toutes et tous. Il y a toujours une solution, trouvons-là! Courage!
Stéphanie Prizreni, productrice, Genève
25 ans de culture, d’une programmation pleine de surprises, un lieu central pour Genève! On a besoin de l’Usine!!! Un grand merci pour tout ce que vous faites!
Virginia Bjertnes
Tant de générations de Genevois ont connu l’Usine, c’est un lieu culturel majeur de Genève!!!
Nathalie Hachef présidente Association Bazar d'azurs
L’usine, mes premières sorties, mes premiers pas dans ma vie de jeune. Endroit où le jugement n’existe pas. Endroit où j’ai fait les plus belles rencontres de ma vie, et où j’ai renforcé des amitiés, endroit où l’on revoit de vieux potes car on sait que tout le monde y vient le week end. L’usine! Ma chère usine, elle me permet de voir des artistes que je n’aurai jamais pu voir. De découvrir des artistes en tout genre. Merveilleux endroit qui est l’usine ! Il ne faut pas qu’elle meurt!
Merci l’usine et les personnes de l’usine ! On se battera pour sauver cet endroit! On vous soutient!!
Elia Devaud, Laborantine en physique
Soutenons l’Usine !
Sacramento
L’Usine a fait de moi ce que je suis professionnellement, artistiquement et humainement. C’est une merveilleuse école de vie, un endroit rare en Suisse: généreux, novateur, ouvert, tourné vers l’Europe et le monde.
Yannick Jacquet, Artiste plasticien vidéo
L’Usine, reine de la nuit; berceau de bien des rêves. Incubateur artistique
J’y suis presque né, j’y ai créé un de mes premiers spectacles, en 89 je crois.
Elle est vitale et essentielle. Fight is beautiful.
Thierry Crozat, cie les arTpenteurs
Bonjour, l’usine est un lieux unique, fondateur, frondeur et témoin de la vivacité de l exception culturelle de Genève et son aura brille à l international. Je dis ça car je vis à Toulouse, mais, suis originaire de Genève et j’ai puisé beaucoup d’énergie ds ses murs. Il est des symboles qui méritent qu’ on lutte.
bordier alexandre cfondateur du bestiaire à pampilles
Il s’agit de maintenir le dernier espace des Possibles de la cité. Nous ne lâcherons donc pas et irons au front. Aujourd’hui plus que jamais.
Lutz Christian, photographe
Dans ces temps corrompus, tristes et insupportables, la droite arrogante entend toujours faire des exemples. Ils sont finis ces gens là, tôt ou tard ils seront cloués au pilori. Maudet et la clique de droite sont des mirages dans le désert, des conservateurs momifiés.
Il faut soutenir l’Usine parce que c’est vital pour cette ville.
Battons nous pour le droit inaliénable de penser. Freedom
Simha Alex
Comment est-ce possible de devoir encore défendre ce genre de valeurs? Où nos politiques cachent-ils leur simple bon sens et leur courage?!
Dominique Bourquin
Le Conseil d’État, dans sa volonté d’imposer sa vision hygiéniste et normative de la ville, exerce un chantage inadmissible sur le centre culturel en bloquant arbitrairement le virement de dons conséquents, octroyés par la Loterie romande pour remplacer les gradins du Théâtre et le système de sonorisation d’une des salles de concert.Nous soutenons l’Usine dans son combat et demandons le déblocage immédiat des fonds octroyé par la Loterie romande au centre culturel.
Alfonso Gomez (Président des Verts Ville de Genève et conseiller municipale)
L’Usine est l’un des derniers espaces pour la culture alternative. Nous le laisserons pas se faire détruire comme tous les autres. La richesse d’une culture est sa diversité. Stop au lissage permanent de l’image de Genève! Vive l’Usine!!
Madeleine Raykov
Fermer l’Usine c’est essayer de tuer l’espoir.
L’espoir d’être ensemble, la tentative de questionner, inventer, réinventer la communauté artistique et humaine, tout ça à un instant décisif de l’histoire, où l’on a plus que jamais besoin des uns et des autres, où il est plus que nécessaire de sentir et faire sentir notre part d’humanité, la partager et la transmettre.
Nous sommes plus que des machines, nous sommes nombreux et nous refusons d’entrer dans des cadres qui vont à l’encontre de la réalité de nos vies.
Créer c’est vivre, vivre la nuit aussi, faire du bruit parfois, être humains et vivants surtout.
Un endroit de liberté, de confiance, de création, un catalyseur d’énergies collectives, un modèle d’autogestion mondialement reconnu, l’Usine est extrêmement précieuse pour l’émergence de l’art d’aujourd’hui et de demain. Il est indispensable à l’heure actuelle d’avoir de l’espace pour réfléchir, tester, échouer, réussir, imaginer, se confronter à l’altérité et faire l’expérience de la communauté.
J’y ai passé mes premières nuits blanches d’adolescente, j’y ai fait des rencontres déterminantes, j’ai eu l’occasion de présenter un projet au Théâtre de l’Usine que je n’aurais pas pu défendre comme je l’ai fait dans d’autres conditions, l’Usine fait partie de ce qui a formé la citoyenne, l’artiste et l’être humain que je suis aujourd’hui et je refuse absolument d’y renoncer.
Fermer l’Usine c’est nier notre humanité et notre existence, c’est nous enlever une part de nous-même, c’est tenter de réduire à néant nos existences.
On ne s’excusera pas d’exister. On ne se soumettra pas. On est là et on ne se laissera pas abattre.
Emeute d’amour inconditionnel pour l’Usine!
Charlotte Nagel, Actrice-Performeuse
« Pour tous les mal-logés
Il y a un comité
Et même dans ton quartier
Il y a de quoi squatter
Pour tous les mal-logés
Il y a un comité
Qui défend le quartier
Du promoteur sans coeur »
VIVE L’USINE LIBRE !!!!
1 artiste 2 rue
Nos cher-e-s dirigeant-es de droite subissent un petit épisode d’ivresse du pouvoir. Ils-elles feraient bien de comprendre qu’une grande partie de la population étouffe dans la société dont ils-elles rêvent, et que les rares lieux comme l’Usine qui restent sont des bouffées d’oxygène qui permettent de tenir le coup. Supprimez-les, mais ne vous attendez pas à nous voir mourir docilement: ça va péter.
Karl
On a tous besoin d’un lieu comme l’Usine à Genève. C’est indiscutable, non négociable et tellement évident…
Vous avez tout notre soutien !!!
Céline, Responsable communication - NightClub Mambo
L’usine c’est bien, l’usine c’est necessaire. Sans l’usine Genève ne serait pas la même.
D’innombrables soirées passées a la Makno, au théâtre, au sputnik et au ptr. Je soutien l’usine!!!
Alexandra camposampiero
L’Usine, c’est quoi finalement ? C’est un modèle culturel, tant dans la variété que dans la qualité de l’offre; c’est un modèle social, puisque c’est un lieu où tous les publics sont les bienvenus; c’est un modèle économique, où les artistes sont toujours traités correctement – ce qui n’est pas le cas d’autres institutions culturelles genevoises largement plus subventionnées; c’est un centre culturel grâce auquel Genève a un rayonnement international (grâce à son théâtre, grâce à crache-papier, etc.); c’est un nid de professionnels reconnus et disponibles (ingénieurs du son, techniciens divers); et puis aussi on y mange super bien. Bref, c’est un microcosme hyper-fonctionnel à tous les niveaux dont je ne connais aucun équivalent nulle part. En somme il vaudrait mieux que Genève soit géré par l’Usine plutôt que l’inverse. Allez, bisou à tous.
Brice Catherin, big boss du célèbre Car de Thon, musique fraiche pêchée artisanalement depuis 2006.
C’est à nouveau un essai institutionnel de fragiliser L’Usine. L’attitude d’intransigeance radicale de Mr Maudet par rapport à L’Usine, demande des réponses radicales aussi. On attend de la classe politique plus de discernement et moins de méconnaissance et d’amalgames. L’appui à L’Usine doit être aujourd’hui inconditionnel, car L’Usine est un lieu essentiel à la vie de Genève. Fight for L’Usine!!
Oscar Gómez Mata. Compagnie L'Alakran
L’Usine doit continuer à exister comme elle l’entend et comme elle l’a toujours fait. Imaginer Genève sans l’Usine est impossible! Certains veulent que cette culture-là disparaisse, les mêmes qui coupent dans les subventions à la création indépendante, les mêmes qui veulent une ville lisse, propre ou rien ne dépasse! On ne les laissera pas faire, c’est clair! Avec vous, à fond, we F4U!
Barbara Giongo, chargée de production Cie L'Alakran
Mr Maudet and Mme Emery-Torracinta, on vous encourage à passer quelques soirées À l’Usine pour comprendre l’intérêt social du lieu. On est assez fatigués des discours qui ne donnent aucune valeur à la culture. Questionner est un droit!
Quim Pujol
Parce que je ne veux pas d’un monde de plus en plus aseptisé et mortifère.
Joël
Avec vous à 100%!!!!!!!!
Sarah Sandoz
USINE = Indispensable pour la culture et la jeunesse à Genève
Fight For L’Usine ! Pour toujours !!
Louis
Vous avez tout mon soutien! Genève a besoin de vous.
Jean-Baptiste Faure
Laissez nous le seul endroit alternatif de geneve. Sans quoi les jeunes les moins jeunes et ceux qui ne sont pas riches ne pourront plus se divertir! L usine est geneve. Vous devez l accepter au nom de la population!!!!!!
Recordon
le prétexte de la sécurité est insupportable. c’est ce qu’à fait Chirac à Paris en étranglant les petites structures alternatives avec des mesures de sécurité couteuses et déplacées. le prétexte de la loi sur les débits de boissons est honteuse, en c’est un dictat des lobby des cafetiers qui se sentent lésés et qui font pression sur les politiciens. il y a 20 ans l’usine avait le droit de fonctionner 24h sur 24. les lois changent et changeront sans cesse. une loi n’est jamais que provisoire et il faut des combats pour que ces lois changent et évoluent. malheureusement les lois vont dans le sens contraire de la démocratie, et pour ce pays, c’est une honte. le gouvernement de Genève est une honte pour l’humanité. Maudet est un fossoyeur. un message pour les politiciens : cet endroit est un lieu important d’exploration d’une manière de fonctionner à l’horizontale. c’est aussi un lieu d’apprentissage et de formation professionnelle sans égal et surtout qui sort des circuits imposés. c’est un lieu sans profit mais qui emploie beaucoup de monde et qui paie son AVS. vous ne méritez pas d’exercer le pouvoir si celui ci est un abus de pouvoir déguisé en lois . vive l’autodétermination ! vive l’Usine!
Yann Marussich ex-permanent au théatre de l'Usine et maintenant performer dans le monde entier.
À l’attention de Mesdames et Messieurs les Conseillères et Conseillers d’Etat
Mesdames, Messieurs,
Je vous écris de La Chaux-de-Fonds, cette ville lointaine que vous lorgnez, parfois à juste titre, d’un œil amusé. Pour tout vous avouer, je suis né au Locle, ce qui doit achever de vous faire sourire. Tout ça pour vous dire que c’est du haut de ma montagne, avec une certaine distance, que j’observe ce qu’il se passe dans votre cité. J’ai cru comprendre que le conflit avec L‘USINE s’était envenimé et je le regrette. La ville de Genève n’est pas vraiment réputée pour prendre soin de ce qui fait battre son cœur. Je veux parler là, de tout ce qui lui évite de voler la vedette aux Loclois dans le palmarès des villes où il ne se passe pas grand chose. (Même si, en tenant compte du nombre d’habitants, vous faites déjà certainement figure de désert plutôt aride.) Alors réfléchissez bien, même si ce n’est pas le genre de « culture » à laquelle vous vous identifiez, et prenez soin de ce qu’il reste de vivant dans cette Genève déjà à moitié momifiée et confite dans le jus de son propre calvinisme.
Enfin, pour ceux qui ne tolèrent pas qu’un bouseux provocateur de mon espèce vienne mettre son grain de sel là dedans, j’espère qu’ils ont assez d’ouverture d’esprit pour se rendre compte qu’une ville ne brille pas que par sa bourgeoisie cossue, par l’unique présence d’organisations internationales sur son territoire ou par l’affichage outrancier d’un luxe aussi ostentatoire que mal partagé. Vous pouvez être certains que bon nombre de Parisiens doivent regretter le Paris des années folles où la culture populaire avait une aura aussi brillante que ses lumières.
Merci d’y réfléchir.
Lionel Aebischer
Le rôle et l’importance de l’Usine dans le paysage culturel genevois ne sont plus à prouver! On lâche rien face à ce plouc de Maudet qui joue au shériff avec ces grands frustrés de politicards de droite!
Usine will never die
Vinke
IN USINE WE TRUST!!!
LULUXPO
Merci pour la lutte… Vous êtes au top les genevois ont besoin de vous!!!
Gilliand Géraldine
Longue Vie(s) à l’Usine !!!
Joël
Parce que sans l’Usine, je ne saurais plus où sortir, voir des concerts, aller au cinéma, voir des pièces, bref, vivre.
J.
NON à l’aseptisation, Non à la standardisation,
VIVE LA Culture & VIVE la biodiversité,
Keep fighting!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Nicolas Architecte paysagiste
Fight for l’Usine!
Corinna
Indispensable
Joker
L’Usine est un lieu indispensable à la vitalité de la scène artistique et culturelle genevoise. Un lieu vivant occupés par des acteurs culturels singuliers, riches et courageux qui engagent leur temps et leur intelligence à favoriser l’émergence de projets innovants. Au cœur de la ville, cet espace qui sort des sentiers battus, est un poumon nécessaire pour tous. Menacer son fonctionnement, et mettre en péril les projets foisonnants qui en découlent, c’est imposer une vision de la culture à une seule voie : la monotonie, c’est tout simplement nier l’altérité.
You have our support.
Lionnel Gras, critique d'art
Oui il fut lutter, une fois encore! Luttons!
Noemie
Lasst euch nicht unterkriegen! Weitermachen! Grüsse aus Zürich
Nicolas
Prendre la culture en otage d’une telle façon, c’est consternant. L’Usine doit rester ouverte et libre, c’est un lieu indispensable à Genève!
Mai-Thu Perret
nous ne pouvons imaginer notre ville sans un coeur et le coeur de la ville, c’est L’Usine. Ventricule gauche, artère aorte, veines font intégralement parties d’un tout; l’union fait la force, vive la différence! http://mybiggeneva.com/la-menace-contre-l-usine-geneve/
My Big Geneva
L’usine était, est et restera un lieu de rencontre incroyable. C’est cet endroit sans équivalent à Genève qui m’a permis de me construire en tant qu’adolescent, qui a renforcé les amitiés qui se sont créées au collège, m’a ouvert les yeux sur la diversité culturelle et humaine. Je soutiens à vive voix l’usine, un lieu de vie accessible, sans jugements et simplement agréable!
YG, étudiant
Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom:
Liberté!
Paul Eluard.
FORZA l’Usine
La FUR compagnie
La ville a besoin d’air, d’autre chose que de la
Kalvingraderie, l’usine apporte ce genre d’alternative essentielle. Ce chantage financier est inadmissible. Comme l’est la demande de payer les nettoyages de tags
Nathalie
Un poumon au coeur de la ville, l’amputer c’est l’asphyxie assurée.
François Gremaud / 2b company
Longue vie à l’Usine! Ré-si-stance.
Emilie Bujès
Tout mon soutien à l’Usine et toutes leurs activitées qui enrichissent la vie culturelle de Genève.
Alba
Genève sans l’Usine, ce serait comme un domac sans ketchup : sec, monotone et étouffant.
F6SRH
On vous soutient à fond!!! La base de la culture alternative à Geneve doit exister!!!!!!
Cie Yan Duyvendak
Je soutiens l’Usine! Ma Genève nocturne à besoin d’un tel endroit… et c’est un minimum! Genève a besoin d’autres endroits de ce genre pour ne pas devenir une ville morte, aseptisée. La culture, au sens large du terme, est une nécessité et une soupape sociale pour les jeunes et les moins jeunes!
pekko
They sleep, we live
René
Cessez votre politique mesquine et laissez nos lieux culturels VIVRE bord#@%!!! Genève ne doit pas devenir une tirelire qui ne sert que de pompe à fric pour les nantis! FIGHT for L’usine !
Valérie B.
I wish there were more places like it, also where I live now. Fight for it! Geneva needs L’USINE!
GG
L’usine est un lieu essentiel pour une diversité de la culture genevoise, ainsi qu’un lieu où la jeunesse peut s’épanouir a prix abordable et qui ne doit pas être punie pour quelques débordements stupides et contre productif. Malgré ce bémol, tout mon soutien.
Imhof Stephan
fight
deneuve john
FIGHT FOR L’USINE!!
FlexFab
Protest and survive!
Léa
L’Usine vaincra !!
Valerian // Graphiste
Pourquoi supprimer un des rares lieux tourné vers les gens et non vers le profit?
Thomas
L’Usine, un des uniques lieux de culture alternative à Genève, n’a pas à être prise en otage dans des luttes politiques droite-gauche. Je soutiens votre combat !
Delphine
N’endormez pas davantage Genève qui ronronne déjà assez!
Jade / Journaliste
Les lieux alternatifs sont ceux qui permettent un peu de liberté! FIGHT FOR USINE !
Mystique, magique et euphorique, un lieu de partage où la rencontre et l’échange culturel règnent en maître. Incompréhension que les autorités ne voient pas d’intérêt à soutenir ce genre d’espace social… Courage camarades
Agt, architecte
Ce lieu est comme une maison, pour nous tous!!!!!FIGHT!!!
Kitikat
Fermer l’usine…. Et Genève se rapprochera encore plus de la ville la plus fadasse de la planète!! L’usine c’est nos meilleurs souvenirs de fête et ca doit continuer !!!
Philippe
Défendons nos lieux! Pour que le gars qui tague partout « Genève Ville Morte » n’ait jamais raison!
OliveDKS
L’Usine est indispensable à la culture, dans une Genève vendue au fric, aux lounges pour expats, à l’uniformisation! Je la fréquente depuis plus de 29 ans et j’espère pouvoir le faire encore longtemps! No retreat no surrender!
tout mon soutien pour que ce lieu poursuive sa belle activité!
larrieu constance (metteur en scène comédienne)
L’usine a méchament soutenu nostromo dans ses début (club45…). Sans l’usine nous n’aurions probablement pas fait cette carrière. Pour tout les groupes que l’usine va soutenir dans l’avenir je soutiens fermement cette structure
Maik(nostromo)
Le combat pour l’Usine doit aller au delà de la frontière genevoise.
C’est une affaire romande. Il faudrait trouver un moyen de faire une action qui réunisse le canton ! Mobilisons nos forces.
CL
Never give up the fight!
Marc
L’Usine et son offre culturelle sont nécessaires et vitales dans cette Genève qui se renferme petit à petit. Sauvons-la!
Laura Illustratrice
Après avoir vu disparaitre des lieuy comme artamis et le mad de geneve (tous deux concernés au préalable par des discordes administratives) je comprend que l heure est sévère pour la preservation de ce lieu de lumière dans notre ville. Dossiers toujours plus contraignants, billets volants sur des promesses de fumée c est le cocktail de la poignée qui repressionne..mais les gas ont oublié qu avant des photocopieuses nous sommes des coeurs qui battent et ca ils ne nous l enlèverons jamais! Fightforthepulmon
Sand / éducatrice
Lieu incontournable de la culture, part intégrante de ma vie de genevoise, part intégrante de la cité de Calvin !
Sarah
Elle est un poumon de la culture genevoise. Voulez-vous qu’on arrête de respirer?
Kevin Rumley
Genève serait pauvre sans L’Usine.
Lorine Grandjean
L’Usine est le seul véritable endroit sympa et abordable où on peut aller au dernier moment même si on est en pyjama (j’exagère à peine) sans se voir l’entrée refusée! J’entend régulièrement dire par des gens d’ailleurs que à Genève il n’y a « rien à faire pour sortire »… l’Usine est un pilier de la petite vie nocturne genevoise! Indispensable à son bien-être!!! La suprimé c’est mettre beaucoup de monde à la rue au sens propre du terme.. et personne ne veux de ça!
Aidez nous à garder notre centre culturel! Aidez vous à ce qu’on vous fiche la paix! Aidez l’Usine à fonctionner plutôt que, par vanité, de lui mettre des batons dans les roues…
Mélanie, étudiante
Un lieu qui compte pour moi, longue vie! forcément
Hicetnunc
Le monde a besoin d’entendre et de voir des hommes et des femmes libres s’exprimer à travers le son, l’image, la parole- créer c’est réfléchir et agir pour être ensemble, c’est un besoin fondamental pour la société, aussi essentiel que le sont les poumons pour respirer. Nous avons tous besoin de l’Usine!
Jerrycan, performer et chanteur
FIGHT FOR L’USINE
D. Mg
Déjà trop de lieu culturel on ferme sur Genève, un de plus serai du gâchis. C est un lieu d échange ou l on passe de très bonne soirée, il y en a pour tout les goûts. C est aussi un lieu de rencontre et de partage qui est accessible pour tout le monde. Si votre intention est de nous rediriger vers des établissements style boîte nuit avec des entrées et des boissons inabordable ce n est pas notre cas.
Max
Fermer l’Usine c’est arracher une jambe à la culture genevoise !
NON à un paysage culturel monochrome !
NON à une ville bercée par le fric et le surcontrôle !
OUI à la diversité !
La culture est le poumon d’une ville, laissons-le respirer !
Genève a besoin de l’Usine !
VeLo
L’Usine est le nerf de Genève la nuit. Elle soutient les artistes locaux et les encouragent dans leurs créations. Un lieu de partage et de rencontre pour les jeunes et les moins jeunes, ceux qui n’ont pas envie de vider leur porte-monnaie pour sortir. Et surtout un lieu alternatif où tout le monde est bienvenu, des supers concerts abordables et 20 ans de souvenir avec mes amis dans mon coeur. C’est bien dans ce bâtiment que j’ai embrasser mon fiancé pour la première fois…. Merci l’Usine, merci aux bénévoles, merci à tous ceux qui y croient encore jour après jour.
Tania
L’usine est un lieu unique et ne doit pas être considéré comme les autres. Le fait que 18 associations se partagent l’espace demandent logiquement un statut particulier et une gestion différente. Pourquoi vouloir diviser un collectif riche et solidaire, qui fonctionne comme une communauté ? Je crois qu’une seule autorisation suffit non !? J’espère que ce lieu restera encore longtemps, un lieu d’expression, d’échanges et de rencontres… et je soutiens l’Usine dans son combat !!
David 42 ans
This kind of independant srt spaces need to be protected and notvto be closed down.Important for geneva and the cultural field, young artists etc…
Claudia Bosse / artistic director theatercombinat, vienna
Stay strong usine!
Adriaan
Fight for l’usine. Pour ne pas perdre le bout de Genève qui nous plait.
Tha
VIVE L’USINE. MAUDIT MAUDET, FOUS LEUR LA PAIX !
un raton laveur
Genève est bien une ville qui a besoin d’un lieu culturel autogéré, non-lucratif et accessible au grand public, avec une politique qui ne veut pas faire pas de l’art pour du profit. C’est un lieu festif sans dress code, ni de groupes fermés, tout le monde est mélangé et des liens se créent à chaque soirée contrairement à d’autre boîtes où les gens sont snobs. Un coin où un peu oublier qu’on se trouve dans une ville en pleine gentrification, qui se transforme en bling bling. Si vous êtes en faveur de son démantèlement, vous regretterez d’avoir fait d’une ville dans laquelle vous vivez un endroit cadavérique !
Mère Teresa
Bon courage. Vous faites partie de mes beaux souvenirs de ma vie en Suisse. Le coeur est serré et vous soutient dans cette action.
Mathilde
L’Usine est un TOUT, que serait Genève sans elle? C’est un lieu de rencontre connu de tous et pas seulement des genevois. Qui n’y est jamais allé? On se rappellera toutes et tous d’un moins une soirée passé dans cet endroit unique qui offre la possibilité de découvrir autre chose que les night clubs hors de prix à la musique commercial. Elle fait tourner un marché bien au-delà d’elle-même; hôtels pour les artistes, tourisme en général, il n’est pas seulement question de la population genevoise. L’impact d’une telle décision aura plus de retombées négatives à la longue. Genève triste, triste Genève, que serait cette ville sans elle? Politiciens qui avez votez, n’avez-vous jamais passé une soirée dans ce lieu unique? Genève est une ville internationale et elle se doit d’avoir un lieu où la culture l’est également! FIGHT FOR USINE!
M.K, étudiante
L’usine se bat depuis plusieurs années. Nous avons vu les quartiers populaires disparaître. Ne vaudrait-il pas mieux laisser aux populations « alternatives » leur quartier et bâtiment? Certain, dont l’usine, ont une renommée internationale. Ils rassemblent.
A.I Vendeuse à Genève.
L’Usine ne va pas fermer pour une histoire de buvettes, il faut trouver les bons interlocuteurs.
Oldtimer
Allez allez allez!!! Genève n’est plus qu’une ville à banques et à boutiques de luxe, que c’est triste.
Fight for l’usine!!!!
J.
Aiiie pas se laisser faire par les plus con .!
Je suis pas du coin et j’me déplacé pour L’Usine et je veux continuée trop de bonne vibes .!!!
Alolo
Un lieu de mixité culturelle et musicale incontournable! Il y’en a pour tous les goûts, chacun y trouve son compte à L’Usine! Et c’est ça qui est beau!
FIGHT FOR L’USINE!
Scardo
Une artère à ne pas couper.
DJool / Graphiste
Trop de souvenirs et des nouveaux à créer! On espère vraiment que ce lieu magique reste ouvert!!!!
Sylvie
Un des seuls rares endroits où le plus important est le partage contrairement à toutes les boites a frics ! On a besoin de toi Usine ! FIGHT
A.
L’usine est un des plus beaux lieux de rencontre de Genève. Si vous fermez cet endroit magique, il n’y aura plus rien à prix abordable avec de la bonne musique et des personnes géniales. Ce serait dommage et amènera plus de problèmes je pense. FIGHT FOR L’USINE
Lotus
Aucune raison n’est valable pour la fermeture de ce lieu incontournable de la vie nocturne à Genève. Ne lâchez rien
Jonathan étudiant
Toujours là, on ne cédera pas !
Weekly à l'Usine
Soutient indéfectible pour mon Usine préférée !
Serge
Ce combat pose une vraie question: qu’est ce que l’Usine aujourd’hui? Un collectif qui s’affirme d’une seule voix et est en charge de l’ensemble des activités ? Un agrégat de différentes associations qui exploitent chacune leur propre buvette et demandent une subvention qui leur est propre?
(Re)trouver un seul collectif est la seule voie à explorer pour négocier une seule autorisation.
L’usine est nécessaire pour Genève. C’est un coeur et un creuset. Un besoin.
Yann
J’y ai vécu de magnifiques moments de musique et de cinéma. C’est un lieu sans égal en Suisse, le perdre serait donc un désastre culturel.
Cyril
L’Usine est indispensable à la Culture et bien plus, ceci bien au delà des frontières genevoises. La droite fait tristement preuve encore une fois de sa vision étriquée des choses et de sa volonté de mise sous tutelle d’une entité essentielle du tissu social genevois.
Daniel Rosenthal / Ecoutes au vert
laissez vivre le seul lieu autogéré de la ville
Nicolò Abbate
Fight for l’usine !!!!
Lina
L’Usine c’est des événements uniques à des prix accessibles à tous! L’Usine permet l’échange culturel, les rencontres, le partage! L’Usine fait de sa mixité sa force et de sa tolérance un atout! L’Usine c’est une liberté que l’on veut nous enlever! FIGHT FOR L’USINE.
Une hebdomadaire de l'Usine
Courage!!
Giulia Dabalà
On ne peut pas se permettre de priver Genève d’une telle entité. (!!!)
Mythique, centrale, multiculturelle, associative, festivalière, nocturne, alternative, ouverte à tous et à toutes dans la plus grande tolérance. (!!!)
NOUS NE CEDERONS PAS !!!
Ludovic Vial
On abandonnera pas parce-qu’on a besoin de toi
FIGHT FOR L’USINE
K
Vive l’Usine, contre le Fascisme d’Etat, pour la Liberté et le Pluralisme Culturel!
Giancarlo Antinori, Producteur de Musique chez Nosylab
Fight For L’Usine !
Lena, étudiante
Devrions nous vraiment laisser tomber une telle diversité culturelle pour laisser place a une Genève chère et monotone dirigée par une droite rigide?
FIGHT FOR L’USINE!
Robert
Allez!
Qwerty Poiuz
Je, Madame Lola Eulogio
soutiens L’Usine, centre culturel et autogéré établi à Genève depuis plus de 25 ans promouvant la culture sous toutes ses formes à des prix non-discriminants, au regard des demandes listées ci-dessous.
L’association L’Usine demande:
Que cesse le blocage des dons de la Loterie Romande effectué par Pierre Maudet, Conseiller d’Etat chargé du département de la sécurité et de l’économie (DSE), et que lesdits dons attribués à Kalvingrad et au Théâtre de l’Usine soient délivrés sans délais.
Que Anne Emery-Torracinta, Conseillère d’Etat chargée du département de l’instruction publique, de la culture et du sport (DIP), s’attèle à défendre les intérêts des milieux culturels genevois et prenne clairement position quant au discours de Pierre Maudet.
Que l’autorisation pour une buvette unique lui soit délivrée.
Que le fonctionnement collectif, unitaire et solidaire de L’Usine soit reconnu.
Si’l veut plait monsieur, laissé quelque endroit authentique et diffèrent à Genève. La gent qui venons depuis l’étranger, apprécions beaucoup qu’il existe un endroit comme cela. Après que vous aurez fini avec l’Usine, quoi d’autre espace particulier il nous restera a Genève? Vous ne comprenez pas? Ce pas grave, vous devez pas le comprendre, il faudra seulement y respecter et nous soutenir. Merci beaucoup Monsieur.
Eulogio Roig, Lola
Vive l’usine, la liberté et la jeunesse. Gardons un établissement de rencontre musicale et sociale!!
Kian Stenbolt étudiant
Un lieu qui vibre au son des basses, des murs qui tremblent mais qui ne céderont jamais!
L’expression aura toujours le dessus sur la répression… Fight for l’usine, l’âme de Genève!
Rufus Montgomery
Geneve sans l’usine c’est pas geneve !
Fight for l’usine !!
florian schaeren
Il reste trop peu d endroits pour respirer et penser différemment dans cette ville, elle s asphixie gentiment sous une couche de stratus! Réveillez vous!! Réveillez les! Fight for l’Usine!
Fred Schenker
Un des rares lieux festifs abordables à Genève. A sauvegarder !
Kilian R
Don’t touch our our Usine !
Grosses pensées à vous tou.te.s depuis la Turquie <3 L'Usine me manque, je veux la retrouver à mon retour…
Elena Rocco
comment ferait-on pour s’amuser le week end à Genève sinon?
#fight4usine
Frankikong
Fermer des lieux culturels…il est beau le progrès
Zuger franck
Battons nous! Ce qui doit fermer, ce n’est pas l’usine, c’est le clapet de Maudet
Hugo
Soutient l usine
Emile
sans ce lieu, point d’échange;
sans ce lieu , point d’apprentissage ;
sans ce lieu , point d’amour ;
sans ce lieu , comment se remplir/découvrir ? ;
sans ce lieu, je ne serais pas qui je suis aujourdhui.
sans ce lieu; je serais devenu un veau.
sans ce lieu; nous n’aurions pas pu experimenter..
sans ce lieu : des tas d’artiste de tout pays et de tout genre ne pourront plus s’exprimer
FIGHT FOR L’USINE
monsieur.connard, musicien
fight for l usine,
Ce lieu de Genève est mythique êt je suis sur meme pour quelle ques un de no conseiller qui y ont sûrement passé du bon temps pendant leurs jeunesses. L usine est le dernier lieu multiculturelle de notre ville cette endroit magic ouvert à tous et surtout accessible à tous!
Soma
Genève était déjà bien triste quand j’y habitais et heureusement que l’usine était là. Faire disparaître ce haut lieu de la culture dite « alternative » – et pourtant bien plus importante que les propositions de certaines institutions « officielles » – serait une immense erreur pour Genève. FUERZAAAA l’usine !!!!!!
Mestrallet Louise
Le dernier lieu autogéré mois proposant des concerts et soirée de qualité à des prix plus qu’aborde le pour les budget limité, et on veux nous le censurer ?
In énorme courage et soutient à ce lieu mythique qui ne doit pas disparaître !
Et on se battera !
Maxime Berger, apprenti graphiste a
Bonsoir,
L’usine est pour moi un lieu culturel incroyable et fait partie intégrante de la culture genevoise. Il ne faut pas le détruire !
Lot Germain
Non à l’asphyxie culturelle de Genève
Raphaël Rodriguez
Fight 4 L’usine!!!
Fabio
F4U.
Maki
A ce qu’il paraît notre génération ne se fait pas assez entendre et prend pas position, mais quand on se révolte on nous punit, ON N’A PAS PEUR ET ON VA SE BATTRE.
Laetitia P
L’usine est un lieu culte à Genève de la musique et de la population Underground. Il est hors de question qu’elle ferme ! Fight For Usine !
Laora Gems
J’avais tellement envie de devenir « le mec qui a réussit à soumettre l’usine » auprès de mes copains notables dont j’ai tellement besoin de la reconnaissance que j’ai un peu perdu les pédales.
Mais comme dirait le big boss de Volkswagen: « I am sorry, I screwed up ».
Je vous présente donc mes plus plates excuses et viendrai « shake mon boule » sur de la bonne musique, mater un bon film ou voir une bonne pièce en tisant de la bière pas chère dès que l’occasion se présentera.
FIGHT FOR L’USINE !
Pierre M.
J’suis jamais venu car j’suis jeune mais j’aimerais pas passer à côté de ça ! LEEETT’SSS SURVIIIVVE !
Benjamin, Musicien
Quand je suis arrivé à Genève, la ville me paraissait être une petite montagne de neige bien propre et sans reliefs, un petit tas de glaçons où l’argent et l’hygiène murmuraient en coeur « agonie ». Et puis j’ai découvert des lieux comme l’usine, l’écurie, quelques squats encore existants et quelques personnes pour me raconter le temps d’avant. La ville m’avait paru s’illuminer, et j’avais enfin perçue quelque chose comme un peu de chaleur et d’humanité.
Quand j’ai vu les graffitis le lendemain du cortège, évidement je me suis dit « ah les cons », et j’imagine aisément quelques adolescents grivois qui s’y donnèrent à coeur joie sans penser aux conséquences de leurs actes. Ils ont vu les murs de la ville comme un moyen de dire merde, et non pas comme une somme de petites propriétés privées, de commerces de proximité, de boutiques qui s’essaient à fonctionner.
Je ne crois pas en la culture alternative, ou du moins pas en ce terme. Dire qu’une culture est alternative ne dit pas autre chose qu’une culture de remplacement, une culture de l’à côté. Cette culture mérite une autre nom, elle mérite d’être simplement nommée « culture ». L’usine n’est pas un lieu de culture « alternative », il est un lieu de culture tout court, un lieu culte et essentiel pour la ville.
En coupant les subventions allouées à l’usine, c’est une vilaine fessée que ce lieu, ses habitants, ses occupants, ses participants, reçoivent de plein fouet. C’est Papa qui dit qu’on a pas été gentils. C’est Papa qui pense qu’une bonne raclée, ça va tout régler. Ce n’est pas simplement rétrograde, c’est abjecte.
A ceux qui rétorqueront que ce n’est qu’une histoire d’argent, s’il vous plait, retournez regarder la télévision, ne remettez jamais rien en question, laissez vous bercer par l’illusion que le monde est en bonne forme, et transmettez le peu de culture et de savoirs qu’ils vous restent à vos enfants. Et un jour vos enfants vous feront un joli doigt d’honneur, et vous l’aurez bien mérité, cette fois.
Je mets ce texte sur facebook, parce qu’à l’heure du tout-communicant, nos voix ne doivent pas simplement être « entendues » mais comprises et traduises en actes. J’aime cette ville parce que ces lieux existent. Genève sans l’usine, c’est un être sans coeur, c’est un corps qui prévient de son arrêt cardiaque.
LH
Never die !! Full support!
Jeremy Tacchini
l’usine est certainement loin d’être parfaite mais elle essaie au moins de proposer quelque chose de différent à l’ennui quotidien du même reproduit à l’infini. Maudet, même avec ses longues dents, n’aura pas sa peau.
stépo
HASTA SIEMPRE LIBERTAD !
FIGHT FOR L’USiNE
Alice Denyse Matthey
Il faut impérativement sauver un des uniques lieux qui fait de Genève une ville ouverte à tous et pas seulement au plus riches qui s’amusent à dépenser leur fortune dans des club de piètre qualité. Sauvons un lieu qui encourage la vrai culture et les vrai interactions sociales.
FIGHT FOR USINE!
P.H., étudiant en Géosciences et Environnement, UNIL.
LE lieu culturel de Genève
Silvana Rogazione
L’une des seul infrastructures alternatives genevoises ! Impensable de l’imaginer rendre l’âme ! We will always fight !
Romain étudiant GE
Que resterait-il à Genève de différent sans l’usine ? À croire que la différence fait peur.
Mat Evéquoz
Laisser l’Usine vivre en paix ! Laissez en vie ce dernier lieu authentique et créatif à Geneve !
Utiliser tout vos fichus bureaux vide et laissez-nous L’Usine !!! C’est un lieu mythique à Genève ! Ras-le bol de vos lieux sans-âmes !
Stop le massacre des lieux alternatifs !!!
Mutine, enseignante d'art visuel
le seul lieu à Genève qui me ressemble. FIGHT FOR L’USINE!
Mel
FIGHT FOR USINE!!! Je soutiens ce lieu pour toutes les bonnes et moins bonnes choses qu’il nous apporte à tous!! C’est un lieu de créativité ou chacun peut extérioriser à sa façon et ça va vaut de l’or massif
Djoulila
Une méchante révolution va éclater si ce lieu mytique ferme! La diversité et la richesse de la nuit laisseront place petit à petit au Java et à toutes ces merdes du genre! NON MERCI !! Ce n est pas la réalité que je veux! Je suis de tout cœur avec l’USINE! Ils ne savent pas de quoi un peuple est capable lorsqu il se sent mourir à petit feu!!!!!!!!!
M.
Et la culture alors ?? Fight for l’usine à fond
Mum
L’Usine est bien sûr un haut lieu de la culture alternative Genevoise, mais il représente surtout pour moi un espace de liberté et de tolérance. Où d’autre aurais-je pu me réfugier ? Je me suis toujours sentis accepté à l’Usine. Petit à petit, le monde semble se déshumaniser, les politiques veulent raser ces lieux alternatifs de la carte. Courage pour votre lutte.
Christian Dugerdil
Plus que jamais avec l’Usine, hasta la victoria, siempre!
Zed (Marche à l'Onde)
Lieu chaleureux et vivant, où l’on peut encore se payer le luxe d’être surpris et d’étancher sa soif de diversité et sa curiosité…l’Usine a accueilli et vu (et même fait) grandir un grand nombre de petits et petites Genevois/es en quête de culture, de musique, d’échanges et d’ouverture sur l’Autre. Ce n’est pas par pur sentimentalisme que l’Usine doit être défendue mais parce qu’à chaque fois qu’on y met les pieds on y croise mille visages différents aux milles vies différentes et qu’une telle richesse mêlée à une infinie finesse brute, eh ben je ne l’ai encore jamais vue ailleurs…
Su
De telles décisions sont incompréhensible! Ils disent vouloir promouvoir la culture mais font tous pour la tuer! Un va taper un article sur notre site pour montrer notre soutien et faire passer le message! FIGHT 4 L’USINE!!!
Lucas Stoller - Aktivist - Hip-Hop (aktivist-hh.com)
Indispensable aux sorties nocturnes des jeunes genevois. Un lieu top où il y a de tout.
Virg
le jura libre est avec vous ! FIGHT FOR L USINE !
Valli
DE LA FORCE A VOUS TOUS, ON DESCENDERA ENCORE DANS LES RUES DE GENEVE SI IL LE FAUT!!!
Tony
L’Usine: présidente!
Verveine
Longue vie à l’Usine! C’est un monument vivant de Genève et de la Suisse! Fight for l’Usine!
Lesly C
Il faut pas laisser mourir comme on a vu mourrir Artamis. Avec vous jusqu’au bout! Anarchy is order!
MrWalt
D’abord l’Artamis, après l’Usine….?
Qu’est-ce qui reste après?
Veenz
A préserver, non seulement pour ses soirées mais aussi pou tout le complexe culturel alternatif qu’elle propose. FIGHT FOR USINE
Dew
Si L’Usine n’est plus la culture est nue FIGHT4USINE
Victor&Agathe
L’usine est un lieu impératif à la vie culturelle genevoise.
Piuz Raphaël
Un jeune qui veut continuer à sortir en baskets
Il n'y a déjà pas grand chose à faire à Genève. #F4U
J’apporte mon soutien car l’heure est à la conscience! Le MCG un parti déguisé de gauchiste sous lequel se cache de grandes contradictions et des propos xénophobes ultra extrémistes.
S’attaquer à l’usine, c’est s’attaquer à la culture artistique genevoise et Suisse.
S’attaquer à l’usine c’est s’attaquer à un volcan qui a pour but de réguler et purger les tracas du quoditien capitaliste.
S’attaquer à l’usine, c’est s’attaquer à la liberté d’expression du peuple et des artistes Suisse et internationaux.
S’attaquer à l’usine, c’est comme planter un couteau dans le cœur de toutes les personnes sensibles qui se battent pour garder des lieux culturels pour le bien du peuple.
S’attaquer à l’usine, c’est s’attaquer aux valeurs démocratiques du pays lui même.
Et enfin, s’attaquer à l’usine, c’est s’attaquer à l’esemble même d’une constitution libre.
Alors messieurs les droitistes et autres, réfléchissez bien avant de tirez une balle dans votre propre tête. Vous qui vous dites « Citoyens du peuple ». Vous qui pensez défendre des valeurs socialistes en fondant des partis comme le SEGE de 2009 pour lutter contre les frontaliers, osez dire sur une chaîne audiovisuelle que vous voulez que l’usine se transforme en lieu d’accueil pour les migrants, vous êtes en pleine contradiction de vos partis! Vous êtes entrain de jouer à un jeu dangereux.
Alors mesdames et messieurs, membre de partis peu scrupuleux, vous perdez votre temps, car dans la conscience restera toujours la liberté! Faites vous quelques semaines de méditations, cela vous enlèvera peut être la merde que vous avez dans la cavité de vos yeux.
Bien à vous, celui qui veut du bien.
« Fight for L’Usine »
Damian
Damian Deroma (Artiste Genevois, Membre de l'association le block, Résident de la Gravière)
La société n’appartient pas qu’à cette génération de parlementaires. Vous n’avez pas à décider pour nous. Vous ne pouvez pas nous enlever l’Usine, quel sens donner sinon à cette vie à Genève ?!? FIGHT FOR L’USINE !!!!!!
Illan
Parce que sans l’Usine, Genève ne sera plus la même! Fight 4 Usine!
Céline Gaudier
L’Usine est le dernier vrai lieu de culture alternative proposant un cadre et une programmation professionnelle à Genève. Elle est indispensable ou la culture n’a plus lieu d’être.
Tony Sharp, Musicien
« Pour moi ne comptent que ceux qui sont fous de quelque chose, fous de vivre, fous de parler, fous d’être sauvés, ceux qui veulent tout en même temps, ceux qui ne bâillent jamais, qui ne disent pas de banalités, mais brûlent, brûlent, brûlent comme un feu d’artifice »
Jack Kerouac, cité par Yves Buin
Tad
1 pour tous et tous pour l’usine
Stradiotti Michel
Fight for l’usine !
Bosshard
L’usine est pour moi le seul lieu, avec des prix abordables, à vous accepter tel que vous êtes, pas de dress code !
Un des rares endroit où on se sent injugés, égaux à Genève!
Libre d’écouter autre chose que du reggaeton ou de la house…
On peux y voir des artistes qui ne seraient surement pas accepter ailleurs mais aussi en découvrir !
Si vous nous enlevez l’usine, oû irons nous ? Dans vos précieuses rues ?!
Mo'
Tous avec l usine !!!
Bulle
La culture ne doit pas se taire mais faire du bruit. FIGHT FOR USINE
Jack
L’usine c’est toute ma jeunesse
Sandra Cavagna
fight for l’usine !
Nast
L’usine est un lieu emblématique du paysage culturel vaudois et ne doit pas disparaître !
Soyons solidaires et battons nous pour l’usine !
Rudel Bums
we will never surrender
Romain Selleger
L’usine un lieu indispensable à la vie nocturne genevoise, FIGHT 4 USINE!
Méan Marc, Musicien
FIGHT FOR L’USINE ! Lieu de rencontres cosmopolites, d’ouvertures et de libertés des esprits.
DERNIER REMPART à l’aseptisation croissante de cette ville pourrie par sa politique et par son fric dégueulasse FIGHT!
Dim
Pour des raisons politiques, financières, méchantes, bêtes, l’ensemble des institutions culturelles de ce pays sont menacées. Soyons solidaire et unissons nous !
Hugues Houmard - La Plage des Six Pompes
Bonjour, l’heure est grave chers concitoyens !
Sans l’Usine et la programmation culturelle qu’elle propose il ne restera plus que la Gravière et le Motel Campo (comme lieu d’une certaine grandeur) dans le domaine « alternatif ».
Je n’ai pas envie et je n’ai pas les moyens (oui je ne suis pas si riche que ça) de passer mes soirées au P+R que l’on nomme « Bypass ».
Le parti républicain est de tout cœur avec l’Usine et ses résidents !!!
FIGHT FOR L’USINE #F4U
Donald Trump
Pas envie d’aller au ByPass^^
FIGHT FOR L’USINE!!!!!!
Guy, juste Guy
L’usine est un canalisateur social, une vrai erreur de la circonscrire.
Morf Benjamin
fermer l’Usine serait comme un matin sans lumière pour beaucoup. Que proposez-vous à ces personnes?
l’énergie de toute une vie pour certains…
Pour tous les artistes et tous les publics qui sont passés et qui passent par ici ce lieu doit rester ouvert et ne peut être classé dans la case souvenirs.
pour la culture urbaine si bien reconnue… genève n’est pas seulement une ville remplie de bling bling superficiel mais aussi une ville de personnes de taille humaines qui ont besoin que ce lieu reste comme il est.
bien à tous*
acc
Je donne mon soutien inconditionnel à L’USINE ! Non pas en tant qu’établissement physique fais de briques et de mortier, mais en tant qu’idéologie !
Florent Meyer
Je soutiens l’usine !
MB
L’usine n’est pas un luxe. C’est un lieu NECESSAIRE à la vie genevoise. Un poumon. Ne la laissons pas être asphyxiée.
De Moerloose Benedict, avocat
Fight 4 usine
Anaïs
« Privé d’oxygène votre cerveau meurt.Privé de culture aussi »
Branco
Avec vous et derrière vous.
Emilio
Nique le MCG, le PLR et l’UDC qui n’y connaissent rien à la culture et agissent en véritable nazi! Vive l’Usine, ils ont eu l’Artamis ils n’auront pas l’Usine!
Malcolm M'Baye
Ne tuez pas la créativité s’il vous plait.
Sophie
L’usine un lieu indispensable à la vie nocturne genevoise
NOG
L’usine est notamment un lieu où se forment et se sont formés des artistes de talent. La structure autogérée de ce lieu permet à ces artistes d’expérimenter des choses plus librement qu’ailleurs. Sur le plan régional, l’autogestion de l’usine favorise également la diversité des pratiques artistiques. Vu sous ces angles, l’Usine est un lieu de première importance à l’échelle régionale. Fermer l’Usine ou la contraindre à des pratiques administratives contraires à sa mission, c’est refuser de considérer ces deux aspects (la liberté, la diversité) comme importants, voire nécessaires à la création artistique et à la vitalité (et l’attractivité) d’une région.
Romain Bionda
Je soutiens l’Usine.
Pierangelo Juliette
360°Fever soutien l’Usine et son combat !
Les Associations 360, 360° fever et 360° magazine sont depuis 18 ans liées à l’Usine en terme de combat, de vision et de multiples collaborations tout au fil de ces années.
L’Usine a accueilli à de nombreuses reprises 360, l’Usine a les mêmes volontés que 360.
Longue vie à la culture variée et abordable !
Longue vie à l’ouverture d’esprit !
360° fever est là pour l’Usine !
Rolan Delorme et Philippe Scandolera pour l'Association 360, 360° et 360° Fever
Die Usine ist eine der wichtigsten Kulturorte der Stadt Genf und ist bekannt und respektiert in der ganzen Schweiz. Sie in Frage zu stellen ist eine Dummheit…
Chri Frautschi, Kunstraum Lokal-int, Biel-Bienne
On est loin de la pensée de Chruchill pendant la seconde guerre mondiale qui disait que la culture était la seule raison pour laquelle se battre !!! Fight for l’usine !
Vincent Lachaux
Ne touche pas à mon usine !!
Liselotte , grand-mère
Je suis actif dans la vie culturelle de la ville de Montreux depuis bientôt 8ans et je ne sais que trop bien les problèmes rencontrés à cause de politiques repressive et non constructive. Je suis de tout coeur avec l’équipe de l’Usine!
J’ai eu le bonheur de participer à quelques soirée dans ce lieu unique et j’en garde en excellent souvenir! Continuez à vous battre pour ce lieu!
Bravo à l’équipe!
Samuel Nussbaum, ingénieur son, anciennement programmateur et président au Ned Music Club de Montreux
Tout mon soutien à l’usine !
Il faut que ce lieu continue d’exister comme il l’a toujours fait.
C’est bien un des seul lieu où je sors à Genève, où l’on peut rentrer comme l’on est réellement.
Défendons l’usine ! Défendons la culture !
QM
J’y ai passé une soirée avec la chance de visiter le lieu entier avec un ami qui y travaille! Magnifique lieu culturel à préserver à tout pris!!!!
Gaetan Bihel
be careful, we are a lot
#F4U
Selon la loi en vigueur sur la culture, art.3al.1 et 4, la liberté de la création est garantie ainsi que la diversité de l’offre culturelle est assurée! La DSE l’aurait-elle oubliée?
L’usine a toujours été considérée par la droite (mais sans l’avouer) à un lieu de débauche et d’insalubrité, en rétrogradant son statut de lieu culturel alternatif en lieu de beuverie pour les jeunes. Le simple fait que l’Usine soit un lieu autogéré avec sa propre manière de fonctionner, effraie l’état, qui souhaiterais évidemment avoir tout sous son contrôle. Mais l’Usine et ses collectifs, sont Art, Culture et expression! L’Usine est un droit, qui perdurera tant qu’il y aura des gens pour la soutenir!
La ville prétend vouloir offrir aux jeunes des lieux de sorties « digne de ce nom », mais ce n’est en aucun cas à elle de choisir à leur place ce qui est « bon pour eux » ou ce qui ne l’est pas! Maudet oublie que les jeunes sont la plupart du temps majeurs et vacciné! Et non pas des ados prépubères qui ont un droit de sortie jusqu’à minuit. Genève se prétend une ville de culture ouverte d’esprit. Qu’elle le montre en laissant libre arbitre à l’Usine, qui se gère très bien, pour un accès à une culture alternative pour tous!
Rosalux
L’Usine n’est pas seulement un lieu culturel indissociable de la vie associative Genevoise, c’est aussi un espace de liberté et de tolérance où je me suis souvent réfugié et où je me suis toujours senti accepté. Ou aurais-je été sans cela ? Petit à petit, les squats et autres lieux associatifs disparaissent et la ville se déshumanise lentement mais sûrement.
Courage dans votre lutte et longue vie à l’USINE
Christian
L’Usine est un endroit indispensable a l’Europe. Je vous soutiendrai avec mes mains si nécessaire.
¡¡¡¡¡¡FIGHT FOR L’USINE!!!!!!
Ainhoa Hernández , Madrid
Nous sommes venus présenter un concert il y a quelques semaines dans les locaux inspirés du Théatre l’Usine. Outre l’accueil chaleureux du public et sa manifeste curiosité, le TU nous est apparu à mon équipe et moi-même comme une chance de soutien et d’accompagnement pour les formes d’arts les plus engagées, comme un lieu sensible, ouvert et pertinent au service de la création contemporaine. Nous y avons rencontré des artistes profondément novateurs, soucieux de partager leur travail avec le plus grand nombre. Nous y avons engagé des conversations rares, rêvé a des utopies politiques, inventé d’autres manières de penser, de générer et de pratiquer le monde contemporain. Il est de nos jours important de préserver les espaces de nos futurs potentiels et ce malgré les récents bouleversement de nos politiques culturelles. Il en est de la responsabilité des artistes, des institutions, de leurs équipes et de leur public.
Gérald Kurdian
A fond avec l’Usine, espace indispensable de culture et de partage en Suisse! FIGHT FOR L’USINE!!!!
Eric
Il est grand temps que je vienne enfin découvrir ce lieu avant qu’il ne fasse les frais d’une politique sans vision (je touche du bois)!
Mathias
Vivant dans une ville ou, au nom de la « sécurité » et de « l’ordre », les lois musèlent une certaine créativité et détruisent l’offre multiculturelle, où le monopole des concerts est détenu par une seule organisation (une sorte de Pathé pour le 4eme Art), où l’offre musicale est aussi limitée que la playlist de NRJ un samedi soir et où la danse est règlementée (si si…), je souhaite a Genève de ne JAMAIS tomber dans cette bien-pensance aristocratique qui gangrène la dynamique des villes. Longue vie à l’Usine!!!
PS : un moyen de signer la pétition depuis l’étranger?
Tostaky
Le Théâtre de l’Usine a accueilli notre création durant une année entière. Deux pièces et une première de saison dont il a fallu assumer les risques. Peu d’endroits sont aujourd’hui capables d’un tel engagement sur des formes expérimentales. L’Usine ne peut pas disparaître.
Sandrine Teixido
Je ne me suis encore jamais produit à l’Usine en tant que Didgé puisque ce dernier n’est qu’un pseudonyme, mais comme spectatrice – du TU en particulier – comme sensible à la cause de la création sous toutes ses formes et de la scène alternative qui lui donne un lieu d’expression unique, je tiens aujourd’hui à rappeler toute la légitimité de l’Usine et de ses activités dans le paysage culturel genevois. Puis, surtout, je ne veux pas danser sur du David Guetta, une bouteille de smirnoff à dix francs dans les mains, sur le dancefloor du Bypass. Pitié, non.
Didgé Pitt
un bel engagement, une programmation de qualité, une institution genevoise : FIGHT FOR USINE
AF
Euskal Herritik, L’Usine aurrera!!!
Karlos
C’est la déglingue.
Fabrice Lucchini
Ne lâchez rien ! L’usine est un lieu exigent et intelligent qui doit exister.
Courage.
lapalu sophie
Le théâtre de l’Usine est un lieu absolument imprescindible pour nos étudiants de art/action de la HEAD, un lieu courageux, excitant, avec une programmation qu’on trouve pas ailleurs à Genève, une contemporanéité qui est celle que nous souhaitons pour nos étudiants et notre forme de penser l’enseignement. ça serait vraiment difficile de vivre sans l’Usine ou avec un Usine sans moyens de développer son programme magnifique.
Dora García, HEAD – Genève tutorat et coordination option art/action
L’usine est encore le seule endroit sympa en suisse romande! Merci de respecter ce bastion de résistance! Je suis quelqu’un de calme et de bon mais sans elle ça pourrait vite changer! C’est fou mais je crois que mon équilibre dépend d’elle! Bisous à tous!
Thomas VD
Je fréquente l’usine depuis environ 25 ans, plus ou moins fréquemment. J’ai connu pas mal de ses modifications: la buvette qui a donné sa place au Zoo, qui me permettait de me retrouver, me donner un endroit où aller. Je me rappelle la salle en bas, qui se trouvait derrière une porte qui n’existe même plus, et qui a donné place au PTR/Kalvingrad. Pourtant à chaque fois que je passe devant, je la revois, comme si c’était hier. Ces souvenirs sont impérissables.
Maintenant, c’est le Zoo ou le PTR/Kalvingrad que nous fréquentons régulièrement. Ces lieux ne sont pas pour moi que des salles où l’on passe de la musique et où l’on peut consommer à un prix abordable, ce sont des lieux qui m’ont aidé indirectement dans mes moments les plus noirs, supporté, appris à vivre avec des personnes variées. Car en 25 ans de soirées, j’en ai connu des lieux, un peu partout en Europe, et l’usine est bien le seul endroit où l’on se sente un peu comme chez soi, qui nous accepte tels que nous sommes.
Donc, s’il-vous-plait, laissez-nous des endroits pour nous exprimer, nous défouler, dans un lieu « encadré » (je pense que ce mot vous parle Mr Maudet), cela nous éviterait de chercher d’autres solutions « alternatives » pour le faire… ce qui n’est pas forcément le but que vous recherchez et nous non plus.
Heldwin
L’Usine est un endroit génial, un vrai lieu culturel comme il devrait s’en faire plus. On doit préserver ça, c’est une artère de la ville de Genève et elle bouillonne de vie ! Et puis, rien que pour la déco, ce devrait être un monument classé ! En tout cas, un lieu et une programmation supers, variés et ouverts. Une équipe motivée jusqu’au petit matin, et parfois même les croissants pour les couches-tard… C’est fermer cet endroit qui devrait être illégal ! Courage à la team de L’Usine, et FIGHT FOR L’USINE !
George W. Bush
Indispensable à Genève et dans toutes les villes car l’être humain ne nait pas dans une éprouvette, pas encore…
Michèle Clémence
Parce que depuis que j’y ai mis les pieds la première fois il y près de 19 ans,
L’Usine a toujours représenté un vivier des cultures les plus éblouissantes, de celles qui perdurent au travers de ceux qui l’habitent et qui la font vivre tous les jours.
Parce que c’est en son sein que j’y ai découvert les musiques les plus diverses, les personnes les plus folles, le cinéma le plus obscur, le théatre et les performances les plus enrichissantes qu’ils soient.
Parce que ceux qui maintenant font partie de la culture genevoise qui s’exporte et qui rayonne au delà des frontières sont passés par l’Usine, ils y ont échangés leur temps, leurs rires leur sueur et leur larmes.
Parce que c’est dans cette rencontre utopique et pas dans l’adversité quotidienne que l’Usine grandit tous les jours. Parce qu’elle est pour tous ceux qui l’acceptent comme elle est: bigarrée, polyglotte, pluridisciplinaire, engagée, hors-normes.
Parce qu’elle ne promet pas des solutions aux problèmes qui ponctuent notre vie, mais qu’elle te propose et t’accueille pour en discuter. La porte est ouverte à tous et à toutes non? Elle représente ce petit brin de folie qui anime notre vie en dehors de la vie.
Parce que chaque moment que j’y passe amène une rencontre.
Fight 4 U
Fight 4 Usine
P-A
Ravi en tant qu´étranger d´avoir trouvé un endroit aussi superbe et de cette qualité culturelle! Franchement,un lieu de culte de la culture underground au niveau européene (je me souviens encore du concert de Ty Segall!!) qui doit être préservé à tout prix!! Je soustiens l´Usine!
FIGHT FOR L´USINE!!
Víctor Simón
Parce que l’Usine est un lieu culturellement riche, parce qu’à l’Usine on peut aussi bien headbanger un soir et venir voir une expo de jeunes créateurs le lendemain, parce que l’Usine est une bulle de liberté pour tous. Parce que les gens qui y travaillent le font avec ferveur et passion, parce que les personnes qui la fréquentent y passent de bons moments. Parce que c’est notre Usine à nous tous, et que la fermer ferait mourir une part culturelle non négligeable de Genève.
Parce que j’aime l’Usine, tout simplement.
Amandine Metzler
Car on a tous besoin d’un lieu avec des valeurs différentes (surtout de cette chère Ville de Genève), d’un lieu ouvert à toutes et à tous, d’un lieu ou il y a une programmation artistiquement intéressante pour tous les gouts, d’un lieu géré par des gens qui ne travail pas pour l’argent mais pour le plaisir de travailler et pour défendre des valeurs autres, d’un lieu ou les gens ne sont pas catégorisés, d’un lieu libre.. Pour toutes ces raisons et bien plus, je soutiens l’Usine et tous ses membres, pour garder un espace vivant et culturellement important qui propose pleins d’activités à prix accessibles pour tout le monde.
Car la culture, devrait être accessible à tous. Car on a pas envie de vivre dans un monde ou l’argent est une valeur plus importante que le savoir, la culture et l’ouverture d’esprit.
FIGHT FOR USINE, FIGHT FOR THE CULTURE.
Sam Maryu
Citoyenne de Genève, 50 ans.
Je ne vais pas à l’Usine, mais ce lieu de culture alternative doit continuer à exister. Il est nécessaire que les jeunes ait un endroit où ils peuvent se retrouver et écouter la musique qu’ils aiment .
Genève doit être une ville pour tous. Pas seulement pour les riches qui vont au Grand Théâtre puis dîner au Lyrique! Ca n’est pas dans les moyens, ni dans les goûts de tout le monde.
Le gouvernement actuel est en train de transformer Geneve en Monaco!
La révolte gronde ! Ne l’entendez-vous pas?
Mireille Smulders
L’Usine cristallise un débat d’idées, de vision pour l’avenir. Dans un discours, légaliste quelle est la place pour l’exception?
Autrement dit, sommes-nous contraint/asservis à répondre à une vision légiférée de « comment être correct sans provoquer une certaine jalousie ? » Faire de la place pour une autre manière de faire est-il donc si douloureux ?
Qui souffre ? Pourquoi? Autonome, jeune et créatif est-il devenu dangereux ? Sommes-nous dans une gérontocratie ?
Emi
L’Usine, dernier bastion alternatif de la cité, village d’irréductibles gaulois, on est avec toi.
Laura Cazador, cinéaste - Les Films d'Ici
Je viens trop rarement vous voir, mais s’il faut vous défendre, je serais là.
Moi
Fight for L’Usine !!! GoGoGoooo !
Helene Barre
L’Usine est un vivier d’artistes et de citoyens, un exemple rare aujourd’hui, qui seule, assure un équilibre précaire et un lieu libre, populaire, accessible à toutes et tous. L’annuler est une erreur politique inquiétante.
Agnès-Maritza Boulmer, Everybody's Perfect, Glam Chic Prod., mettrure en scène et documentariste, membre d'Etat d'Urgences, puis de l'Usine depuis 1985.
La culture, le passeport ultime, une masse d’or, une hymne donc Fight for l’usine.
CNZ
Je ne suis pas un aficionado de l’Usine mais je n’ignore pas le rôle important que cette association joue dans la vie culturelle genevoise. Les politiciens actuels sont en train de signifier aux genevois que seule une certaine élite a le droit à la liberté. Les autres ne sont pas les bienvenus.
Vinch
La Gara, le Goulet, La croix-d’or, les Délices, Le Garage; La baraka; le Rhino; la Tour, Chez Brigitte; ARTAMIS;etc …moi je demande…à supposé que Maudet réussisse à fermer l’Usine…. ON FAIT QUOI ????
Dan
De tout coeur je soutiens L’Usine, lieu de rencontres tellement important pour tous les âges!
Et je souhaite que M. Maudet et Mme Torracinta sortent du silence et respectent leurs paroles données.
Perce -Neige ( Passionnée de musique )
L’usine est unique. On se battra jusqu’au bout pour que nos enfants, nos petits-enfants, nos petits-petits-enfants puissent également avoir la chance de découvrir ce lieu artistique. Merci l’usine.
Julie
L’usine…un lieu mythique où j’ai passé toute mon adolescence, et où je continue et continuerai à aller! Et j’espère bien transmettre à mes enfants l’amour de la scène alternative. Genève à besoin de ce lieu, après la fermeture de nombreux squats et lieux alternatifs, l’usine reste le seul lieu où je me sens un peu chez moi! Fight For L’usine!!!!
Angélique
L’Usine, lieu de culture alternative à la portée de tous et de toutes, est un poumon dans cette ville moribonde. Nous aimons l’Usine et nous nous battrons pour la préserver telle qu’elle est !
Albrecht Priscilla - Enseignante.
Je suis avec vous
Baudraz
L ordre obsessionnel et la coercition afin que tous soit captifs est l essence de ce que veulent tout les pouvoirs qui rongent petit a petit tous les interstices en serrant les nœuds coulants et les espaces de cultures libres sont seuls dans les tempêts face aux systèmes , viva la muerte
Gujul
Laissez vivre l’usine, parce que ce lieu est unique et indispensable à la vie culturelle et à la vie nocturne genevoise
Véronique Libraire
Pour la soutien de la culture alternative que je vois réprimandée chez moi en France, mais aussi bien partout en Europe et pour laquelle il faut se battre car elle est unique !
Léa Organisatrice
Ils sont peut-être magistrats et députés, mais nous sommes bien plus nombreux qu’eux. Ils ont peut-être des postes de pouvoir dans la politique, mais pendant qu’ils font leur basse besogne de bureaucrates dans leurs bureaux confortables, nous vivons dans cette ville et nous la faisons vivre. N’ayons pas peur d’eux. Légal ou illégal qu’importe, nos désirs sont légitimes, les revendications de l’Usine sont légitimes, aucun coincé du cul installé dans son siège de politicard n’offrira autant à cette ville que ce qu’apporte l’Usine depuis vingt-cinq ans. Surtout, ne lâchez rien! On vous aime et on est avec vous.
Une usagère
Je suis ici à genéve depuis presque deux ans et j’ai découvert l’usine par hasard on va dire et puis maintenant l’usine c’est un lieu dont j’admire énormément, c’est un lieu où franchement je me sens accepté et je crois que des autres gens pensent comme moi car c’est un lieu unique et qui doit être préservé.
FIGHT FOR L’USINE
David Carvalho
USINE, je te soutien. Toi qui nous as permis, permets, PERMETTRA de vivre des univers artistiques aux mille et une facettes.
Pat, Cadre
Je soutiens l’USINE, seul lieu de culture marginal et original de notre cité calviniste.
L’Usine DOIT continuer à vivre….c’est le poumon de la scène musicale genevoise!
Madeleine Ehrenborg
Je soutiens l’USINE car c est le dernier lieu culte et culturel de Genève, la programmation est unique en son genre pour tous les styles de personnes, jeunes et moins jeunes. Dernier lieu marginal dans cette ville qui devient un peu trop ennuyeuse, je frequente l’Usine depuis plus de 20 ans et cet endroit me plait toujours autant, l’architecture, l’ emplacement, l’ ambiance, l’organisation et bien sur la programmation…sans l’Usine, Geneve ne sera plus Genève. ..
sophie
Ne détruisez pas notre famille!
l’usine, organe vital, une histoire, une passion, un bastion….
A préserver, coûte que coûte.
isa
No usine, no geneva
Martin
ON NE LACHERA PAS !
CUENNET Martine
L’usine sert de portail à la culture alternative pour tout le bassin Genevois (et plus loin encore) depuis tant d’années que je n’imaginais pas un jours que sa nécessitée soit remise en question. Aux même titre que le jets d’eau, mais peut-être à un niveau qui semble échapper aux politiques, l’Usine est une facette de l’identité Genevoise qui sert de point de ralliement à toute une population. En tant que telle, elle mérite qu’on la considère et qu’elle fasse partie des considérations budgetaires pour le développement culturel Genvois.
Thomas Rusling
Sans la diversité culturelle accueillie, entretenue et préservée à l’Usine, mon travail de chercheur sur la diversité biologique environnementale n’aurait pas pu aboutir. En effet, il aurait été avorté par un défaut de motivation, un manque de soutien moral et un avilissement spirituel. A l’Usine, nombre protagonistes d’une société qui souhaite un réel progrès pour un meilleur futur peuvent venir se rafraichir les idées et se rafermir les convictions. Il faut permettre à l’Usine de pérenniser l’ensemble de ses activités (buvettes, soirées dansantes, concerts, etc, etc).
Franck Lejzerowicz, docteur de philosophie, Université de Genève
« La démocratie n’est pas simplement la loi de la majorité, c’est la loi de la majorité respectant comme il convient le droit des minorités. » -Clement Attlee
#FightForlUsine
Thibault M.
L’usine ne doit pas être appréhendé comme un fardeau ou poids pour la ville, comme semble le démontrer le Conseil d’Etat. Ceux qui se sont rendus à l’usine, ceux qui sont passés voir un concert ou même boire seulement une bière entre amis, sauront que l’usine représente une force, un lieu concentré de cultures et de classes différentes, un endroit rempli d’histoires et qui fait bon de s’y rendre à toutes occasions. La ville, et pas uniquement ses visiteurs, devrait en être fier et devrait tout faire pour la maintenir en vie ! Bravo pour votre travail à tous. ABE
Bastien Duraz, employé de commerce
Que vous le vouliez ou non, l’usine reste un lieu essentiel à la vie nocturne Genevoise.
N.O
L’Usine est un lieu unique qu’il faut sauvegarder à tout prix. Toute les cultures, les catégories sociales s’y retrouvent afin de passer un bon moment. Les États veulent tous réduire les inégalités entre le peuple, l’Usine ne les réduits pas, elle les supprime. Conservons l’Usine !
Faho Saraiva
Que dire…ne pas se rendre compte de la nécessité d’un tel endroit et du fonctionnement particulier qu’il nécessite par rapport aux clubs à vocation commerciale, c’est faire preuve d’aveuglement. Malgré tous les côtés négatifs que l’ont peut, le plus souvent à tort, attribuer à l’Usine, cela est loin de compenser le nombre incalculable d’éléments positifs tant sur le plan de la culture que de la diversité sociale. C’est véritablement un lieu humainement beau où tout un chacun est accueilli de la même manière sans privilège ni hiérarchie. Genève ne serait plus la même sans « son » Usine telle qu’elle est.
Valentin Baertschi
Gros soutien à tous ceux qui se battent pour la culture et le contact humain ! fight for l’Usine, big up
Arthur BARBOSA
J’adooooooore l’Usine et faut pas quelle ferme ! La musique et l’ambiance est ouf !!!!!!!!!!
Cadet
Et je rajoute, car il faut le dire haut et fort…sans l’Usine, on enlève à Genève, une aura culturelle au niveau local et international !
Aline Garance, Comédienne, Animatrice et Enseignante Théâtre
La différence fait la richesse et la force!
Si on asphyxie l’Usine, c’est toute une partie de la population genevoise qui va manquer de souffle et par effet domino, la Ville de Genève entière va manquer d’air !
Je ne peux pas imaginer, même dans mes pires cauchemars, un si bel endroit disparaître!
L’Usine qui, grâce à l’inventivité des personnes qui s’y investissent, sait accueillir un public très divers (jeunes, moins jeunes, en emploi, sans emploi) et des artistes aux multiples facettes !
A l’Usine, cohabitent les différences, ce qui en fait sa richesse et sa force ; alors prenons exemple sur ce savoir faire et ce savoir être, plutôt que de tenter de le faire disparaître !
Aline Garance, Comédienne, Animatrice et Enseignante Théâtre
Madame, Monsieur, Ne préfériez vous pas voir les gens qui fréquentent ce lieu faire la fête dans ces murs plutôt qui traînent dans les rues avec les problèmes que cela peut engendrer, alors donnez leur cette autorisation et que l’Usine vive car les habitués de ce lieu n’iront pas dans les discothèques, clubs ou pubs branchés pour se divertir ce n’est pas de leurs goûts. Il faut garder l’Usine dans les nuits de Genève et vous remercies d’avance de la considération que vous porterez à ce message. Bonsoir
Paris Daniel
l’Usine est une institution à Genève et un lien direct pour la culture et la diversité musicale genevoise. Il m’est juste impossible d’imaginer la culture genevoise sans l’Usine. Les gens ont besoin de pouvoir se retrouver et de partager dans de tels lieux, de pouvoir s’amuser et s’enrichir culturellement sans devoir se ruiner et ce serait une grave erreur de priver les genevois de ce lieu mythique à mon sens. Alors au lieu de sataniser l’Usine, il vaudrait mieux que les politiques se penchent sur les vrais problèmes de cette société et arrêtent de stigmatiser cette jeunesse qui cherche juste à s’amuser. Je soutiens l’Usine et tous ces membres, tous ceux qui désirent encore pouvoir échanger un minimum et qui ont la force et le courage de proposer une alternative et de la diversité culturelle à cette ville.
TranceOnline
Un haut lieu de la culture alternative genevoise, pour ne pas dire Romande… Laissons donc vivre un des derniers lieu de ce genre, ou l’on peut encore faire la fête sans débourser un bras dans des club surfait à l’ambiance fade…. Laissons vivre l’Usine et faisons en sorte qu’elle éveille encore des milliers de jeunes (et de moins jeunes) au bienfaits de la musique électronique et du rock qui tâche, entre autre….
Gaël Dupraz
L Usine est un magnifique endroit pour la culture, la musique, de l art et des rencontres. Ne laissons pas un si bel endroit, fermer les portes! Je soutiens l Usine.
Antoine Gotama Tortora
Fight for L’usine !! Don’t give up !!
Charles, Technicien Son et plus si affinités !!
Dernier lieu alternatif mythique à Genève…plus de 20 ans que je le fréquente!!! Il y en a pour tout les goûts…toujours des bonnes déco, du bon son, une organisation au top et surtout des prix plus que raisonnables!! Laissez-nous notre Usine!!!
Laurence
L’USINE EST UNE INSTITUTION! POINT!
GARABEDIAN, DJ, PRODUCTEUR, GRAPHISTE. KARASH
Le seul endroit ou l on peut apprécier different styles electro chaque wknd, Mega soutien a vous! Vox Populi!!
Charly
Bonsoir, vos arguments sont justes et votre combat important. Il n’y a pas à séparer les activités et les buvettes, l’Usine est un tout. Vous avez mon soutien.
Amitiés,
AF
Alain Freudiger, écrivain
Je connais qu’une salle ou tous les décors changent chaque weekend, qu’un endroit ou tu pourra voir des artistes d’aussi prêt, qu’un bar ou tu peux venir discuter et t’amuser tous les soirs, qu’un ciné ou tu sera mieux installé que dans ton canap et qu’un théatre ou… je ne suis jamais allé… Bref je connais qu’un lieu ou tu verra autant de création, d’expérimentation, et de gens différents : L’usine.
Thomas
Veuillez laisser l endroit dans l etat dans lequel vous l avez trouvé ! Laissez nous nos endroits alternatifs. Un francais qui n ira plus a geneve si il n y a plus d usine !
ANDRE gilles ,conceriste acharné
Mega support pour vous les gars !!!
Elie
Une
Simple
Idée
Nous
Englobe,
l’idée que l’Usine doit continuer à exister et à fonctionner comme elle l’a toujours fait.
Si vous ne le faites pas pour nous, faites-le pour votre ville.
Kekko
Mal jugé, mal aimé, il reste quand même un lieu de rencontre, de partage et de joie.
Zak
L’USINE est un lieu Mythique de l’Underground et de la Culture à Genève. Nous vous soutiendrons !!!
Gmk
Full support, ne lâchez rien
Max
L’Usine est la raison pour laquelle je suis passionné de musique électronique aujourd’hui, je suis devenu dj, producteur et collectionneur de vinyle grâce à toutes ces soirées folles qui m’ont éduqué de ce milieux.
Damien
Tous enssmeble pour le mentien de ce lieu ! le berceau de la musique !
Ce lieu ne doit PAS disparaitre !
A-leks ( Dj Compositeur )
L’usine est un acteur principal de la scène genevoise pour la culture et la musique ! Laissez la vivre
Ridha
Un endroit merveilleux qui doit continuer de vivre !
Roukmout - Les Trois Huit (Grenoble)
Ils peuvent casser tout les murs autours , détruire nos lieux alternatifs , fermer les squats ,
mais ils ne prendront jamais nos souvenirs .L usine est un point essentiel dans le milieu associatif si ce n est plus la bas on reconstruira comme à chaque fois qu ils ont essayé de
nous dicter nos libertés.
L Usine 4 ever
Secret Society
Continuer la lutte !
Ken Stewart,The Skatalites,Claviers
On arrête pas un peuple qui danse !!!!
Laisser nous ce lieu magique pour survivre dans cette ville …longue vie à l’Usine, never give up !!!!!!! Courage .
Aurora
C’est affligeant de constater qu’en prétextant « faire respecter » des pseudo réglementations, les élus se permettent de mettre le couteau sous la gorge d’un lieu qui n’a plus à prouver les multiples bénéfices sociaux, culturels, artistiques qu’il apporte depuis des années à Genève. Un rapport de force déséquilibré et des actions qui ne visent qu’à satisfaire des égos surdimensionnés qui ne supportent pas d’être contrariés dans leurs petites convictions par le mode de fonctionnement alternatif proposé par l’usine… Résistons si on ne veut pas avoir plus que nos yeux pour pleurer!!!
PC
J’y ai travaillé, j’y emmène régulièrement des groupes et j’en ai découvert de grandioses. Longue vie à l’Usine!!!
Mottier Frédéric
Soutiens ! Quoi qu’il arrive !
Jean-Baptiste
Rébellion ! nous n’allons pas laisser que l’Etat, nous oblige à tenir parole et pas eux !
Oeil pour oeil, dent pour dent. Soutenons l’Usine !
Lau
Laissez vivre l’Usine ! Laissez vivre la culture ! Un lieux unique à Genève, que nous défendrons !!
Mars - inge son
C’est vraiment domage ce qu’ils vous font!! Ne vous laissés pas faire!! On a besoin de l’usine telle qu’elle le est!! De tout coeur avec vous! Résistance!
DM
Alors la décidément ils veulent nous tuer la ville de Genève deja qu’il n’y a pas grand chose a y faire! On se sent toujours bien a l’Usine, arrêtez c’est bientôt l’anarchy ou quoi ?
yp
L’Usine doit continuer à vivre absolument, c’est un lieu culturel incontournable en Suisse Romande, si vous empêchez L’Usine de tourner correctement, vous empêchez le développement de la culture artistique régionale.
De tout coeur avec vous, battons nous !!!
Samuel Bigler
Vive l’usine, vive la différence !!!
Christophe Gillot
S’il faut s’enchaîner au bâtiment, nous le ferons.
Léo
Ne faites pas disparaître le dernier endroit bonnard à genève !
torracon
Usine has to exist!!!
Ment
Le point de ralliement et de rencontre tant de choses se passent entre ses murs
Du haut de votre conseil d’état
Ouvrez vous a la culture
Marine
Mr MAUDET et Mme Emery-Torracinta;
Nous connaissons vos motivations premières… Et vous savez très bien qui nous sommes…
Nous avons des idées bien tranchées et éloignées certes.
Mais comme vous le savez il y aura toujours des jeunes utopistes « de gauche » et des vieux cons « de droite ».
Alors, Que pouvons-nous faire ?
Nous battre éternellement comme ils le font à Jérusalem .
Ou trouvez des ententes où nous serons tous gagnants ?
Nous ne voulons pas vous empêcher de penser ce que vous voulez, nous sommes il paraît en « démocratie ».
Mais arrêtez aussi de vouloir contrôler un domaine que vous ne connaissez pas et qui ne vous parle pas: « L’ART »
Cette chose abjecte qui ne respecte ni loi ni foi et ne sera jamais à vos ordres, jamais soumis, jamais mort…
Vous pouvez tuer la « culture » mais celle-ci renaîtra toujours de ses cendres encore plus forte et plus violente si vous le désirez ainsi !
Alors s’il vous plaît monsieur madame nos représentants, essayer de faire preuve de grandeur et de classe.
Soyez les dignes représentants de notre belle humanité qui aspire à devenir ce qu’elle est depuis toujours:
des êtres suprêmes doués d’Intelligence et de compatie… D’amour et d’entraide…
Arrêtez de nous diviser, car vous régnerez seulement sur des terres pourries par vos avarices…
Amicalement vôtre.
Goin
Goin
Boule multi-facettes de la culture de notre ville, l’Usine est un lieu indispensable qui ne peut exister que dans son unité. Ce lieu magique est la somme de l’énergie dépensée par une foule de personnes qui se démènent jour après jour et depuis des années afin d’offrir au plus grand nombre un accès à une culture vivante, actuelle, à la fois pointue et populaire. Cet espace merveilleux m’a fait découvrir de nombreux artistes, musiciens, auteurs et je souhaite ardemment que cette belle aventure puisse continuer sous cette forme collective et engagée qui lui sied si bien.
Fight for L’Usine !
Louisa K.
l usine , acteur majeur de la culture alternative . ne tuez pas la culture !!!
juan ....
Notre chez nous quand même à la maison on ne s’y sent plus. Là où tous se retrouvent, point commun qui nous unit. Un pour tous et tous pour l’Usine.
Layou
S’ils ne veulent pas que les gens traînent dehors et fassent du bruit qu’ils laissent vivre ces lieux indispensables!
Gabrielle Raffini Imeri
N’essayez pas de faire taire l’un des plus grand centre culturel de genève. Si vous les faites sortir, le reste de la Ville risque d’être envahi et certain feront plus la tronche que d’habitude
Maxime
De tout coeur avec vous!!
Alexx Schroll (www.mooonshiners.com)
Le festival Black Movie soutien à 100% le combat de l’Usine. Cultivés à l’Usine, Black Movie en a gardé les valeurs et le type de fonctionnement. Nous collaborons chaque édition avec des entités de l’Usine pour le plus grand plaisir des festivaliers et des réalisateurs venus des quatre coins de la planète. Ils sont toujours éblouis par cet espace de créativité et de liberté, plus que précieux dans le monde capitaliste et cynique de 2015.
Reidy Kate, Watzlawick Maria, directrices du festival BLACK MOVIE
Vu de France, ce lieu est incontournable à Genève, l’Usine doit subsister et continuer à y produire des événements de qualité afin que la culture alternative puisse subsister !
Jayh Mo'Fire (Bass Jump)
J’ai découvert l’Usine en 2008 lors d’une soirée DMZ au Zoo, et y suis retourné plusieurs fois par la suite malgrès la distance (j’habitais à Grenoble à l’Epoque), grâce à une programmation et un travail d’équipe remarquable.. loongue vie à ce lieu !
Nikitch, Musicien
Un endroit unique que beaucoup de monde vous envie où la culture sous de nombreuses formes peut s’exprimer dans de bonnes conditions alors continuez le combat pour continuer exister !
Xavier
L’Usine est un lieu original qui ne se trouve pas partout! La diversité est importante dans une ville comme Genève. Si vous fermez l’usine vous n’empêcher pas uniquement des Genevois mais toute une communauté (venant des 4 coins de la suisse) de savourer des bon moments !
Sim
Je ne suis pas toujours d’accord avec vos prises de position. Mais je soutiens l’Usine de toute mon âme! Ce lieu est essentiel à cette ville déjà bien lisse et formatée. Vive l’Usine, vive la différence! ( mais la différence, ça gêne…)
stephane - vieux con de la base
À garder absolument à Genève, faut tout faire pour et tenir parole. Un lieu unique avec des responsables intelligents.
Danielle
la liberte d expression encore une fois coupe a la racine.ne lâchez rien!gardez votre cap ,ne doutez pas et ne rentrez pas dans leur moule vive la culture ,le renouveau et l artistique.
aftersky
Vous êtes super!
Une Lausannoise
Résistance !
Menger Charles
Courage à tous . Ne baissez pas les bras . Il ne faut rien lâcher. Bonne continuation
Kelly Diossi
L.usine est un lieu de partage et de rencontre qui est indispensable de part sa diversité de programmation et de gens. J y ai fait des rencontres incroyable au court de ces 20 dernieres années. Jy ai passé les meilleures soirées entre amis, les meilleurs moment improvisés. Ce lieu de partage et de fête fait partie de ma vie et de celle de mes amis. L usine fait en sorte d ammener une contribution culturelle aussi differente de ce qu il.peut y avoir ailleur, alternative et ouverte. Merci l usine et les potos! On se battera.
Silvere (Logistique)
Un lieu d’expression unique, un lieu où on l’on rencontre des gens qui illumine votre vie.
Cycy le WiNnIi
Un monde sans culture ?!! Pouvez vous l’imaginer ? … enlevez votre identité et votre mémoire ! Aussi celle de votre famille et amis! Ça y est, vous y êtes ! Charmant non ? …
Michel Fonteyne Leitao / tenancier de restaurant et gallerie d'art "La Terrazza" à Bagan en birmanie.
Bien triste la démocratie et la liberté d’expression aujourd’hui !!?
Sam meñerve
Vous avez tout mon soutien. Je suis moi même dans la même situation. Espérons que l’état devienne plus tolérant avec la culture alternative, les personnes et les lieux qui lui sont associé.
Cosmix Mat (Bat)
Pour que la Culture reste pluriel et vivante, des lieux comme celui ci doivent toujours exister et les subventionner, n’est pas grand chose aux regards du travail accompli par votre structure qui est impressionnant.
Pierrot Michaël
L’Usine est un des dernier lieux alternatif de Genève. Laissons le vivre !
Jack
C’est éminemment important de ne pas laisser mourir un lieu comme l’Usine qui a généré tant de choses et rendu si vivant tout un grouillement d’activités, d’échanges, d’œuvres, de rencontres sans intermédiaire et dans la vie vraie, de travail, de créativité, d’invention, d’organisation originale, d’événements étonnants et uniques, d’autres manières de penser, vivre, aimer, travailler, rêver, chercher, cultiver, respirer. La disparition déjà de tant d’endroits comme elle polisse si bien Genève que cela finira par la rendre tout à fait propre et stérile. Il est d’autant plus urgent qu’après elle j’ai le sentiment que tout va s’écrouler, tant la grande Dame est encore la garante du maintient de petites îles de singularités, elle au fond devenue un peu notre Reine-Mère. Longue vie à elle, aussi loin que l’on puisse voir.
Geneviève Guhl, metteur en scène, comédienne
l’usine, lieu alternatif institutionnalisé, remplit une fonction nécessaire et cathartique, et il ne serait dans l’intérêt de personne de voir disparaitre un tel endroit fonctionnant comme un coucou suisse, sous peine d’émergences fatales de l »underground » de façon beaucoup moins contrôlée…
martine
L’usine est une famille,Ma famille,Notre Famille!
On ne touche pas à la Famille!!
FIGHT FOR L’USINE 4 EVER
Vince Moloko
l’usine est un lieu indispensable ou l ‘on fait des découvertes, ou l’on peut s’exprimer ou l ‘on peut faire des rencontres, un lieu qui insuffle de la vie à cette ville.
smy
Défendons l’Usine
TOURNIER Caroline, professeur d'arts appliqués
L’Usine est un lieu vivant qui mérite de continuer à fonctionner comme il l’a fait jusqu’à présent à satisfaction. Tout ne doit pas être marchandisé et le marché n’a pas toujours raison ! Long live L’Usine !!!
Thierry, enseigant
Laissez à nos enfants l’opportunité de choisir que nous avons eu!
Laeti
Laissez vivre cette grande Dame de la culture.
Laissez à la portée de tous, la possibilité de découvrir ses nombreuses richesses.
Laissez la se gérer seule comme elle a toujours su le faire.
Laissez la vivre.
La politique… ou l’art de détruire ce qui fonctionne très bien ?
Occupez vous plutôt de ce qui ne va pas
et sans perdre de temps
car il y a des problèmes
bien plus graves et importants
à régler dans notre chère ville de Genève…
Bravo et merci à l’USINE pour tous ces moments grandioses
et il y en aura plein d’autres !
Delphine ( 25 ans de souvenirs à l'Usine )
un lieu unique, une grande diversité culturelle, des prix abordables pour les entrées des concerts et autres évènements, je ne comprends vraiment pas pourquoi les politiciens s’acharnent sur cette Usine qui fonctionne à merveille depuis 25 ans ! Il faut la laisser vivre, c’est une grande dame et elle se débrouille très bien alors cessez ce mobbing indigne. Vos arguments sont des plus bas et ne tienne pas compte des usagers. Faut-il redescendre dans la rue pour garder cet espace tel qu’il est, tel qu’il a été créé ? Il répond à un besoin d’une partie non négligeable de la population qui aime la culture et qui n’a pas les moyens de se payer des sorties hors de prix. Alors du respect pour cet établissement, qu’il puisse continuer à vivre !!!
Delphine
Genève sans l’Usine ? C’est à se demander quelle ville on veut…
Thierry
L’usine est un joyau culturel!
L’usine ne fermera jamais!
Lachez rien!
Fran
Merci d’exister et Bravo !!! Il en faut pour tout l’monde dans la vie et vous êtes de ceux qui en donnent généreusement et sans compter !! Bien que certains décideurs n’y soient pas sensibles, c’est de la pure culture avec un énorme « C » qui suinte de ct’équipe. Lieu CULTE et incontournable à Genève !
Patxi Bimbutz Band
L.usine est nécessaire
Christel, éducatrice
Seul endroit à Genève à s’y sentir encore bien et libre ! Que l’état se concentre sur le concentré de moisissures nocturnes aux quatre coins de Genève !
Ben
Salle de concert exceptionnelle de part son accueil mais aussi par sa qualité technique et les affiches proposées. Nous avons joué plusieurs fois dans ce lieu et ce depuis 1999. Cet endroit reste une de nos références au niveau européen. Ici, les gens sont passionnés et le public aussi. Que deviendrait la vie musicale et culturelle de Genève sans l’Usine ?
8°6 CREW (groupe de musique - Paris - France)
L’Usine,
Berceau de la pluriculturalité genevoise et parfait exemple de l’entente du mélange de gouts,des genres et fer de lance de la jeunesse d’hier et d’aujourd’hui mais avan tout un lieu de plaisir, de bonheur et non de simple débauche comme beaucoup la jugent. Vous,vendeur de fausses paroles, je vous invites donc a venir partager un réel moment GENEVOIS auprès des vrais acteurs de notre société. Vous qui nous décevez de plus en plus avec votre politique de répression. Dans le cas d’une fermeture totale de notre Usine bien-aimée, tremblez, politichiens, car c’est chez vous (vos bureaux) que nous nous retrouverons pour de plus amples explications. Ma déception ne cesse de grandir…
L'Asticut
De tout cœur avec vous !!!
Adrien
JE SUIS L’USINE !
Vic
Ce lieu culturel est une fierté! Vos conseillers d’état devraient s’en rendre compte!
Martin Céline - France
FREE FIGHT ! <3
NINA NANA
Si l’usine meurt, Genève meurt!
Tamara
Un lieu de fête, de culture, de musique, d’échange. Un lieu qui reflète une image multi ethnique et multiculturelle de la cité de Calvin.
J’y ai fait des rencontres enrichissantes, des connections musicales, des soirées pleines d’énergie.
C’est un endroit parfait pour vivre sa liberté à fond, pas cher pour les jeunes, proche de tout, j’ai eu la chance de participer à une émission de Radio Usine, de vivre l’usine pleinement et dans on ensemble.
C’est aussi lieu de rendez-vous, un point de repère de ma ville native, où toutes les générations se mélangent et s’observent.
Des open mics de la Maknho aux soirées Drum&Bass en passant par le hall d’entrée chaleureux et accueillant les nuits d’hiver glacial.
L’Usine dans sa globalité alimente les mouvements culturels Genevois depuis plus de 20 ans et cela ne doit pas s’arrêter.
Gardons l’idéologie de l’Usine telle qu’elle l’a toujours été; alternative et indépendante.
Fight for l’Usine !
Santiago Jimenez (Djeem)
Plus qu’un lieu culturel, l’usine est un véritable lieu de vie, ou tout style de musiques et de personnes se mélangent. Un établissement de ce type est indispensable, nous l’enlever serait comme nous enlever une véritable source d’enrichissement, de bonnes ondes, et surtout de bons souvenirs. Fight for usine !
Jeanne
Ca serait vraiment débile pour Genève de couler l’Usine..
q.
Merci de nous laisser l’unique endroit à geneve qui ne coute pas quarante mille balles pour écouter de la musique de merde et qui est ouvert à tout le monde.
Céline
Tous les lieux alternatifs de Genève disparaissent peu à peu et la ville meurt avec ces disparitions. Ne le voyez-vous donc pas? FIGHT FOR L’USINE! Fight pour la liberté, fight pour la différence!
Cristina Da Vinci
L’usine.. ou comment découvrir la vie nocturne ! A l’époque on pouvait y aller dès 16ans, imaginez la fierté de pouvoir annoncer à ses potes : j’ai enfin 16ans, je peux aller à l’usine ET boire des bières ! Elle passait avant le reste, les concerts variés qui enthousiasme la jeunesse Genevoise, qui n’est pas trop soutenue (OK y’à le skatepark mais bon, cela ne s’adresse qu’aux skaters, bmx etc.) Gardons en vie ce lieu mythique Genevois ! L’usine est morte, Vive l’usine !
Gui
Soutient total à l’USINE fabrique de possibles ! Et halte à la droite qui veut la casser, comme elle veut enterrer la Nouvelle Comédie, et fragmenter la culture.
OUI à l’USINE. NON au terrorisme culturel de la droite!
SYLVAIN THEVOZ, CANDIDAT SOCIALISTE AU CONSEIL NATIONAL
Soutien à l’Usine de Seine-et-Marne.
Soutien pour des lieux par et pour tous, de vie, de réflexions et de création.
Manon
« L’ambition de l’anarchisme n’est pas de détruire la société, mais d’éliminer de la société tout pouvoir disposant d’un droit de contrainte sur l’individu »
LevelUp GvaEvents
Si vous nous enlevez ou etouffez l’activité de l’Usine, vous nous arrachez une partie de notre identité tout simplement ! Notre devise est Post Tenebras, alors respectez-la et cessez de vois comporter comme aux temps sombres de la censure ! Vive l’Usine libre
Victoria
Petit a petit tous les lieux comme celui-ci disparaissent en Europe et les conséquences sont très grave les artistes sont en voie de disparition!
Christensen
Longue vie aux espaces culturels en Suisse! L’Usine est un endroit unique qui mérite sa place en ville de Genève. Courage, battons-nous.
Loraine
L’Usine est un exemple à suivre! Avant-garde, diverse, tolérante, libre et ouverte, voila un lieu qui nous fait prendre de la hauteur, qui nous ramène à notre humanité. Merci l’usine pour toutes ces découvertes, ces sensations, ces rencontres, ces émotions, merci d’avoir contribué à mon devenir. Souvenirs il y eut et souvenirs il y aura, compte sur moi!
Fight for l’Usine, fight for cultur, fight for freedom!
Claudio B - collaborateur au dfae
La culture est une partie fondamental d’un pays, d’une ville. L’usine est culture, culture vive, et un lieu de réference pour de centaines de personnes.
Longue vie à l’usine!
Victoria (enseignante)
Pour que toutes les cultures puissent s’exprimer et que tout un chacun ait un lieu d’échanges et de rencontres, l’Usine doit vivre !
J.Campos
Tout le Botox est derrière vous !!!
La Culture, la Liberté et l’Epanouissement artistique de la région genevoise doit avoir des endroits comme l’Usine pour laisser le Vivant de l’Homme s’ébattre naturellement et simplement… Longue vie à l’Usine 🙂
Botox 4 Daisy ( Seven Luvv )
Salut l’Usine,
La seule fois ou j’ai No Use For A Name c’était chez toi. Un dimanche soir fin janvier alors que j’étais encore étudiant à Besancon. Respect éternel uniquement pour ce concert !
Depuis Tony Sly est décédé mais je continue d’écouter No Use For A Name tous les jours.
Fin aout je suis revenu chez toi voir Bad Religion et c’était le meilleur concert que j’ai vu d’eux.
Donc longue vie à l’Usine et bon courage à toute l’équipe.
++
Ben
Steck Benjamin / Road Trip Asso
Un lieu incroyable, qui ne juge personne, où tout le monde peut venir sans discrimination. Un lieu magique, rempli de culture, de bons sons,de convivialité.
Un espace qui permet à toutes et à tous de pouvoir se retrouver pour vivre de futurs souvenirs mémorable.
Ce lieu est unique et il faut le préserver.
Fight for l’usine!
Kika
KEEP IT UP L’USINE! On se battra avec toi! Bisous
Josselin
Une ville sans culture alternative est une ville morte!
Genève ne peut tout simplement pas se passer de l’Usine…!
Longue vie à vous <3
Gina
L’usine est vraiment un endroit ou tout est possible ou tout le monde trouve sa place. C’est l’un des club les plus connu de La Suisse romande alors pourquoi vouloir mettre des bâtons dans les roues d’une organisation présente depuis très longtemps et qui sait se gérer d’une main de fer. Genève ne sera plus pareil sans l’Usine et notre vie étudiante bien moins attractive. Merci à l’usine et battez vous, en tout cas nous vous envoyons tout notre soutien !
Manon, étudiante
C’est INACCEPTABLE ! Sauvegardons nos droits, nos libertés, battons-nous pour l’Usine, qui subit un chantage épouvantable, passé sous silence par les politiques et le DIP! Il y a peu, on se battait pour la liberté d’expression, l’Usine, elle aussi, s’exprime! Ce chantage, c’est la censurer, si on ne fait rien, on se bâillonne nous-même. Un consensus a été trouvé, il doit être respecté. Et puis, au-delà de tout cela, a-t-on envie que l’un des lieux culturels et de fête les plus dynamiques de Genève soit un jour fermé? NON. Il faut les aider, pousser le débat dans une ambiance propice aux solutions … COURAGE l’USINE!
Sarah, étudiante à l'UNIGE
C’est énervant et triste en même temps que nos conseillers d’État veulent diviser une structure regroupant plusieurs collectifs et associations, lieu incontournable de la culture alternative à Genève. L’Usine rayonne par son fonctionnement et par la possibilité à toutes personnes de s’épanouir lors de concerts, de découvertes artistiques, de théâtre et autres atelier à des prix plus que raisonnables.
Pauline
Pattano
L’Usine est un lieu vivant qui est en passe d’être le dernier de son espèce à Genève. L’Usine c’est plus qu’une boîte de nuit comme certains aiment à la réduire, c’est aussi et surtout des concerts, du cinéma, du théâtre et bien d’autres choses encore. C’est aussi un lieu social important qui malgré ses défauts, rempli un besoin essentiel de la culture alternative.
Jon
« Don’t fight it,feel it »
Primal Scream
To me Usine is this,not a place,a building…
It’s a feeling
Edoardo Ricci
Un lieu de culture unique et historique, c’est une richesse de la ville que beaucoup de nous envie! voyez la chance d’avoir en les murs de la cité de calvin, une telle perle, où tous les arts peuvent s’exprimer librement!
Fermer l’usine c’est fermer vos esprit, à moins que le deuxième cas soit déja un fait…
erik
Comme tout lieu culturel, qui plus est qui touche à mon art préféré à savoir la musique, je ne pourrais apporter que mon soutien, notamment lorsque ces derniers se retrouvent mis en danger par le fait d’actions politiques, institutionnelles ou autres. De plus, si je ne connais pas historiquement l’Usine, ce lieu respire la sincérité, l’engagement et la passion. Full Support de la part d’un Lyonnais qui sait très bien la lutte permanente qui occupe bon nombre de salles de concerts et lieux culturels pour survivre.
Fred - Photographe www.fredericboivin.fr
Plus d’Usine…plus de vie culturelle à Genève. Fight for L’Usine!
Flo
L’usine n’est pas une boîte de nuit, l’usine est un lieu culturelle, un lieu de rencontre, on s’y sent chez nous! Alors de tous mon coeur « Fight 4 Usine » !
Boris
L’usine est un haut lieu de la culture musicale underground en tout genre, son action doit absolument perdurer pour que de génération en génération on puisse continuer à y découvrir des styles et des talents que l’on ne voit pas ailleurs et ce dans une atmosphère de liberté de plus en plus rare à notre époque !!!
Force & courage à l’usine !!!!
Daddyrudieredrockers
Full support de Grenoble
Bass Jump
Haut lieu de culture et de création, de rencontres d’univers, aujourd’hui une référence pour les touristes qui aiment Genève et les Genevois et ne cherchent pas seulement à passer un dejeuner a l’entrecote au milieu d’une ville fantôme.
Touriste parisienne amoureuse de la Suisse.
Khallaf
Ne plus continuer à soutenir le travail de créativité de l’usine signifie arrêter de nourrir la cité de ses recherches artistiques non conventionnelles. De plus c’est l’argent généré par la loterie romande qui finance ce projet. La loterie qui est bien un organisme de rêve pour ceux qui achètent un billet. Alors pourquoi empêcher la création et le rêve à l’Usine? Oui soutenons l’Usine !
Maria Cristina Bredow
Battons nous pour l’usine, un des derniers remparts face à la mauvaise musique et à l’inculture. L’usine ne doit pas être considéré comme une simple boite de nuit. L’usine c’est bien plus que ça. C’est un des rares endroits ou il est encore possible de se cultiver.
L’usine, de par sa bonne sélection prône de véritables valeurs autre qu’un simple profit. L’usine n’a pas pour but de se comporter comme un lieu de consommation destiné au profit. l’Usine enfin, c’est la liberté. Tenter de fermer l’Usine, c’est tenter de restreindre nos libertés. Et si il faut se battre pour conserver ce lieu, alors soit. J’affirme que l’Usine restera ouverte car notre parole est plus forte que deux magistrats.
Val, amateur de bonnes musique
Une initiative dont beaucoup de collectivités seraient fières grâce au dynamisme artistique et aux valeurs qu’elle apporte! Un manque de discernement total vis-à-vis de cette institution qu’est l’Usine.. Faites preuve de bon sens!
Fafa
L’usine est un des piliers d’une autre culture, une institution hors des institutions. Il est aberrant qu’aujourd’hui encore, dans le monde multi-culturel et trans-disciplinaires du XXIeme siècle, l’état pense judicieux de cloisonner des activités à des murs en fermant les portes à un monde de possible et de dialogues entre acteurs, activités et consommateurs de cultures.
Le chantage actuel met malheureusement à jour les dysfonctionnement de l’Etat, qui bien qu’ayant mis en place une réforme ne sait pas ou n’ose pas projeter Genève dans le présent. Les lois doivent correspondre à la société qu’elles régisse et si celles-ci ne sont pas adaptées, ils est du devoir des élus de les changer.
Quelle libertés reste-t-il, lorsqu’il est interdit de manger et danser au même endroit?
Hendrik van Boetzelaer, architecte, dj
L’usine est une couleur locale. .. elle fait partie de notre patrimoine, elle est ce qui donne à Genéve du caractère, de la vie, de la culture, celle qui échappe et qui doit rester libre.
Christian Scheidt comédien
Le New York Times écrivait à propos d’une culture alternative qui se meurt à Genève en 2011 suite à un article paru dans Le Temps…
Ne laissons pas l’Usine perdre sa façon de fonctionner. Ne laissons pas l’Usine perdre ce qui fait son identité. Ne laissons pas l’Usine perdre sa gestion qui fait sens. Ne laissons pas l’Usine mourir.
Ne sabotons pas l’Usine.
Merci pour eux, merci pour nous.
Lucie
La Cave à Musique à Mâcon (F) est née juste après l’Usine et je ne peuX que me souvenir de mon premier concert à L’Usine : Noise Gate. Depuis, L’Usine est restée et demeure le lieu où je passe quand je suis à Genève. Vous avez, comme d’hab, tout mon soutien même si mon courrier du 16 avril 2015 à Maudet et son « accusé de réception » du 20 avril mentionnant qu’il a retenu sa meilleure attention et dont il m’a remercié n’auront, bien évidemment, servi à RIEN dans sa morbide réfleXion.
Que cet homme sache qu’il n’est que temporairement élu et/ou « en poste », qu’il sache aussi que ses vices n’ont rien à voir avec nos vertus et les valeurs de liberté et de tolérance que nous défendons.
Sans L’Usine, ce monsieur va se retrouver à devoir « gérer » d’autres problèmes auxquels soit il ne s’attend même pas, soit qu’il « cherche » pour s’abreuver de son pouvoir maléfiK auréolé de ses vanités bientôt exsangues…
Homme sans parole et sans âme, pauvre de lui ! HONTE SUR LUI !
Vous, toute l’équipe de L’Usine, à tous les étages, vous donnez beaucoup et vous avez tout mon respect et mes remerciements.
A tout bientôt,
= Ninus =
Ninus Philippe GRAND [KA]P ~ [Koopérations Actions] Productions ~ Co-fondateur bénévole de La Cave à Musique à Mâcon
Fight avec vous tous for L’USINE !
Sinon je ne viens plus à Genève 😉 bisou à toute l’équipe
DESIRELESS
Vive l’Usine ! oui, VIVE L’USINE !
Depuis presque 20 ans, je grandis grâce à ce lieu et aux gens qui le font vivre.
Musiques, théâtres, arts plastiques, rencontres, perfos, découvertes multiples qui continuent à me former et à me dé-formater.
L’Usine connue bien au-delà de ces simples alentours.
L’Usine, pierre fondatrice et inspiratrice d’une culture qui touche et concerne les êtres humains,
contrariant la vacuité de ce tas d’ordure qu’on nous vend comme culture.
Qu’on se le dise : sans l’Usine, Genève signe sa descente vers les enfers de la bêtise.
Fanny Pelichet - comédienne
Vive l’Usine, incubateur d’art et d’expression sociale!
Nous aimerions avoir dans notre Etat, des lieux de culture, où les artistes puissent aussi être barmen-women, homme ou femmes de ménage, ouvreurs-euses, heureux-euses si cela leur chante. Où la créativité et la vie puisse prendre toutes les formes, où nous pourrions nous rendre en étant fiers de notre Etat quel que soit notre état! Nous aimerions garder une culture vivante grâce au respect fait à leurs acteurs (trices) par les fonctionnaires de notre Etat.
Merci
Deirdre Foster conteuse
L’Usine, c’est toute ma jeunesse. L’Usine m’a apris a chercher la liberté et a la nourrir quand je la trouve. Je suis fier d’habiter une ville qui a su créer un espace aussi beau.
Rasim
Un petit mot en provenance du sud de la France pour dire toute l’importance de l’Usine, dans le paysage artistique et alternatif européen. Puisse Genève entendre le juste appel de cette structure humaniste, fiable, intègre, créatrice, et prendre conscience de « l’utilité » d’un pareil lieu culturel dans la cité. « Le mal qui est dans le monde vient presque toujours de l’ignorance » – La Peste, A. Camus
Antoine Aureche (Operation Of The Sun)
Usine, dans notre ville, dans notre culture, dans nos repères, notre histoire, notre héritage, nos coeurs…
Mélanie
Français (et non frontalier), c’est l’Usine qui m’a découvrir Genève et c’est l’Usine qui m’y fait retourner toujours plus, allant à y passer un week-end ou plus en profitant d’y voir un concert ou plusieurs selon la programmation. Genève et l’Usine sont pour moi deux entités totalement indissociables.
Étonnamment, alors que je découvre toujours plus la ville, c’est toujours vers l’Usine que mes pieds reviennent comme inéluctablement attiré par ce lieu, véritable centre névralgique culturel de création, d’ouverture, de générosité, de liens entre et par des publics qui font de l’humain une règle d’or sur laquelle baser nos rapports. L’Usine est un lieu de vie, au sens le plus noble du terme, et c’est bien peut-être l’un des seuls de la ville à avoir ce rayonnement international.
Par international, j’entends la qualité et la diversité de la programmation qui y est offerte, surtout ces dernières années avec des pointures qu’aucun autre endroit en ville n’aurait su accueillir avec autant de cachet, de crédibilité et de savoir-faire que ceux que l’Usine a su développer et capitaliser après toutes ces années.
En ce sens, l’acharnement du préfet Maudet à mettre des bâtons dans les roues au bon fonctionnement de l’Usine est aussi révoltant que stupide; que veut-il faire de Genève?
Se priver de l’Usine reviendrait à éteindre un peu plus une ville qui possède déjà bien trop peu de lieux dans lesquels un semblant de rayonnement culturel réel et créateur peut être vu luire. Se battre pour l’Usine, c’est ce battre pour ce rayonnement et tout acte contraire relève d’une certaine forme de malhonnêteté intellectuelle et morale.
Fight for l’Usine!
tof
Diversité culturelle, générosité des acteurs du site, un dynamisme qu’on ne peut pas trouver ailleurs ! A ne pas laisser disparaître, ce sont des années d’expérience et d’inventivité qui font le terreau !
Anne Bussard artiste
Nous soutenons l’Usine sur l’ensemble de ses revendications, le vivier qu’elle a toujours représenté nous ravit, nous donne de l’espoir depuis le début d’Etat d’Urgences et nous rend fiers par sa présence à Genève : créative, combattive et autogérée, indivisible et formidable.
Fstival et association Everybody's Perfect
L’Usine est bien trop précieuse pour se laisser transformer par les mains formatées et anti – artistiques de cette politique culturello-mortifère qu’entretient la ville se Genève depuis quelques années.
L’Usine fait partie de mes lieux de coeur Genevois.
Je croise les doigts pour que celui – ci ne disparaisse pas non plus…
Nour
Halte au formatage de nos vies!
Nous ne voulons pas devenir de petits baudets bien proprets rasant les murs, profils bas à la sortie du turbin ou du chômedu pour aller s’enterrer vivants dans de lugubres clapiers hors de prix avec comme seule muse notre télécommande TV.. ceci pour permettre à une poignée d’arrivistes de péter plus haut que leurs culs.
L’Usine est un vivier de culture, de rencontres, de réalisations, de convivialité, un laboratoire d’expériences humaines collectives et un des rares espaces d’expression accessible à un très large public à Genève.
L’Usine crée des passerelles avec ses buvettes entre les différents publics et acteurs culturels qui la fréquentent.
Ces bars ont une utilité artistique et sociale globale qui forge au quotidien l’identité de l’Usine et ouvrent de nouveaux terrains de découvertes au public. Ils sont aussi indivisibles que l’est l’Usine dans son fonctionnement et sa raison d’exister.
Si M. Maudet veut transformer Genève en un vaste cimetière St-Georges, je lui prédis de sérieux ennuis.. Montrons-lui que nous n’avons aucune envie d’être enterrés vivants.
Longue vie à l’Usine interdisciplinaire, accessible, autogérée et indivisible !
Olivier Stoffel
Olivier Stoffel
Fight pour L’Usine ! Fight pour l’indépendance artistique et culturelle !
Agnès
L’Usine n’est pas morte, vive l’Usine !
Curchod Chine, comédienne-marionnettiste
25 ans de bons et loyaux services, ne vous en déplaise. Et pas un merci?
Allons, Benoît, épuisez-moi; ça tombe bien, j’ai mes vapeurs.
Détendez-vous et laissez L’Usine faire ce qu’elle fait de mieux: enluminer de ses charmes les cieux un peu froids de votre cité!
Greta Gratos, Reine des Fées.
You have my support in the fight to keep your vibrant cultural, artististic and political view!
Hold on!
Lorenzo M
You gotta fight for your (Our) right to party – Kick it!!!
Vos messages de soutien
Très grands moments dans ce lieu culte qui mérite de vivre à l’infini !!!
Longue vie à l’Usine,ne baissez jamais les bras! pour que la musique et l’independance vivra!
DOMMAGE pour une assoc’ artistique comme vous de ne pas prendre les piéces ( pas les centimes : les euros entiers ) ALORS QUE DEMAIN VOUS SEREZ à LA PORTE DU TRAM ENCORE PLUS QU’ AUJOURD’ HUI ….. ( une double compta… change… c’ est pas si compliqué !!! et franchement, demain avec le tram on vivra ensemble quoi !!! (émoticon triste)
AVEC L’USINE FOREVER <3
On vous soutien, on vous aime !
Ne les laissons pas faire notre musique nous appartiens!!L’Usine doit être et rester et grandir!! Leur mensonges politicosoporifique continurlns
Merci d’être la et d’exister 😉
… plus capable de se mouvoir avec ensemble, en même temps que chacun […] a plus de mouvements propres[…] Chaque organe, en effet, y a sa physionomie spéciale, son autonomie, et pourtant l’unité de l’organisme est d’autant plus grande que cette individuation des parties est plus marquée. Vive l’Usine !!!
Je soutien l’usine !
« Si il y avais un impo sur la connerie,l’État s’autofinancerait.’
J’etait à Geneve, jeune etudiant, avant meme l’Usine est etablit. Je me souviens les batailles, les successes, l’ouverture et l’arrivée de l’Usine. Pas possible que ca soit menacé, c’etait et ca demeure un phare de comment ca peu etre. Continuons! Luttons-nous…!
Bravo l’Usine, la persévérance et la ténacité ont permis de gagner une bataille. Gageons cependant qu’il va falloir rester extrêmement vigilant pour que la culture alternative soit respectée dans son originalité et la richesse de ses apports. Vive l’Usine!!!
Tralala je soutiens, tralala le festif, tougadî, scoubidou, ragnagni, ragnagnà. Clap,clap, bouge ton cul la culture……….tuturututu, chgling glong, prout de splouf, cochonnail au pouvoir!
HAPPY NEW YEAR à Toute l’équipe, Merci encore pour cette magnifique soirée Cyber Punk. Belle organisation, même sans préloc… lol.
Bisous à Tous, PEACE & LOVE & ACID FOREVER. Les 2 chapeaux magiques 😉
Si l’USINE s’effondre, c’est une citadelle de la CULTURE et du bon vivre qui s’écroule. Je soutiens l’USINE, car c’est à la fois un repère, un emblème, des concerts, des souvenirs, des nouvelles rencontres. Et la CULTURE lutte toujours
Parce que des centaines de groupes y sont passés, parce que j’ai eu la chance d’y jouer. Ce lieu à été et sera un tremplin pour bon nombre d’artistes! Pour que l’ont puisse toujours dire ça n’a pas changer, j’y allais quand j’avais 20 ans. Parce qu’on continuera à y aller !
Soutenons l’usine et tous les centres alternatifs en suisse ! Nous avons besoin de gens qui réfléchissent plus loin, des lieux de révolutions et si nous voulons changer les choses, il faut qu’on se sert les coudes ! Toutes les personnes alternatives !
Les attaques contre la culture, une maladie dégénérative.
Un climat morose s’est installé durant l’automne. Sur fond de bagarre budgétaire, on tire à l’arme lourde sur toutes les institutions, qu’elles soient étatiques ou non.
On en vient même à tirer sur le pianiste.
Les édiles du canton aussi bien que de la ville de Genève, campés trop souvent droit dans leurs bottes de mépris et de suffisance, s’unissent pour détruire les cellules les plus vitales de notre société. Leurs décisions agissent comme une maladie dégénérative; elles s’insinuent dans les organes les plus fragiles que sont les lieux de culture et de création et en détruisent insidieusement le fonctionnement par asphyxie.
Au chevet des malades se battent ceux qui ont compris qu’en tuant un organe, on tue la société.
La création culturelle peine à trouver le soutien politique qu’elle mérite. Les maladies dégénératives touchent des minorités et ne rapportent pas assez, en termes d’espèces sonnantes et trébuchantes; elles ne suscitent que peu d’intérêt malheureusement.
Et pourtant, combien d’artistes, méconnus de leur vivant, ont apporté à l’humanité un regard, une réflexion, un courant, inédits, reconnus bien plus tard et désormais partie intégrante d’un patrimoine culturel riche à la portée de tous.
Ne pas soutenir la culture, laisser aujourd’hui la maladie des coupes budgétaires la miner de l’intérieur, c’est priver les générations futures d’un patrimoine culturel qui contribue à forger l’esprit critique. C’est appauvrir l’humanité.
L’usine, grand et beau débat.
Je n’ai toujours pas compris qui on dérangeait ? Est-ce les soirées du Zoo ou de l’Usine qui pousse les voisins à bout?
C’est vrai que Genève n’est pas une ville que l’on peut qualifier vivante surprise un groupe de jeune qui se lâche après une semaine de travail intense en tapant du pied,riant, buvant et ne faisant que du mal à leur cerveau en les mettant à l’envers pour respirer un coup dans ce monde de coincés. Nous acceptons dans cette ville des salons à Champagne pour les internationaux qui veulent »changer d’aire » avec une jolie escort mais certains se plaignent que le seul lieu où on peut rentrer sans talons et sans devoir faire des monstres »show-off » pour passer la queue.
Bref, je suis convaincue que si toute l’organisation s’arrête, Geneve perdra son côté contemporain et ouvert.
ON A FAIM! ON VEUT DE LA CULTURE!
ON A SOIF! TOUCHE PAS À NOS BUVETTES!
LONGUE VIE À L’USINE et AUX EMPÊCHEURS DE TOURNER EN CHIFFRES
For the defence of cultural spaces everywhere!
l’USINE bastion de CULTURE, diversité rassemblée,
l’USINE fait du THÉÂTRE une pensée, du pain pour la foule,
l’USINE existe et la CULTURE à travers l’USINE,
l’USINE arrose les esprits, libéralité, générosité,
l’USINE richesse partagée équitablement entre celles et ceux qui aiment l’esprit la pensée,
l’USINE lumière dans un monde absurde et uniformisé,
Genève sera elle encore ville de lumières sans l’USINE ?
Laissez-nous notre chère usine !
Je suis allé pour première fois visiter l’Usine lors de la journée portes ouvertes. J’étais impressionné par la vitalité, la créativité, l’engagement des personnes que j’ai rencontrées, et de la diversité des activités proposées. J’ai aussi été désabusé de pleins d’a priori sur cet endroit. Chapeau à tou-te-s ceux/celles qui font vibrer l’Usine! La culture est une plante délicate qu’il faut nourrir. Il faut aussi l’arroser, dans l’occurrence grâce aux buvettes placées à des endroits stratégiques afin d’encourager encore plus d’échanges, sans parler de tout simplement faciliter de passer un bon moment ensemble. Elles ne constituent évidemment pas le but et l’objectif des lieux, tout le monde peut voir cela. La nouvelle loi ne menace pas uniquement l’Usine, même si celle-ci s’est mise sur la ligne de front pour l’opposer. Nos « représentant-e-s » devraient comprendre que toute association culturelle va en subir les conséquences.
C est un endroit rêvée pour faire la fête il ne faut pas l’enlever
Les weekends seraient bien trop vide sans l’usine
Je soutiens l’Usine depuis toujours, la culture a besoin de diversité pour exister et apporter de la dignité au nom qu’elle porte.
La Culture genevoise a besoin de l’Usine, ce formidable lieu de rencontres artistiques, culturelles et humaines.
Fight for l’Usine, pour la créativité et la culture!!
Many apologies for taking so long to respond to this appeal. What you write is deeply disturbing, especially in this historic moment when the power of cinema to bridge divides is needed more than ever.
When I was in Geneva I couldn’t but help noticing how Black Movie, and its associates, act as magnets for an alternative, open culture too often swept under the carpet. Let me know if there is something in addition I can do to express my support.
In solidarity, and with warm wishes,
Jay
Quel magnifique message pour la culture et la musique (même si je plutôt branchée reggae lol)! Je venais déjà quand j’avais 15 ans… les premiers graffs en face… les jam au piment rouge (sans distinction de frontière merci ) et 20 ans après je prends toujours autant de plaisir à venir et à voir tout ce qui fait notre monde : la diversité !
Ne touche pas a l’usine. mon repère de la culture, mon temple d’évasion, mon forum du contre-pouvoir et de la liberté. Dernier vestige du geneve underground, qui nous laisse l’espoir d’un monde différent, meilleure, d’intégration et de partage dans une époque et une ville qui ressemble dangereusement a un bunker isolé et a l’écart du monde.
La culture a besoin de ces lieux qui nous offrent du rêve. Sans connaître l’Usine, je sais que, comme d’autres lieux en Romandie, elle fait vivre tout un monde, et que comme ailleurs aujourd’hui, elle doit lutter pour subsister. Courage!
En cet age où les innombrables actes de destructions s’accordent à massacrer tout ce qui met en péril l’inertie des pouvoirs, les étendards s’unissent sur tous les fronts. Battons nous avec tous nos idéaux, face au cynisme et à la sinistrose qui nécrosent notre société, notre monde.
Les pirates du Pantographe
le règne du pognon, cache misère de l’ignorance, outil de pouvoir des inconscients.
Ne perdons pas l’Usine!
Parce-que j’ai connu mes meilleurs moments musicaux depuis 2009, parce-que j’ai vu disparaitre le Goulet, parce-que les lieux de culture alternatifs dérangent et tout simplement parce-que si les autorités veulent faire qqch de bien pour le quartier, je les renvoie rue de la Coulouvrenière, là où les voitures s’arrêtent fréquemment et sans doute pas dans un but culturel.
On se demande pourquoi l’état ne soutient pas un vrai lieu de rencontre et de mixité autour d’un projet alternatif. Certainement parce qu’il n’a rien à y gagner à court terme électoralement parlant… Je ne connaissais pas l’Usine il y a un an et j’ai été plutôt étonné dans le bon sens par le brassage des populations. Contrairement à ce qu’un politique policé et étriqué pourrait penser, l’usine s’adresse à tout le monde. Et ce besoin de mélanger les communauté est essentiel aujourd’hui encore plus qu’hier. Si ce n’est pas un devoir de l’état qui alors?
Alors Fight for l’usine!!
Parce que sans l’usine, le paysage culturel romand ne serait pas le meme, Geneve se doit de faire vivre ce haut lieu de la culture.
Pour une culture genevoise libre et juste, nous demandons le respect de l’Usine, plateforme de partage et de quête, qui respire et dialogue, explore et découvre.
Quand l’on demanda à Winston Churchill de couper dans le budget des arts pour l’effort de guerre, il aurait répondu: « Alors pourquoi nous battons-nous ? ». La culture, sous toutes ses formes diverses et variées, est l’essence même de la société, ce qui la définit, la fait avancer, la modifie et l’embellit. STOP aux coupes budgétaires vis à vis de l’art! FIGHT FOR L’USINE!
Full support !
Ne lâchez rien il nous faut des îlots de liberte ……….kenavo
Quelles tristes nouvelles que de voir autant de lieux mythiques, culturels et alternatifs sur la sellette en Romandie. Restons ouverts. Laissons entendre notre soutien.
Voyez ce plongeoir des bains où c’est marqué poésie
en lettres rouges à dix mètres sur la rade (la rage) de hauteur
où crache le jet de l’eau honteusement blanchie des banques
comprenez diable qu’en vos shampoings gluants vous êtes perdus
car est venu le temps que les montres brûlent
& que gosier d’oiseau à trois voix intenses rappelle
à pleines turlurettes que le vaste monde
que nous défendons est tendre & furax & qu’il est beau
partisans de la bonté d’être, nous confisquons vos lâches allumettes
vous n’écartellerez pas l’ardeur immense d’être
jean
Chères Anges du cinéma,
Chères Guerrières culturelles,
J’ai eu l’immense plaisir de découvrir l’Usine par votre intermédiaire lorsque j’ai eu la chance de me nourrir de votre programmation du Black Movie qui, chaque année, investit ce lieu. J’écrivais alors quelque éloge à ce propos « témoignant d’un éclectisme détonnant le Black Movie ne propose pas moins que le meilleur du cinéma indépendant. Les regards suggestifs et sans compromis des deux programmatrices se croisent afin d’exciter nos sens. »
Singulier, réflexif et jouissif, votre festival se définit également par son cadre. Depuis ma première visite à Genève, que j’ai alors fantasmée temple de la culture alternative, je me suis rendu compte que la force du Black Movie, outre votre curiosité et votre humanisme, réside dans l’effervescence d’une scène dont l’Usine serait l’épicentre – et le mode de fonctionnement, infiniment démocratique, exemplaire.
Le cinéma Spoutnik, bien vivant, n’en est pas moins mythique. A défaut de pouvoir profiter de l’ébullition culturelle offerte par l’Usine tout au long de l’année, il me tarde que le calendrier défile et que janvier vienne afin de voyager avec et autour de votre sélection, et bien au-delà ; il me tarde de refaire le monde avec vous, vos invités et vos amis qui, comme moi, trouvent en l’Usine un espace de pleine liberté. Aujourd’hui, plus que jamais peut-être, cette liberté apparaît vitale.
Nicolas Gilson
Par ce que avoir le droit a une alternative n’est pas que le caprice d’une poignée de marginaux mais bien un droit et un besoin fondamentale pour une société en bonne santé! Fight for l’Usine!
Cette ville est trop belle pour être corrompue par des bureaucrates grincheux et vaniteux. Laissez aux Genevois l’espoir de vivre et de s’exprimer librement, à travers l’art, la fête et le partage pour que Genève soit un carrefour joyeux entre les cultures du monde.
L’état encore une fois détourne des sommes fédérales à leur avantage.
Ça devient trop flagrant à la longue !!!
détestons la maudet-ration, vive la liberté de création !!
Depuis de nombreuses années, au-delà de ses prestations diverses et multiples, l’Usine a administré la preuve de son utilité sociale dans le sujet des complexes et parfois douloureuses relations entre une vieille cité pétrie d’histoire et sa jeunesse qui tente de regarder vers l’avenir, le sien – somme toute – et celui de cette même cité qui, inévitablement, est la sienne.
Fight for L’Usine ! De la place pour la culture.
I think society and its institutions should defend a place where people can exchange, learn, and divulgate art. Education and culture are not just in the schools and universities, we should stand up and fight to defend public spaces for thinking and practicing our ideas.
Juste pour la liberté de choisir sa façon d’être libre chacun à sa facon!!!! Fight for l’usine!!!
Que la cohérence s’impose
Depuis mes 15 ans l usine est à mes côtés. Elle est le reste de notre âge d’ or à nous Genevois, elle est le peu qui reste des quelques années de liberté qui ont soufflé sur Genève.. Combien sommes nous à avoir été acceuilli entre ses murs? d’ abord comme jeune qui préfère être dans les rues que chez ses parents; puis comme jeune adulte qui dévore les soirées et autres concerts et encore comme adulte qui propose des spectacles et autres concept de soirées. J espère que dans la fleur mûre de l’âge je pourrai toujours me dire: « tient c’ est bientôt noël, je n’ ai pas fait mes cadeaux…ah mais il y a le marché de noël des créateurs de notre chère usine..!! »
Pourquoi fermer des lieux de détente si c’est pour ouvrir des lieux de propagande haineuse…
Le seul endroit magique à Genève. Sommes-nous gouvernés par des calvinistes ?
Let’s fight !
Notre société a besoin de diversité culturelle et ce genre d’organisation permet de la lui en donner. Sans cela reste notre identité culturelle fade et plate.
Ubikar fight for L’Usine. Un lieux avec une âme, qui ne peux tomber.
Ces lieux d’échange de culture, de fête doivent rester instact malgré les attaques d’une société malade !
Endroit culturel unique …support total de notre part.
turlututu la culture lutte
chapeau facho je te culbute
aimer savoir
savoir aimer
Que de soirées passées dans ceux lieux… On dois bien moins ce marrer sur un banc, fut-il haut perché…
couRAGE
Rester ouvert
L’Usine tout comme Fri-Son (entre autres) sont des lieux nécessaires à un renouvellement de la scène artistique, des lieux de rencontres, d’échanges, des lieux de foisonnement artistique, culturel, multi-culturel.
I want to support everything to do with BLACK MOVIE Film Festival, my friends.
« L’Usine est un lieu unique, indispensable à la vie culturelle et musicale d’un canton et d’une ville comme Genève, nous espérons que les autorités genevoises sauront reconnaitre et valoriser la particularité de son mode de fonctionnement. »
Chers membres du collectif de l’Usine,
Présents côte à côte depuis l’ouverture du bâtiment de l’Usine, nous nous sentons
bien évidemment extrêmement interpellés par les vives tensions qui se manifestent aujourd’hui.
En effet, nous avons bénéficié avec Etat d’Urgences à l’époque et un certain nombre d’artistes et d’associations d’un contrat de confiance grâce à Monsieur Claude Haegi qui, le jour de la cérémonie de remise des contrats disait « une Cité doit savoir donner de l’espace à ses marges, à sa jeunesse… » et nous vivions tous ensemble un moment
joyeux, dynamique, porteur,…
Jean-Luc Godard dit aussi « c’est la marge qui tient les pages »…
Nous sommes particulièrement sensibles à cette question de marges, étant donné que nous avons fondé l’association autrement-aujourd’hui dans la perspective de proposer un espace de pratiques artistiques à des personnes en situation de handicap mental au travers d’un projet global et collectif.
Et nous souhaitions que ce lieu, nouveau et prospectif, porteur d’une vision des personnes en situation de handicap mental sous l’angle de leurs potentiels, soit intégré dans un centre culturel.
Voilà donc vingt-cinq ans que nous faisons vivre ce bâtiment, chacun à notre manière, avec nos identités propres et selon une forme d’intégration réelle, vivante…
Presque quotidiennement, ce sont des dizaines de jeunes adultes en situation de handicap mental qui croisent, saluent, discutent quelques minutes avec les responsables de vos activités, le disquaire, le coiffeur, les organisateurs de concert… et bien sûr tous les gens qui vont et viennent et s’affairent dans les différents collectifs.
Selon les époques, des collaborations se sont parfois nouées pour un événement, un moment, avec l’un ou l’autre des permanents ou des collectifs, avec le cinéma Spoutnik, le Théâtre..; d’autres ont traversé le temps et se poursuivent comme avec Azurro Matto
et Isabelle Meister avec ses magnifiques photos de théâtre; enfin, des projets sont en devenir avec la musique…
Il nous semble que cette coexistence est une richesse mutuelle et pour nous, les locaux de l’Usine représentent un outil de travail et de développement inestimable en même temps qu’une intégration de facto dans la Cité.
Car l’Usine est un lieu exceptionnel, tenu il nous semble avec beaucoup d’engagement et de savoir-faire.
Nous souhaitons donc très vivement qu’une solution satisfaisante et viable sera trouvée pour que puisse continuer à vivre ce lieu d’expérimentation, de rencontres et de partages culturels et associatifs, indispensable à la vie de Genève et plus largement.
Pour autrement-aujourd’hui :
Marie-Dominique Mascret,
Gilles Anex, Rossana De Sanctis
Co-responsables de l’association
Dear friends,
We feel deeply concerned on reading your email.
As filmmakers, we have had the opportunity of attending some of the most prestigious international film festivals but going to the Black Movie Festival and visiting Spoutnik Cinema was one of the most moving experiences in our lives. We can say beyond doubt that your unique festival is for us very special.
We have been twice to your festival to present our films and will never forget the beautiful people we meet. People who truly love cinema, as one can see through your work, bringing every year to the City of Genève a selection of the best independent cinema from all over of the world. And the amazing audience, always curious and attentive to the films programmed. Every-night, the Sputnik Cinema became a place of debate and adventurous exchange. What better could we expect from a multicultural vibrant city which Genève is?
In Portugal, we are facing a similar situation. For the past four years our right-wing government has been freezing all the support granted to culture. We can assure you of its negative impact and outcome.
We, therefore, are more than happy to show our support to the Association L’Usine against the oppressive administrative regulations, hoping and believing that Spoutnik and L’Usine will keep their doors open.
Viva o Cinema Spoutnik! Viva L’Usine! Viva a Liberdade!
João Pedro Rodrigues
João Rui Guerra da Mata
In a dangerous historical moment where the irrational expressions of the most violent hate is arising, it’s essential to underline that we can’t stop looking at each other, we can’t stop feeling, we can’t stop emotions. Places like the Usine and Spoutnik Cinema are small oasis that makes a city richer and tolerant. Closing a place like this is like closing our own eyes. »
Best,
João Salaviza
« Il n’est pas vrai – pas même en temps de crise – que seul ce qui est source de profit soit utile. » Nuccio Ordine (2015): L’utilité de l’inutile.
Ainsi, il est NÉCESSAIRE que l’Usine continue d’exister!
Why do we have to preserve the Sputnik?
In times when material things are scarce, intangible assets become more important still. Material things are lost, spent, stolen. But profound films that come to those who have less and less, gives you a spiritual experience, and that is something that you can´t buy, it never lost, lasts forever, and multiplies.
Il en est pour qui la culture ne représente qu’un grand champ de pommes de terre génétiquement modifiées servant principalement à alimenter les rayons soupes industrielles dans de beaux et grands supermarchés.
Ne les blâmons pas, personne ne leurs à appris que la culture pouvait être « Autre Chose ».
On pouvait penser naïvement que se serait là le rôle des ministères concernés de promouvoir cet « Autre Chose »… Cet « Autre Chose » qui aiderait nos classes moyennes à se définir autrement que que par l’accession à ses propres produits de consommation ; à s’affranchir de la médiocrité ambiante en accédant à la réflexion et à l’action, à l’humain et à ses richesses de diversité, à la poésie et à la beauté. Après tout la liberté n’est elle pas fille de connaissance et de vérité ?
Mais nos instances on, plus ou moins consciemment, découvert certaines vérités avilissantes : De l’ignorance naît la peur, de la peur un besoin de sécurité, de murs, de barrières et de pavillons privés. Un fois l’homme moderne séparé des autres, on pourrait, par un raccourci grotesque, l’isoler des siens dans son propre foyer, occuper son temps de cerveau avec toutes sortes d’écran (dé)connectés. ainsi aliéné de solitude standardisée, notre homme moderne serait un peu le tampon inoffensif entre ces « marginaux » à la pensée libertaire sibylline effrayante et la « nouvelle bourgeoisie » puritaine et aseptisée.
Alors on se dit finalement, qu’il n’est peut être pas de l’intérêt des gouvernements d’élever cet « Autre Chose »…
SO FIGHT FOR L’USINE !!
« Divine Anarchie, Adorable Anarchie, tu n’est pas un système, un parti, une référence, mais un état d’âme,Tu es la seul invention de l’homme, et sa solitude, et se qui lui reste de liberté. […] Je voudrais que ces quelques vers constituent pour les hommes libres qui demeurent mes frères un manifeste de l’espoir. » Léo Ferré
je vous soutiens j’ai pas une imprimante mais je trouverais pour mettre ma signature Mr Maudet et Mme Emery-Torracinta ils prennent le peuple pour des cons…… mais UN GRAND MERCI PERSONNE COMME VOUS SONT LÂ » eux ils ont le pouvoir momentanément……….. » mais VOUS L’USINE VOUS AVEZ LA CREATIVITE L’INTELLIGENCE ET LE SOUTIENS !!!!!!! ET BEAUCOUP PLUS !!!!!
Haro sur le Maudet !
Je soutien depuis Barcelone, l’emblématique salle de l’usine. Fight for usine
My name is Zhou Hao. I became acquainted with the Usine when my debut feature film was included in the 2015 BLACK MOVIE Film Festival. Screened in the Usine’s fantastic Spoutnik Cinema, my film received the festival’s Prix de la Critique attribué. I was touched and inspired beyond description by the experiences that the Usine autonomous cultural center made possible.
At the heart of the Usine is reverence for cultural expression and connectedness. The Spoutnik Cinema is one testament to the center’s invaluable worth. In this open space, people from around the world have enjoyed opportunities to share their art, their ideas, their lives. Experiences there have endeared me and countless others to the city of Geneva and its people. I am saddened to learn that the Usine and its partners are at risk of being suffocated by the local government.
My support for the Usine and Spoutnik is not merely based on sentimental attachment. These institutions promote important forms of expression: forms that are excluded by mainstream institutions for being “too alternative,” “too artistic,” or “too ethnic” – forms that can enrich the lives of us all. I know that many others are fighting to keep the Usine’s mission alive. Many are wary of a government that disregards the things that give meaning and purpose to our existence. The Usine is an oasis of such meaning and purpose. It’s a beacon illuminating a hopeful way to connect our fractured world.
May free culture continue to thrive.
Usine’s sincerely,
Zhou Hao
Aurais-je eu l’impression de participer au meilleur festival du monde sans les projections au Spoutnik et sans les soirée de l’Usine lors de ma première couverture ? Serais-je revenu goûter à son ambiance enthousiasmante l’année suivante ? Aurais-je autant loué l’esprit convivial et de partage de Genève dans mes textes sans ce lieu magique ? Sans doute, car l’accueil, les gens, la sélection ont joué, mais un cadre à la hauteur de cet engagement a magnifié tout cela. Dans mes souvenirs, l’Usine et le Spoutnik représentent le cœur de ma découverte de la ville et du festival. Les fermer est enlever un atout indéniable et blesser une ville en enlevant un peu de son âme.
J’espère que l’Usine nous restera, sinon où aller ?
Au-delà des apparences.
J’ai une chance inouïe: celle de vivre (de) ma passion pour le cinéma et d’accompagner, notamment, des « stars » du show-business façonnées par la machine à faire rêver et le regard envieux d’autrui.
Je les ai vues s’extirper de voitures de luxe ne leur appartenant pas, porter des costumes prêtés par les plus grandes marques de la planète et serrer des mains à des hommes prétendant savoir et s’évaporant aussitôt la lumière des projecteurs détournée.
Et puis je les ai vus nus, masque tombé, redevenus eux-mêmes, les yeux grands écarquillés, tous sens ouverts en découvrant la salle du Spoutnik. Jia Zhang-ke s’exclamant de découvrir la salle la plus belle du monde, Tsai Ming-liang affirmant qu’il n’y ait de meilleur endroit au monde pour rendre justice à ses films. Jeffrey Jeturian insistant de sauter le repas pour revoir son propre film (ce dont il a horreur habituellement) ou Park Jung-bum se lancer, soudain, dans un long monologue sur les nombreuses influences du cinéma suisse sur sa propre œuvre (projetée, elle, dans le monde entier).
Il n’y a pas nécessairement besoin du plus grand multiplexe du monde pour rendre justice à film sincère, comme il n’y a pas forcément besoin de papier glacé pour rendre une photo plus belle, ni des millions de francs pour rendre une parole plus vraie.
La ville de Genève a la chance unique de posséder un joyau de la culture, un endroit qui transporte même ceux qui réussissent à faire rêver le monde entier. Ne ramenez pas cet endroit à la triste réalité d’enjeux jeux politiques et de nuits sans lendemain. Sachez voir au-delà des apparences et continuer à faire rêver
C’est notre endroit pour les jeunes à s’exprimer et se rencontrer. Il est bien placer et nous prions de le garder comme l’histoire irremplacable de la culture genevoise.
Continuons de voter à droite, et la culture aura un bel enterrement.
Je vous soutient a 200%
Quand un lieu est bon pour l’art, alors il doit vivre.
Le Spoutnik génévois doit continuer à faire le tour de l’orbite du cinéma. Longue vie à l’Usine.
Nous avons besoin d’espaces de respiration, de lieux où l’économie ne dicte pas sa loi.
Des lieux comme l’Usine sont précieux pour faire vivre, à Genève comme ailleurs, la culture avec un grand C, mais aussi une forme de civilisation enrichie par l’échange, l’audace, la création, l’ouverture.
Que vive l’Usine!
Parmis les derniers survivants des lieux alternatifs de la place Genevoise, elle doit bien sûr continuer à rassembler, catalyser et permettre de prendre vie à tous ces beaux projets vivants. Marre de la « cleanisation » généralisée dans cette ville, les choses deviennent mornes et fades. Vive les projets vivants, organiques et autogérés!
En soutien inconditionnel à l’indispensable Usine
Il faut un maximum de diversités culturelles!
Il n’y a pas que des amateurs d’opéras au Grand Théâtre dans cette ville.
Il faut des endroits où l’on peut voir, écouter, découvrir des choses spéciales,
uniques, non-commerciales.
Il reste peu d’espaces comme celui-ci en Suisse et ailleurs… bichonnons-les!
L’Usine, dans la tête comme dans le coeur. Un lieu de rencontres et de partage où nous ne sommes pas cataloguer par nos différences, celles-ci enrichissent ce collectif en dehors des normes et du temps. Parce qu’on a tous une place dans notre coeur où l’Usine a gravé nos souvenirs, de l’adolescence à l’âge adulte. Fight for l’Usine. Avec tout mon soutien, un grand big up à toute l’équipe.
Depuis les années septante, beaucoup de gens on comprit que les jeunes avaient besoin d’espaces alternatifs et autonomes ou ils pouvaient s’organiser librement pour s’exercer à devenir des acteurs responsables de notre société et de notre environnement. Apparemment, il n’y a que nos dirigeants politiques qui ont oublié ce que l’histoire récente nous a enseigné.
Toute forme de culture est essentielle pour l’homme; elle adoucit les moeurs et est aussi importante que la sécurité avant tout prônée par Pierre Maudet.
Résistons à son pouvoir et continuons notre route à travers la création!
Soutien à un lieu indispensable à Genève.
voici que toute la droite genevoise se vautre sous la bannière haineuse de l’UDC – l’Union des Chromatiques du Centre – pour garroter tout financement de l’Usine. C’est insensé. C’est suicidaire. Vous ne tuerez pas l’Usine comme vous avez étranglé le squat de Rhino. Ici la corne rouge a des racines plus vastes & plus profondes. Mordus du coeur nous sommes & partisans d’être. Qui vous montrerons bientôt qu’on ne joue pas avec le son si délicat des roses. Pas plus qu’avec les grandes pendules à complications d’amour. jean firmann, fantassin aux eaux-vives
J’y ai passé avec mes amis, toutes les meilleures soirées de ma vie.
Aujourd’hui, ma fille y passe, chaque semaine, la meilleure soirée de toute sa vie, avec tous ses amis.
LONGUE VIE AU PLUS LONG et BEAU FIL ROUGE DE LA CULTURE GENEVOISE!!!!!
Avec vous l’Usine, comme il y a plusieurs lustres ! et avec la Dampf (Berne) et la Fabrik (Zürich)
Pour l’Usine
Avec l’Usine
Fight !
Mexico City, November 6, 2015.
Dear Sir / Madam:
I am writing in strong support of the Association L’Usine and the Spoutnik Cinema, in their fight for keeping the financial and administrative independence, which is necessary to continue with the work of excellence that these institutions have been doing for the last 25 years.
I am a filmmaker from Mexico City who discovered the Spoutnik and L’Usine in January 2015, when I was invited to present my film “Los Años de Fierro” at the Black Movie Film Festival. L’Usine, the Spoutnik and Black Movie are impressive in a number of levels. First their programming philosophy; formed in L’Usine, Black Movie has kept its values, carefully curating a selection of films that bring to the City of Genève the best independent cinema from all regions of the world, opening an important venue for unrecognized, but important films that hardly find a screen in the theatres and giving a voice to stories and characters that are normally ignored by the mainstream culture. Second its honest vibe and authentic style, Black Movie is not characterized by red carpets or celebrities, but for being an inclusive space for true learning, “a space for encounters and meetings, a platform that relays information from around the world.” Third its ability to build community, when you attend to the Black Movie or to any activity organized by L’Usine, you can feel that these institutions have created an accessible and solid social base, giving a space for musicians, performers, filmmakers and all kind of artists where they can connect with the community.
Cutting funds to the Spoutnik or L’Usine, will seriously damage the sustainability of this important cultural institutions and, in a way, it will also leave The Black Movie Film Festival homeless. These institutions are a jewel for the city of Genève and for the international community that finds in them a space for existence. They are innovative, they are brave and they are necessary! For these reasons, they should be protected.
Sincerely, Santiago Esteinou
Nous sommes sincèrement désolés de la situation que vous me décrivez.
Le festival Black Movie a toujours soutenu d’une manière exemplaire les films d’art et d’essai, dont la nature même les empêche de pouvoir s’exprimer en dehors d’un contexte associatif que vous représentez également avec beaucoup de talent et de persévérance.
soyez assurée de notre soutien indéfectible.
Avec mes cordiales salutations,
Nasrine Médard de Chardon
To whom this may concern:
As an independent filmmaker, I completely support Usine’s struggle against oppressive administrative regulations. The freezing of cultural funding towards Spoutnik Cinema is absolutely outrageous due to the cultural and artistic benefits the program has to offer. I sincerely wish to see the continuation of this amazing program and as well as all the monetary funding restored for future events.
Thank you for your time and effort.
Miaoyan Zhang
Bravo pour les portes ouvertes. J’ai eu le plaisir d’y participer et j’ai découvert l’ampleur de l’offre culturelle de l’Usine. Il faut se battre pour ça!
L’Usine doit être déclaré d’utilité publique
L’état doit y apporter son soutien inconditionnel sans réserve au nom de la pluralité culturelle et de l’équité de traitement
Mon premier défilé de mode, une expo, je ne sais plus combien de thés dansants, des séances de coiffure, des répèts en tant que « backing vocal » dans un groupe de rock, concerts au Kab, petites bouffes au Débido, travaillé derrière le bar, rendez-vous amoureux devant les bars ;), théâtre, danse contemporaine, soirée disco jusqu’à l’aube, soirées de noël entre amis après les réveillons en famille…..et tout cela devrait s’arrêter pour un détail ridicule de patente. NON!
Fight for l’Usine!!
Kathrin
Continuez à résister !
J’ai passée tellement de bons moments dans ces lieux et vus de magnifiques concerts !
L’Usine doit continuer à produire de la culture alternative et être gérée sans chef, c’est tellement rare de nos jours !
Vive la buvette unique !
Non mon endroit préféré ne peux fermer trop de souvenir et de futur à créé
Quand on sait quel engagement, quel travail-passion et nombre d’heures de bénévolat implique la culture, au service de tous… comment une telle mesquinerie est-elle possible ?… une buvette dispatchée, quel ridicule prétexte ! Il faut croire que la Liberté ne plait pas à tout le monde !…
Parce que les villes vrais lieux de vie, ça serait très ennuyant…
Visite de l’Usine ce jour : mon soutien total et sans réserve à ce lieu unique est encore renforcé . L’Etat , la Ville , les institutions , les magistrats qui d’une manière ou d’une autre veulent saper le mode de fonctionnement de l’Usine au risque qu’elle disparaisse se tirent une balle dans le pied . Ce ne sont pas quelques tags qui peuvent raisonnablement justifier vos positions. Quant aux patentes , en exiger une pour chaque lieu de débit de boissons dispersé dans les différents recoins du bâtiment , c’est n’avoir rien compris au fonctionnement de ce lieu unique , original et indispensable . Longue et belle vie à l’Usine !
La culture n’est pas une valeur ajoutée, elle est au fondement même du vivant.
L’usine est la meilleure école de la vie, celle qui m’a permis d’être qui je suis aujourd’hui.
J’ai rencontré non pas des gens, mais une vraie famille, remplie de personnes haut en couleurs et sincères qui,eux, se battent tous les jours pour de vrais valeurs, non pas comme ces politiciens qui ne pensent qu’à rayer le parquet avec leurs dents si longues pour accéder à des postes ou ils peuvent et espèrent diriger le monde.
L’usine EST un monde propre à lui-même qui sait se gérer par lui-même, c’est ça L’AUTOGESTION!
Même si Le Moloko n’est plus, je continuerai à me battre aux côté de L’usine, de Ma Famille de coeur et de pensées.
Politiques et autres institutions de ce genres un conseil : regarde la poutre qui y a dans ton oeil ,avant de regarder la paille qu’il y a dans l’oeil du voisin!
Sans L’usine pas de vie, pas de jeunesse.
Merci L’usine pour qui tu es et longue vie à toi.
Sincèrement et de tout mon coeur
JE T’AIME
Vince Moloko
Alleeeeez les copains !! je pleure pour vous depuis Paris, on se bat jusqu’au bout, sinon c’est une partie de moi, de nous qui meurs !!! Fight for l’usine soutien total !
Le meilleur lieu genevois doit vivre et faire profiter l’offre culturelle de la ville! Vive l’usine!
Depuìs Turin, un gros encouragement a vous et a toi, Usine, pourque sans culture on est pouvre, et je suis sure que Geneve n’aimerait pas avoir cette réputation, n’est pas?!
J’aime l’usine cette vie cette liberté d’expression.
Je ne veux pas être une grenouille qui cuit lentement …. Avant de mourir
Enlever les subventions revient à la mort de nos âmes d’artistes
L’Usine?
J’y suis née le 30 octobre 1994 au cours d’un T-dansant en « Bal des Sorcières ». Sans Elle, je ne serais pas. Je n’aurais pas animé des centaines de soirées, présenté des festivals, participé à des manifestations syndicales et autres, voyagé de concerts en performances dans toute l’Europe, parlé en chroniques sur Couleur3, écrit dans les pages de 360 magazine dont je suis la marraine (comme pour feu le squatt des Brigittes et autres espaces alternatifs), réalisé 3 albums (et bientôt un 4ème).
J’y suis née, y ai grandi, m’y suis développée, y ai pris des forces et de l’assurance. Si je suis belle, c’est en grande partie grâce à Elle, à cette force d’auto-exploitation et de bénévolat qui lui permettent d’accueillir des centaines de milliers de visiteurs et de leur proposer à bas prix concerts, fêtes, spectacles, expositions, débats et rencontres.
L’Usine, quoi qu’on en dise, est un outil précieux, indispensable, avec lequel tout apprentissage est possible (celles et ceux qui y sont passé-e-s peuvent témoigner de l’acquisition de savoirs formidables qu’elle offre grâce à une perméabilité rare entre les différentes disciplines et espaces qui la composent). Un espace de réflexion non hiérarchisé où chacun peut trouver sa place, une tentative de revisiter la démocratie (non pas celle formelle et non satisfaisante que nous proposent les Etats et les politiques avides de pouvoir mais bien celle où l’on prend le temps d’aller jusqu’au consensus et où chacun-e tente de comprendre les raisons de l’autre).
L’Usine est certes un laboratoire, une pouponnière qui revitalise Genève, non seulement artistiquement, mais socialement, politiquement, journalistiquement et même… économiquement. Mais Elle n’est pas que ça! Elle n’est pas (n’en déplaise à celles et ceux qui aimeraient l’y réduire) un centre de loisirs pour jeunes (il y a pour ça d’autres institutions); Elle est bien plus vaste que cela. Elle est l’endroit de tous les possibles, de tous les improbables et même de ce qu’on croit ailleurs impossible. Elle est l’espace où les autistes retrouvent la parole, où les sauvages s’apprivoisent, où les décallé-e-s trouvent leur place et peuvent proposer leurs univers poétiques, où l’on est d’accord de ne pas être d’accord.
Si L’Usine se bat pour que son mode de fonctionnement soit enfin reconnu après 26 ans de bons et loyaux services et qu’Elle continue à demander une seule autorisation pour ses buvettes accessoires (qui malgré les apparences ne sont pas des bars), ça n’est pas un caprice d’enfant gâtée (pour cela, il faudrait d’abord qu’on la gâte, ce qui est loin d’être le cas depuis son ouverture, à partir de laquelle et année après années, Elle perd tout ce qu’elle avait acquis). C’est simplement qu’Elle veut être UNE et INDIVISIBLE et que ses buvettes accessoires sont bel et bien reliées dans un but commun: permettre de faire exister tout ce qu’elle propose à ses publics.
On la guette depuis bien longtemps et il suffit de quelques graffs pour permettre à ses ennemi-e-s de focaliser toute l’attention en détournant les regards de celles et ceux qui ne la connaissent pas et se fient à des « on-dit » malveillants pour la juger.
N’en déplaise aux vautours qui attendent sa chute pour la déchiqueter, L’Usine participe largement à l’aura de Genève bien au delà de ses frontières, non seulement pour sa programmation mais aussi pour son mode unique de fonctionnement.
On ne veut pas la comprendre, on agite des chiffres, des subventions (dont la plus grande comprend le prêt du bâtiment et les fluides électriques et aquatiques). Or, 26 ans plus tard, elle est toujours pour la plus grande part autofinancée et ses détracteurs seraient surpris-e-s si l’on chiffrait la réalité de ce qu’elle offre. L’Usine est un luxe pour une Genève qui ne la mérite pas vraiment. Et, contre vents et marées, pressions, menaces et humiliations, Elle continue à ouvrir quotidiennement ses multiples portes avec acharnement, par passion et par amour pour une terre qui est aussi la sienne!
Une phrase d’Agatha Christie me vient toujours quand je cherche à comprendre un conflit: « À qui profite le crime? ». Il me semble que la réponse est évidente. À L’Usine? Certainement pas!
Fermer L’Usine, serait le geste le plus ridicule de toute l’Histoire politique genevoise et celles et ceux qui rêvent de voir un jour leur nom dans les dictionnaires feraient bien d’ouvrir les yeux et de réfléchir. Leur patronyme risque d’y laisser quelques plumes et de ne pas avoir le glamour qu’ils imaginent dans leurs égotiques projections.
I’ll fight for L’USINE!
Ya déjà pas beaucoup d’endroits pour sortir à Genève, alors si l’usine ferme. :mort:
So sorry to hear this, I can’t believe this is happening, how can they freeze the subsidies granted for culture? that is absurd. The Usine is an amazing space, and my experience in the last edition of the Black Movie film festival was exceptional. It gathered a great crowd, all with something in common, a curiosity, a sensibility to observe and to create. That’s what the Usine stands for and there should be more spaces like these, not less.
Long live the Spoutnik and the Usine!
Hope everything comes together, this law has to be turned down.
As I have mentioned in person and in emails, Black Movie is a very special festival for me. I have had the best experience of watching an excellent selection of films at Black Movie. I believe the selection strategies is unique; an almost flawless and most exciting collection of films. I didn’t even see one film that I didn’t like at the festival. Outside of the screenings the community of people engaged in the festival makes it one of the most pleasant experiences for the filmmakers to attend. The peaceful environment of Usine and Sputnik, and the great people in the space, have just made it an ideal platform for me and for many filmmakers.
It is a shame how decisions have been made to freeze the subsidies for culture and to put such an important and unique film venue under the danger of getting closed. There may be a conservative majority in the city who are not caring for culture and for art-cinema, but you and Usine have the support of many international filmmakers and film and art lovers who know the value of that place and the activities happening there. I will be more than happy to show my support any time in any other possible way.
I really hope this problem can get solved. And I will do any help I can to support making it happen.
All the best,
Anahita
My name is Rodrigo Sepúlveda, I’m a film director from Chile. I believe that one of the most endurable emotions I have had as a Director, was the screening of my Film Aurora at the Spoutnik. After the screening, a picture of my self was taken in the frontis of the cinema, and afterwards a really nice conversation of film making and scrip writing. That It’s all you need when you have been working for many years in a creative process. And I believe that could onlybhappen in such places as the Usine. Please keep fighting. That place cannot die!
All my support,
Rodrigo Sepúlveda Urzúa
I presented my first feature, MUNDANE HISTORY, at the Spoutnik Cinema a number of years back. It was a great screening. The space felt intimate and very special. I really do hope that Spoutnik and the Usine will keep their doors open for cinema lovers from all over the world as long as this art form still exists.
My name is Park Suk-young.
I am the director of Wild Flowers and Steel flower.
I and my actress Jeong Hadam were invited to Black Movie Festival last year.
It was the most energetic and loving festival that I have ever been. I was so happy to be in the cultural heritage and freedom of Geneva and greatly encouraged by Geneva people.
Hearing the news about U’sine and Sputnik, the most authentic cinema theater that I had ever seen, just hurt my heart deeply.
I want you to remember only out of freedom and support for humanity, the pure art can grow and blossom.
U’sine has been the womb of freedom and beauty. I, a South Korean director who hardly know Geneva before, learn to appreciate your government and its solidarity. It is all because of the very love and understanding of the city of Geneva, the very pride of modern citizenship and humanity.
Please remember the very dignity of humanity. World will watch and remember your decision. Be friend to U’sine and grow the partnership with crazy yet beautiful people in U’sine.
A l’attention des responsables Black Movie
J’apprends avec consternation que ce lieu magnifique qu’est Le Spoutnik est menacé de fermeture comme L’Usine au sein de laquelle il se trouve. Le rôle moteur de cette structure pour la diffusion de films exigeants, issus de tous genres de cinéma est indiscutable.
Depuis plusieurs années, j’ai apprecié en tant que journaliste, d’appuyer ses programmes et en tant que critique de cinéma, soutien du festival Black Movie, j’ai pu mesurer son impact lors des nombreux débats qui suivent les projections de films.
Ce lieu unique participe à la vie citoyenne de Genève de par son organisation basée sur un collectif, et par les animations qu’il propose au public en élargissant son horizon culturel.
Une salle de projection comme Le Spoutnik n’est pas seulement un espace de culture mais c’est aussi un espace d’échanges, de confrontations, de rencontres qu’il est important d’appuyer, de préserver et d’aider.
En ce sens les actions de L’Usine qui offrent des concerts, ds pièces de théâtre, des projections doivent être soutenues par les responsables politiques, les bailleurs de fonds pour permettre aux citoyens de se rencontrer et de rencontrer des formes diverses de culture.
Cette diversité et cette ouverture sont des éléments majeurs de la vie publique et nous ne comprendrions pas que L’Usine et le cinéma Spoutnik qui est en son sein, soient balayés par la négligence ou l’inconscience des responsables de ses soutiens actuels.
Nous partageons cette inquiéude avec nos confrères journalistes, critiques et amateurs de culture, et envisageons de prolonger le débat sur l’existence de L’Usine et le cinéma Le Spoutnik par tous les réseaux qui animent nos médias.
Nous espérons que la raison saura convaincre de la nécessaire vitalité de L’Usine et le cinéma Le Spoutnik, et sommes attentifs à la résolution de leur mise en péril actuelle. Le rayonnement culturel ne se discute pas, il se relaie et doit s’amplifier grâce aux soutiens qu’il mérite.
Longue vie à L’Usine et au cinéma Le Spoutnik
Salutations attentives et cordiales de
Michel Amarger
What a terrible news. It will be a sad loss. Please don’t dry your locals and visitors of places for creativity. I hope the City of Geneva can reconsider its policy towards art & culture. Sputnik cinema, the Usine are one of your city’s highlights.
Big Hugs,
Joe Apichatpong
L’Usine m’a semblé l’un des lieux les plus beaux, les plus vivants rencontrés en Suisse, qui soient consacrés au cinéma et à la culture. L’équipe est ouverte, pédagogique, contemporaine. Toute réduction de ses subventions, toute atteinte à son fonctionnement si remarquable porterait à mon sens gravement atteinte à la culture genevoise, et mon devoir de journaliste m’obligera à en parler en France. Je soutiendrai l’Usine dans tous ses combats pour la culture – car c’est la culture, et elle seule, qui peut sauver le monde.
Quelle honte!
I have to say that from a foreign country it is surprising to see Switzerland, a model country for all of us in so many aspects, behave like a former western commercial colony like Singapur, instead of the ancient land of freedom where the development of personal thought and values are encouraged and the rights and wellbeing of all its citizens respected.
Please reconsider and procede considering everybody.
Je souhaite que le cinéma Spoutnik, haut lieu du cinéma independent à Genève et où le festival Black Movie, a déjà réalisé de nombreux évènements internationaux puisse continuer ses activités, si précieuses non seulement pour les spectateurs Suisse, mais pour tous les invités internationaux qui ont eu l’occasion de fréquenter ce lieu de culture.
Dear friends,
I feel deeply concerned on reading your email.
For me… your festival is not merely an event of good films brought together in Geneva annually. Rather it is a meeting point, a confluence of ideas, minds and cultures from around the world.
I have had the opportunity of attending some of the most famous international film festivals either as a filmmaker, guest or jury. But let me assure you that your festival is unique and nothing should stop you from what you have been doing meticulously for years internationally.
I believe that the world today is both expanding and narrowing down to threatening limits. For someone like me living far away from Switzerland, Black Movie Festival is an oasis to express unheard voices through sound and images freely with the people of your country and more. This is absolutely important while we need to negotiate the current environmental, political, ideological and personal issues at all levels.
I remember that there was a beautiful entry door to the theatre at Spoutnik. After the screening of my film a volunteer came running and asked me sign on the door! I hesitated because it looked like a painting. Then I noticed that the door is a collage of signatures by filmmakers who have come from all corners over the years!!!
Please keep the door and Usine alive in the same same spirit.
Many thanks for remembering me.
Best wishes
sourav
Je suis les choses de loin, de France, mais c’est très étrange ce
qu’il se passe à Genève concernant la Culture. Un Combat Droite /
Culture et soudain, on voit c tte ville sous un autre jour.
‘Going to the Black Movie festival and visiting the Spoutnik – seeing the audience’s reaction to the film playing – was one of the most moving experiences of my life. The city of Geneva, with its sanctified pockets of culture is one of the havens for artists to showcase their latest works and both the festivals and the cinema have been at the forefront of creating that movement.
It is unfortunate that curbs on running cultural movements are preceding those that we should be putting on rising intolerance. That’s what we need to address first. Even here in India – my own country. Please do not let the unspeakable wither, the darkness light out, the spaces where we meet our inner recesses blather off – for it is there that we meet true selves – and from whence we have hope of finding redemption.
Please let the Spoutnik be all its own.’
Best,
Kanu
As a Chilean filmmaker who participated in the 2015 edition of the Black Movie Film Festival, it makes me sad to hear that the Usine and all its associations such as the Spoutnik Cinema are in danger. The Spoutnik Cinema is where I presented my film and I was able to share many different appreciations of my film in a very special and intimate way. I met a lot of beautiful people there that I’m sure I could not have met so easily somewhere else in Geneve. I also met other artists who were working in the Usine and it amazed me to see so many arts converge in one place. I believe this autonomous centre is essential for Geneve and its cultural growth.
GE suis l’Usine
Déjà que les années 2000 on vu la fermeture de tous les squats qui étaient un vecteur formidable d’expression pour tous les jeunes groupes de musique qui commençaient, maintenant on veut fermer l’usine qui est une institution ou nombre de groupes se sont produits dans la salle de diffusion mais aussi beaucoup ont été soutenus, aiguillés et mis-en-confiance dans leur pratique artistique. C’est un vrai pôle local de promotion qui risque de s’éteindre au profit de quoi, d’une dérive sécuritaire? Je ne comprends pas.
Vive l’usine.
Je suis arrivé en 2007 en Suisse, à Sierre. Venant de Santiago du Chili et familiarisé avec la scène alternative chilienne, j’ai été fasciné par le niveau de fonctionnement et d’engagement des différentes associations indépendantes suisses. Je me rappelle tout particulièrement d’un concert à l’Usine en 2008, d’un groupe que je suis depuis mon adolescence, Dinosaur Jr. Cela a été ma première approche de ce lieu que j’ai depuis fréquenté régulièrement. La Suisse et Genève sont riches de ces lieux et organisations alternatifs et j’ai collaboré et continue à collaborer régulièrement avec certaines d’entre elles.
L’Usine n’est pas seulement un espace culturel mais c’est aussi une école qui permet d’explorer non seulement des possibilités de savoir-faire mais aussi des possibilités de « faire savoir ».
Soutien total et absolu !
Soutien à l’Usine de la part de musiciens de France (René Lacaille)
Je m’appelle Marco Berrettini et je suis un danseur et chorégraphe. J’ai déménagé il y a 13 ans à Genève. Ce qui m’a apparu évident à l’époque et aujourd’hui encore est le fait qu’un théâtre comme celui de l’Usine est fondamental pour la danse et le théâtre contemporain. J’habitais à Paris avant de m’installer en Suisse et dans les cercles des compagnies de danse le petit théâtre de Genève était bien connu par sa programmation compétente et avant-gardiste. Il est inadmissible que le théâtre de l’Usine risque de disparaître ou connaisse des difficultés financières ; ça serait comme couper les racines d’un arbre. Le théâtre de l’Usine fut le premier lieu qui m’a accueilli à Genève et continu à être un des indicateurs de la culture émergente en danse et théâtre. Quiconque menace le théâtre de l’Usine ne comprend pas le tissu socio-culturel existant et risque de commettre des dégâts irréparables. La culture officielle, les théâtres nationaux, les théâtres des abonnés et toutes les autres grandes salles d’accueil de spectacles vivants programment les spectacles des créateurs qui sont passé par des salles comme le théâtre de l’Usine. Dans une époque ou les gens de tous les métiers ont peur que l’argent puisse absorber leurs vies, leurs carrières, leurs liens sociaux, il me semble important de soutenir le théâtre de l’Usine, encore plus que ce n’est le cas aujourd’hui. Genève peut être fière de posséder un lieu qui rayonne à l’étranger et qui pose des bases pour une culture fleurissante.
Je suis à 100% avec vous. Et cela fait vraiment du bien au moral et au mental de voir qu’il existe encore des bastions de résistance à la droitisation de la société. J’ai 55 ans et je suis un ancien très fervent utilisateur de vos lieux. Bravo, et tenez bon !
All my support goes to the Usine and its free minds !
Après l’Artamis, le rhino et j’en passe….Cette fois, ile ne passeront pas ! Résistons
« Tout ce qui dégrade la culture raccourcit les chemins qui mènent à la servitude » A. Camus.
Fight for l’Usine!
La cellule FIGHT FORT FOR L’USINE
FROM GRANADA (ANDALUCIA) WE FIGHT FOR L’USINE!!
Pour que l usine continue de nous émerveiller! Résistons!
It’s all about #PeaceLoveRespectFunAndUnity
Laissons pas l’état nous enlever notre 2ème maison et nos droits culturelles.
– Fight for l’usine.!
Pour que vive l’Usine
Je manifesterai au milieu de la rue
Pour que vive l’Usine
Je m’opposerai à la pensée unique
Pour que vive l’Usine
Je m’insurgerai contre l’ordre établi
Il faut que l’Usine vive
Reprenons le pouvoir
rien de grand ne se fait sans beauté…
rien de beau ne se fait sans humour…
japon
j’aime cette maxime et voulais la partager… c’est tout :o)
Aujourd’hui comme hier, l’Usine résiste. Salutations solidaires
Pourquoi fermer un lieu qui regroupe soirées, bars, cinéma, milieu associatif, salle de concerts et plus? Je dis bravo à ceux qui se battent pour préserver ce lieu mythique de notre ville et dans lequel j’ai passé d’excellentes soirées.
Keep Fighting!!
We need l’Usine in Geneva!
Pas besoin de refaire encore l’histoire de l’Usine pour comprendre sa place essentielle dans la vie culturelle genevoise. Année après année, elle s’impose comme le lieu central où convergent sans discontinuer des forces nouvelles de la création alternative. Qu’on s’entende, l’alternative proposée par l’Usine n’est pas un ersatz paresseux peuplé d’anarchistes en défaut de lutte, de créateurs en mal de succès et de jeunes désoeuvrés. Que cela plaise ou non, c’est un vrai modèle de réussite, qui réalise sans cesse le fantasme de réunir dans un même bâtiment emblématique une très large palette de formes d’expression artistique, offrant des espaces de création et de diffusion qui coexistent au prix d’un effort constant d’échange et de renouveau. Plasticiens, metteurs en scène, musiciens, programmateurs, graphistes, politiciens même, nombreux sont ceux qui ont pu faire leurs armes et su faire leurs preuves dans ce lieu largement reconnu au-delà des frontières cantonales. Si on peut entendre les volontés politiques d’uniformisation dans l’application des règlements, au mieux dans un souci d’égalité, au pire (pour rester sobre) dans une obsession administrative dont tout esprit honnête connaît les limites, qu’il soit de gauche ou de droite, libéral, socialiste, populiste ou de toute couleur utile, il serait visionnaire d’aider l’Usine à valoriser son modèle gagnant plutôt que de lui mettre des bâtons dans les roues et d’en regretter plus tard les conséquences en s’en remettant au souvenir d’un bon vieux temps où on savait comment faire. Il serait dommage d’enlever les rails d’un tramway si désirable pour les réinstaller à grands frais des années plus tard… Que la droite ravale donc son mépris et son dénigrement systématique d’une institution qui oeuvre bien plus pour le rayonnement de Genève que nombre de petites entreprises individuelles mercantiles et égocentrées. Quant à M. Maudet, puisqu’il s’est retrouvé récemment dans l’oeil du cyclone et le charme des pochoirs, et puisqu’il est celui qui doit montrer la voie à ses troupes, disons-le franchement : non, ce n’est pas un facho, il ne faut pas se satisfaire d’invectives. Mais il est certain que le cuir de ses bottes ne s’est pas encore assez assoupli, il devrait venir aux manifs, ça donne le sourire aux chaussures.
L’Usine est un phare, un espace de joie et de liberté pour beaucoup de gens déçus par cette société froide et contrôlée. L’Usine est un lieu de formation et d’expérience pour toutes les personnes qui y organisent des concerts, des spectacles, des expos, etc., et on les retrouve ensuite comme responsables dans les lieux de la culture officielle. L’Usine est l’endroit où la vie est la plus proche de l’idéal que l’on avait adolescent: moins de fric, plus de fun, moins de règles, plus d’idées folles…
Genève la multi ethnique,la multi culturelle… Espérons pour longtemps encore.
[…] victime de son succès. FIGHT FOR L’USINE… était le mot d’ordre de la soirée (cliquez ici pour plus de renseignements). Soutenez l’Usine en cliquant […]
Laissez-nous écouter la musique qui nous plaît même si vous n’appréciez ni cette musique ni les messages gauchistes qu’elle véhicule. N’est ce pas cela l’esprit libéral?
Longue vie et merci à l’indispensable Usine de dépistage de talents en or, une mission hautement et généreuse (rappelons l’origine de l’Usine de dégrossissage d’or)
L’Usine est une exceptionnelle richesse qui offre l’accès à une culture large et variée aux habitants jeunes et moins jeunes du canton. Il serait criminel de la miner sous prétexte d’un légalisme outrancier.
ne rien lâcher… BANZAI
Maintenir des lieux culturels et alternatifs dans les villes c’est cultiver l’humanité, c’est agir pour le bien être des gens qui y vivent, y travaillent. C’est laisser les coeurs s’ouvrir au mélange, les sourires s’echanger… Un tel espace n’enlève rien aux acteurs prives alentours, souhaitons que les politiciens comprennent qu’il donne même un certain charme a cette ville…
Bien sûr que je vous soutiens! Genève sans l’Usine c’est pas Genève. Et puis c’est tout.
L’Usine m’a appris, m’a fait grandir, évoluer et elle a participer incontestablement à ce que je suis devenu aujourd’hui. Sans elle, j’aurais raté une grande quantité de rencontres, de découvertes, et d’opportunité d’ouverture d’esprit.
J’ai vu ce qu’elle a fait autour de moi, et comment elle a influencée les gens qui l’ont côtoyée, activement ou passivement.
Je ne peux pas imaginer Genève sans l’Usine, et constate régulièrement son rayonnement, également au delà de nos frontières.
Elle est pionnière, elle se remet en question et peut déranger les esprits. C’est aussi ce que l’on espère d’un lieu de créativité et d’innovation.
Avoir la chance de pouvoir participer à un espace de vie et de culture de cette qualité est un plaisir qui ne devrait pas être compromis, au même titre que ne peut l’être l’âme de ce lieu.
Will – PorCus
Ainsi l’on décide d’arracher à la racine même les dites mauvaises herbes. Quel dommage, quelle défaite : c’est précisément de ces pousses que viennent l’innovation et le changement. En nous chassant des territoires tels que l’Usine, ce sont ces si précieuses zones franches dans lesquelles les artistes peuvent encore s’essayer librement à la critique qui sont attaquées. Mais il ne faut toutefois pas sous-estimer l’une des plus grandes qualités de nous autres jeunes pousses : celle-ci se nomme ténacité.
Si l’Usine ferme, la Suisse n’a plus aucun intérêt. Sauver l’Usine c’est sauver la Suisse !
C’est vraiment triste! après les squats, Artamis, maintenant c’est au dernier bastion de la culture alternative, véritablement libre et populaire qu’on s’attaque. Et où ira-ton ensuite? Dans la rue? Pour donner un nouveau prétexte à Mr Maudet d’augmenter encore la présence policière, et de terrer encore plus la population dans sa peur de l’autre et de la délinquance? Cette ville est ma ville, j’y suis née et elle me fait honte!
L’Usine c’est le dernier bastion fort de résistance contre la volonté de la ville de Genève d’étouffer la culture « non-conforme », de leur point de vue étriqué bien évidemment. On ne veut pas d’une ville que pour des trentenaires friquer! Tuer la culture alternative, c’est tuer la culture. Le nettoyage est déjà terrifiant dans cette ville! Arrêtons le massacre! FIGHT FOR USINE! Longue vie et qu’elle continue à nous faire vibrer!
Genève sans l’Usine ne serait plus vraiment Genève pour beaucoup, y compris pour moi. L’impensable ne doit pas arriver!!!!
l Usine est l’un des rares lieux culturels au centre ville ne nous le fermez pas….
La très grande majorité des concerts auxquels j’ai pu assister à Genève ont eu lieu… à l’Usine !
Keep fighting
L’Usine est un projet à nul autre pareil, en Suisse, comme ailleurs sur cette planète. De part sa singularité, de part son histoire, l’Usine permet des expériences artistiques et une proposition culturelle unique à Genève, proposition culturelle qui devrait faire la fierté des autorités, et qui est un atout indéniable pour la ville du bout du lac. L’Usine répond aujourd’hui à toutes les normes nécessaires pour poursuivre son aventure et ses différentes exploitations. Vouloir l’obliger à rentrer dans les mêmes cases que des lieux privés, pour des sombres raisons de concurrence (et cela reste à prouver), ou de contrôle, est une double erreur:
a) D’abord l’Usine ne proposera jamais la même programmation que les établissements privés, car c’est là que réside sa force et sa richesse de projets. Les établissements privés quant à eux ne pourront jamais proposer ce que programme l’Usine, car ils n’ont soit pas la taille, ni la polyvalence, ni la singularité d’un tel endroit. Présenter l’Usine et les autres établissements privés de cette ville, comme les pièces d’un même puzzle est une grave erreur.
b) Vouloir ensuite diviser l’Usine, pour de futiles autorisations de buvette, c’est ne rien comprendre à l’Usine, qui a toujours été une avant d’être multiple. Nier sa singularité, c’est nier ce qu’elle est, et ce qu’elle propose.
Full respect, et full support à l’Usine. Longue vie à l’Usine.
De la part d’un établissement privé.
L’indispensable choas support d’expérimentations — comment ne pas comprendre la nécessité d’un tel lieu ? c’est une chance incroyable pour la ville de Genève et la Suisse romande !
Genève peut s’enorgueillir de l’existence de L’Usine, qui brasse une palette d’expressions artistiques et d’activités rare en Suisse Romande en un seul et même lieu. Foyer d’émergence et écrin indépendant pour une programmation internationale, sa mise en péril par le légalisme et la bureaucratie fait froid dans le dos. Cette richesse doit être préservée à tout prix!
Forza!
Si il faudra descendre dans la rue pour garder notre usine nous y serons !!!
Ⓐ
J’ai grandi à la campagne. Profonde même. Vu de mon village fribourgeois, Genève, c’était « New York dans les années 80 ».
Mes parents ne m’y avaient jamais emmené. Pas vu le jet d’eau, pas vu l’horloge fleurie, ni les Fêtes de Genève, ni le mur des Réformateurs, ni le Musée du CICR, encore moins le MAMCO.
La première fois de ma vie que j’ai vu Genève, c’était pour venir… à l’Usine. Vers 1998. Et ouais. Rien que ça.
Et j’y suis revenu. Pas qu’une fois. Et je n’étais pas le seul. Sans ces lieux alternatifs, combien d’autres que moi seraient restés isolés et repliés sur eux-mêmes ? Enfermés dans nos préjugés et refusant l’altérité ? Ayant comme seul horizon les fausses joies d’un consumérisme vulgaire et individualiste ? La personne que je suis est notamment redevable à l’Usine et surtout aux personnes qui façonnent ce lieu magique.
Combien d’existences ces lieux alternatifs ont-ils changé ? En accueillant à bras ouverts, en donnant droit d’exister à celles et ceux qui ne rentrent dans aucune de ces sacro-saintes cases. Enfermée dans certaines tours d’ivoire et ses préjugés, une majeure partie de la caste politique n’arrive pas à cerner l’immense travail social que font de tels lieux. Ces espaces interstitiels que certains définissent comme « hors-la-loi » permettent à d’autres de devenir acteur de leur propre vie. En donnant confiance, en déléguant des responsabilités, en formant des jeunes, en leur conférant des compétences hautement valorisables sur le marché du travail (autant vous dire que la gestion de projets, après l’organisation de concerts punk, c’est de la rigolade. Et je parle d’expérience), le tout sur une base autogestionnaire et largement autofinancée. Qui dit mieux en termes d’intégration et de cohésion sociale?
Est-il nécessaire de revenir au passage sur l’apport culturel indéniable de l’Usine et plus globalement des milieux dits alternatifs. Quelle serait la renommée de la Genève internationale sans de tels lieux ? L’Usine ancre Genève sur la carte mondiale de l’art et de la culture. Cela ne se prête pas à discussion.
Aujourd’hui l’entêtement stérile d’un magistrat relève soit de l’aveuglement administratif court-termiste et contre-productif pour toutes les parties, soit de la mauvaise foi crasse et opportuniste d’un élu en mal d’existence politique. L’un comme l’autre sont indignes et n’auraient pas à affecter le bon fonctionnement de ce fleuron culturel et social qu’est l’Usine. Les autorités publiques se doivent de soutenir et de faciliter les activités de l’Usine et non d’entamer des bras de fer inutiles et désobligeants.
Longue vie à l’Usine.
Et s’il fallait trouver une vertu au conflit actuel à propos de l’Usine (et à tous les autres conflits en gestation dans le champ culturel -y compris à propos d’institutions culturelles, comme la Nouvelle Comédie) ce serait celle, pédagogique, de matérialiser l’importance d’un rapport de force politique, et de rappeler la nécessité de se battre. Parce que ça roupillait un peu, faut bien le dire, dans le champ culturel genevois, réveillé ces temps à coups de pompe dans le fondement. Alors, si Maudet, ses services et ses supplétifs municipaux peuvent, entre deux inaugurations de prisons, ressusciter une mobilisation de la jeunesse « querelleuse, protestataire et bohème » (comme la décrit, amoureusement, « Le Temps ») et secouer le tissu culturel genevois, ils auront, involontairement, bien mérité de la République, de la Commune et de la culture, alternative ou pas.
Avant je sortais pas a Genève, qui est pourtant a 7km de chez moi… puis j’ai découvert l’usine. Conviviale, pas chère, proposant de la musique totalement nouvelle pour moi, bien loin du 103.6 habituel ! résultat, les soirées à l’Usine sont inscrites en rouge dans mon agenda, que ce soit au PTR (qui ne fait depuis plus partie de l’usine, mais garde la salle du rez), au ZOO, au kalvingrad, à la Gravière ou encore a la Makhno… les sons résonnent encore dans ma tête !
On à besoin de l’usine.
A l’Usine, haut lieu de culture alternative en Suisse et en en Europe, bien loin du ByPass et de ses dresscode, tremplin pour des artistes manquant de reconnaissance, a ses salles combles, aux soirées mémorables que j’ai pu y passer et qui m’attendent encore, FIGHT!
Comme une évidence je signe la pétition estimant que ce combat-ci préfigure des batailles à venir…
L’Usine c’est un supplément d’âme, nécessaire, vitale….C’est l’Esprit de la Loi, l’esprit de Genève, multiculturel, multiple….un endroit qui réconcilie, et qui rassemble…les gens, le corps et l’esprit (encore lui!). Arrêtez cette vampirisation par cette dérive sécuritaire, c’est elle qui transforme le peuple en mort-vivant et qui ne lui laisse que ses poings pour exister. L’alternative? La Culture alternative = culture inclusive vs divisée. Je soutiens l’Usine, créatrice d’énergies fécondes.
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/////////// L’USINE VIT ! ///////////////////
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Until people have an idea, until people have voice, people need a place like this, people need L’Usine!
De tout coeur et pour toujours!
Entre le Canton qui bloque la subvention et la droite et Ville qui fait de la punition une sanction collective, on doit lutter contre ce diktat, cette vision de la nuit qui exclut, qui refuse la différence, le bénévolat, l’échange, l’interdisciplinaire, la programmation de qualité.
Continuons à LUTTER!
Les fous, les marginaux, les rebelles, les anticonformistes, les dissidents… Tous ceux qui voient les choses différement, qui ne respectent pas
les règles.Vous pouvez les admirer ou les désapprouver, les glorifier ou les dénigrer. Mais vous ne pouvez pas les ignorer. Car ils changent les choses.
Ils inventent, ils imaginent, ils explorent. Ils créent, ils inspirent. Ils font avancer l’humanité. Là ou certains ne voient que folie, nous
voyons du génie. car seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu’ils peuvent changer le monde y parviennent.
Extrait du livre « sur la route » jack Kerouac
En total soutien avec l’Usine.. On ne lâche rien !! De vouloir soumettre l’Usine au diktat d’une administration psycho-rigide est un très mauvais signal pour la culture alternative à Genève pourtant essentielle..
Ich bin ein Usiner !
When Winston Churchill was asked to cut arts funding in favor of the war effort, he simply replied « then what are we fighting for? » ( et voilà, cette phrase résume tout!)
« Personne plus que moi, messieurs, n’est pénétré de la nécessité, de l’urgente nécessité d’alléger le budget.
J’ai déjà voté et continuerai de voter la plupart des réductions proposées, à l’exception de celles qui me paraîtraient tarir les sources même de la vie publique et de celles qui, à côté d’une amélioration financière douteuse, me présenteraient une faute politique certaine.
C’est dans cette dernière catégorie que je range les réductions proposées par le comité des finances sur ce que j’appellerai le budget spécial des lettres, des sciences et des arts.
Que penseriez-vous, messieurs, d’un particulier qui aurait 500 francs de revenus, qui consacrerait tous les ans à sa culture intellectuelle, pour les sciences, les lettres et les arts, une somme bien modeste : 5 francs, et qui, dans un jour de réforme, voudrait économiser sur son intelligence six sous ?
Voilà, messieurs, la mesure exacte de l’économie proposée. Eh bien ! Ce que vous ne conseillez pas à un particulier, au dernier des habitants d’un pays civilisé, on ose le conseiller à la France.
Je viens de vous montrer à quel point l’économie serait petite ; je vais vous montrer maintenant combien le ravage serait grand.
Ce système d’économie ébranle d’un seul coup tout net cet ensemble d’institutions civilisatrices qui est, pour ainsi dire, la base du développement de la pensée française. Et quel moment choisit-on ? C’est ici, à mon sens, la faute politique grave que je vous signalais en commençant : quel moment choisit-on pour mettre en question toutes les institutions à la fois ?
Le moment où elles sont plus nécessaires que jamais, le moment où, loin de les restreindre, il faudrait les étendre et les élargir. Eh ! Quel est, en effet, j’en appelle à vos consciences, j’en appelle à vos sentiments à tous, quel est le grand péril de la situation actuelle ?
L’ignorance. L’ignorance encore plus que la misère. L’ignorance qui nous déborde, qui nous assiège, qui nous investit de toutes parts. C’est à la faveur de l’ignorance que certaines doctrines fatales passent de l’esprit impitoyable des théoriciens dans le cerveau des multitudes. Et c’est dans un pareil moment, devant un pareil danger, qu’on songerait à attaquer, à mutiler, à ébranler toutes ces institutions qui ont pour but spécial de poursuivre, de combattre, de détruire l’ignorance.
On pourvoit à l’éclairage des villes, on allume tous les soirs, et on fait très bien, des réverbères dans les carrefours, dans les places publiques ; quand donc comprendra-t-on que la nuit peut se faire dans le monde moral et qu’il faut allumer des flambeaux dans les esprits ?
Oui, messieurs, j’y insiste. Un mal moral, un mal profond nous travaille et nous tourmente. Ce mal moral, cela est étrange à dire, n’est autre chose que l’excès des tendances matérielles.
Et bien, comment combattre le développement des tendances matérielles ? Par le développement des tendances intellectuelles ; il faut ôter au corps et donner à l’âme. Quand je dis : il faut ôter au corps et donner à l’âme, ne vous méprenez pas sur mon sentiment. Vous me comprenez tous ; je souhaite passionnément, comme chacun de vous, l’amélioration du sort matériel des classes souffrantes ; c’est là selon moi, le grand, l’excellent progrès auquel nous devons tous tendre de tous nos voeux comme hommes et de tous nos efforts comme législateurs.
Eh bien la grande erreur de notre temps, ça a été de pencher, je dis plus, de courber l’esprit des hommes vers la recherche du bien matériel.
Il importe, messieurs, de remédier au mal ; il faut redresser pour ainsi dire l’esprit de l’homme ; il faut, et c’est la grande mission, la mission spéciale du ministère de l’instruction publique, il faut relever l’esprit de l’homme, le tourner vers la conscience, vers le beau, le juste et le vrai, le désintéressé et le grand. C’est là, et seulement là, que vous trouverez la paix de l’homme avec lui-même et par conséquent la paix de l’homme avec la société. Pour arriver à ce but, messieurs, que faudrait-il faire ?
Il faudrait multiplier les écoles, les chaires, les bibliothèques, les musées, les théâtres, les librairies. Il faudrait multiplier les maisons d’études où l’on médite, où l’on s’instruit, où l’on se recueille, où l’on apprend quelque chose, où l’on devient meilleur ; en un mot, il faudrait faire pénétrer de toutes parts la lumière dans l’esprit du peuple ; car c’est par les ténèbres qu’on le perd.
Ce résultat, vous l’aurez quand vous voudrez. Quand vous le voudrez, vous aurez en France un magnifique mouvement intellectuel ; ce mouvement, vous l’avez déjà ; il ne s’agit pas de l’utiliser et de le diriger ; il ne s’agit que de bien cultiver le sol.
L’époque où vous êtes est une époque riche et féconde ; ce ne sont pas les intelligences qui manquent, ce ne sont pas les talents, ce ne sont pas les grandes aptitudes ; ce qui manque, c’est l’impulsion sympathique, c’est l’ encouragement enthousiaste d’un grand gouvernement. Je voterai contre toutes les réductions que je viens de vous signaler et qui amoindriraient l’éclat utile des lettres, des arts et des sciences. Je ne dirai plus qu’un mot aux honorables auteurs du rapport. Vous êtes tombés dans une méprise regrettable ; vous avez cru faire une économie d’argent, c’est une économie de gloire que vous faites. Je la repousse pour la dignité de la France, je la repousse pour l’honneur de la République. »
Ah l’Usine… J’y étais à ses débuts en 1989 – sans pour autant avoir été présente à sa soirée d’inauguration. J’ai vraiment l’impression qu’on est en train de se retrouver dans le même situation que dans les années 80, où on se battait pour avoir un lieu comme celui-là. Incroyable qu’après 25 ans d’existence, il y a encore des gens qui veulent voir l’Usine disparaître. Alors fight! fight! fight!
Comment la droite genevoise peut-elle décemment critiquer toutes les contraintes jugées comme dissuasives imposées aux entreprises et aux fortunés, et ensuite torpiller l’Usine avec des tracasseries administratives superflues et qui nient entièrement l’âme de ce projet et ses besoins propres?
Depuis que la quasi totalité des squats et autres contrats de confiance ont été éradiqués dans cette ville, même les pouvoirs publics ont largement dû reconnaître l’apport inestimable que ces espaces de liberté, d’expression artistique et d’expérimentation sociale apportaient à la culture de la région. Et quand il s’est agit de tenter de combler (même partiellement) ce manque, on a pu se rendre compte que ça coûtait très cher… A nouveau, s’il fallait quantifier l’extraordinaire énergie investie dans les activités de l’Usine depuis ses débuts par ses membres, souvent bénévoles ou très modestement rémunérés, s’il fallait en estimer les coûts véritables, cela coûterait une véritable fortune, ceci alors que l’apport de l’Usine à la région est largement reconnu comme irremplaçable!
L’Usine n’est pas ingrate, elle reconnaît celles et ceux qui l’aident, à commencer par ses membres et son public, mais également les pouvoirs publics qui ont souvent soutenu ses activités. Mais à l’inverse, l’Usine ne devrait pas avoir à mendier les conditions nécessaires à sa survie, elle a raison d’être fière de son indépendance et de son auto-gestion, car c’est bien cet esprit qui permet à ses membres de s’investir sans compter pour offrir à la région ce cadeau inestimable.
Ne laissons pas Genève se tirer (à nouveau) une balle dans le pied…
Fight for l’Usine!!!
Fight for l’Usine. What else?
Je suis les activités de l’Usine sa fondation. Je trouve ce lieu de vie très créatif, intéressant.C’est un des poumons d’invention à Genève. Il est vital que la jeunesse ait sa place dans cette ville et la culture alternative s’y développe. L’originalité, La pluralité, la diversité sont fondamentales. C’est un bout de l’espace public, un lieu de vie, de pensée, de culture indispensable pour toute la population genevoise. Pour ne pas vieillir idiots, nous avons besoin de nous faire déranger! Savons-vivre le débat critique, le conflit pour avancer, nous déplacer, nous faire interpeller? Il est à la base de la création de la démocratie et de la philosophie. J’apporte ma solidarité.
Travail de qualité et reconnu, il faut que L’Usine existe ! Vive la culture alternative !
Je connais l’Usine à peu près depuis mon arrivée en Suisse. C’est est un lieu de culture ouverte, diversifié, énergétique, unique dans le paysage de la Suisse romande et au-delà. L’autorisation buvette unique est de reconnaître son fonctionnement collectif. Retirer les subventions etc. annonce le pire pour le proche avenir. Où ira la culture? Résistons. Le groupe art&politique soutient l’Usine également. (http://kunst-und-politik.ch/pagina.php?1,0)
Tout cela est vraiment absurde. L’Usine est vitale pour Genève et je soutiens absolument le projet associatif et culturel qu’elle représente.
Ne tuez pas la culture alternative!!!!
L’Usine est l’une des rares institutions actuelles qui maintient Genève en vie ; je suis partisan de l’ordre dans la ville mais pas d’une ordre figé qui tue toute création, tout changement social, toute revendication de ceux qui ne se reconnaissent pas dans l’idéologie dominante.
Indispensable l’Usine ! Je défend la spécificité des modèles de gestion collectif, qui plus est qui ont montré leur succès depuis de nombreuses années comme le prouve l’Usine. Vous avez droit à un traitement adapté à votre manière de fonctionner.
Tout mon soutien pour ce lieu indispensable et riche de la culture genevoise
L’Usine est depuis sa création, pour les artistes en tournée, un exemple en terme d’accueil technique, administratif, humain et logistique.
L’usine fait partie de l’identité de Genève
sans elle pas de culture, pas d’ouverture!!
We fight!
L’usine est indispensable à Genève et personne ne la fera jamais se taire. Fight for usine!
Courage l’usine, on va la gagner cette guerre anti-jeunes! Merci pour tout votre travail et continuez comme ça!
USINE SINEU INEUS NEUSI EUSIN DANS TOUS LES SENS & TOUJOURS UN.
Pour tout ce qu’elle fait l’Usine doit être soutenue, c’est une des plus belle richesse culturelle de notre région !
L’Usine est un lieu culturel de patrimoine de première importance au cœur de l’Europe ! Elle est la Mère de toutes les expériences de requalification des friches industrielles !
Courage, on a besoin de l’Usine ! Meilleur lieu de Genève, jamais je pourrais me passer de vos concerts !
Longue vie a l’usine!!!
Le pouvoir n’aime pas le monde alternatif, ça fait réfléchir les gens et ça, ce n’est pas une bonne chose pour eux.
Tout mon soutien à l’Usine dont la polyvalence des activités permet à Genève d’avoir sa place dans la création contemporaine au sens large!
Ivre, la droite genevoise fait de la politique culturelle…
ça serait super que la ville de Genève dans son ensemble se rende compte que y’a une partie de sa population qui souhaite avoir accès à une culture hors des institutions bourgeoises, sans que ça soit hors de prix, le tout dans un lieu qui propose autre chose que les normes qui standardisent nos vies. Mais peut être que c’est trop demander…
plus de lieux alternatifs et moins de gros cons!
<3
Un tien, vaut mieux que deux,tu l’auras
Bip up les amis, on est avec vous, on est ensemble!
Lieu culturel indispensable à Genève! Touche pas à l’Usine! We will fight for l’Usine!
Mr Maudet et Mme Emery-Torracinta luttent contre la culture dans quel but? rendez l’usine au peuple!
ce qui est sur. Vous allez trouver une solution. Mais ne cedez pas. Une autorisation suffit amplement pour un lieu. Les partis qui se sont mis dans votre anti soutient montre leurs betise et leurs soif de pouvoir et de fric. Beark
Tout mon soutien
« I met my love by the gas works wall… » (The Pogues)
MERCI A L’USINE, COEUR DE GENEVE, IMPRESCINDIBLE! NO MORIRA!
PLUS DE LOIS
MOINS DE JOIE
Que dire devant tant de bêtise?
On est là et on sera toujours là!
je vous souhaites de gagner ce combat. L’ usine est un superbe lieu qui abrite de très bon projet, un exemple de gestion collective pour moi .
On proteste, on clame, on crée :
Croyez-vous qu’ils tiennent compte de nos désirs et de nos idées ?
Et bien, non ! La jeunesse s’amuse et ça dérange
Elle balance tout haut ces opinions, on l’a boycotte à outrance
Non de dieu ! Que faut-il donc faire ?
Quoi que l’on fasse, il y a toujours un que ça exaspère
Ce serait cool si vous déniez nous lâcher
Par exemple, nous foutre la paix et nous laissez danser
L’usine est indispensable!
Il faut rappeler que l’Usine a soutenu et permis à plusieurs générations d’artistes, d’artisans, de technicien de développer un travail de qualité, souvent internationalement reconnu. Il faut se souvenir que l’Usine a permis, au travers des ses diverses associations, à un public diversifié d’accéder à des films de cinéma, des concerts, des expositions et des fêtes rares. Il faut se souvenir des premiers baisers échangés dans ses murs. Grâce à ses activités, ses membres, ses amis et ses utilisateurs, elle à simplement ouvert l’esprit de nombreux-ses, dont moi, à une forme de vie collective, solidaire, généreuse et porteuse d’une culture exigeante.
La culture alternative et sa diversité émancipe! Soutien eternel !
Voisin haut savoyard,j’ai fréquenté de nombreuses années l’Usine. Apres avoir nettoyé tous les squats il y a 15 ans, aujourd’hui certains souhaitent terminé le travail en faisant disparaître le seul lieux associalternitf de Genève. Luttez partisans, luttons!!! Tous le point en l’air. La culture doit vivre! United for l’Usine!
L’usine est sans doute le plus bel exemple d’espace culturel libre et indépendant de Suisse Romande. Un exemple de créativité artistique et d’intégration sociale qui fascine les uns et inquiète les autres depuis 25 ans.
Une fois encore (et ce n’est ni la première, ni la dernière), ses opposants tentent de la museler, par peur et par ignorance. Une ignorance qui frise le ridicule lorsque qu’elle incite certains élus genevois à demander la suppression de ses subventions.
Chers élus, permettez-moi un modeste conseil: Si vous souhaitez amadouer et endormir une culture qui vous fait peur, gavez-la de subventions. En lui coupant les vivres, vous la rendrez plus forte et plus incisive (et vous passez pour des guignols auprès de vos concitoyens).
Fight for l’Usine. Forever.
Si Babylone ferme l’Usine, je jure que nos soirées continueront d’avoir lieux quitte a ce qu’on les organises dans les rues!
Tout ce que nous voulions c’était danser mais ils on fait de nous des pirates!
Battons nous pour la Liberté! Pour mettre un terme a cette oppression.
Stand Up for your rights as said Bob Marley.
L’USINE COMME EVIDENCE :
En quittant Genève pour Bruxelles il y a 4 ans, j’ai été surprise de peiner à trouver le milieu culturel « alternatif » tant il était discret, petit, caché, marginal. Les gens avec qui j’en parlais me disaient : « Ha oui mais tu viens de Genève ! Ici c’est pas pareil, même lorsque vos squats se font vider il vous reste L’USINE au moins, ici il n’y a rien de cette ampleur.. » Et en effet, alors et toujours, rien d’aussi visible, affirmé, intégré, soutenu, aucun phare de cette envergure.
Un niveau de légitimité symbolique plus officiellement reconnu : l’Université Libre de Bruxelles. En Master de gestion culturelle, lorsque est abordée la question de l’autogestion culturelle, une étude analysant le cas de l’USINE est au centre de la documentation. J’apprends ainsi que L’USINE est un des grands exemples européens en terme d’autogestion culturelle. Pour démystifier un peu peut-être, accrochons-nous un instant à un rocher rassurant : l’autogestion est ‘simplement’ un modèle de gestion à part entière. Un modèle dit « alternatif » car il diverge des modèles dominants, il ouvre un autre horizon de possibles. En fait une des choses qui le différencient vraiment de la plupart des autres modèles est qu’il s’affirme ouvertement lié à une certaine idéologie sociale et politique (plutôt ‘solidaire’), contrairement aux autres dans lesquels l’idéologie intrinsèque est tout autant présente mais jamais aussi révélée..
Si l’on étudie son cas pour illustrer l’autogestion, c’est aussi qu’au-delà de son application du modèle, l’USINE est un succès. C’est en effet LE grand centre culturel populaire que l’on dessine et auquel on rêve déjà dans l’Europe d’après-guerre. C’est un lieu réellement multiple qui reste pourtant lisible et ainsi accessible, aussi grande qu’elle soit suivant ses projets, l’Usine reste à l’échelle humaine et ça, pour la cohésion sociale d’une ville, c’est drôlement capital. A tel point que l’on remarque que, pour peu que l’on habite Genève, l’USINE cesse d’être (uniquement) une exception pour faire partie intégrante du maillage culturel genevois, elle est une évidence dans sa diversité, une évidence que d’aucune sont par la suite surprises de ne pas retrouver dans d’autres plus grandes villes européennes..
L’USINE c’est une plus-value à la ville, une valeur ajoutée. C’est carrément DES valeurs ajoutées. Des valeurs que beaucoup d’entre nous partagent, ce qui nous donne envie d’investir de nos personnes. Et ça aussi c’est du profit, même si comparé aux évaluations normatives de la gestion classique, c’est de l’ « alter-profit ». TANT MIEUX, voyez, il y a plein de joie et d’innovation dans l’alternative.
En tout logique gestionnaire, ce dit modèle alternatif implique toutefois bien entendu ses propres moyens d’évaluation et de fonctionnement. Ainsi trouver des accords et ne pas être « hors la loi » pour les choses qui importent vraiment : d’accord, mais L’USINE ne peut pas être « mise au pas » et suivre toutes les directives uniformisantes, pour la simple et bonne raison qu’elle fonctionne autrement. Il faut donc adapter les moyens aux buts, différencier et entrer dans la réflexion, et ça aussi c’est bon signe, Genève a besoin de cette diversité, il en va de la société comme des champs: non à la monoculture !
Alors, cher.e.s élu.e.s qui sanctionnez depuis en haut en coupant « les fonds de l’USINE » à chaque fois qu’elle sort de vos marquages au sol, vous qui ne voulez pas que l’on écrive sur les murs (juste parce que c’est sale ou parce que les mots vous font un peu peur ?), ALLEZ, arrêtez de vous en prendre à l’USINE comme si elle cristallisait tous les dangers d’une altérité souterraine et menaçante.. L’USINE c’est une altérité au grand air et intégratrice, l’USINE veut « vivre ensemble » et y réussi.
Bien sûr les subventions paraissent un très bon levier de pression, tout le monde s’affole, mais j’ai bien peur que vous ne voyiez ça qu’à court terme… Je me demande si vous vous rendez même compte de l’impact que peuvent avoir vos sanctions punitives, le gel des subventions d’un tel lieu pendant au moins une année c’est des centaines de projets qui n’ont pas lieux, des centaines de vies affectées, mais c’est aussi un raz de marée encore sans précédent dans le champ culturel dont il vous faudra réparer les dégâts pendant de nombreuses années à venir..
L’USINE NE DEVRAIT PAS ETRE UNE ZONE A DEFENDRE, L’USINE CE DEVRAIT ETRE UNE EVIDENCE POUR TOUTES ET TOUS. L’USINE C’EST UNE AMBITION.
En 2005, j’ai commencé mes activités d’auteur et de metteur en scène au Théâtre de l’Usine. Sans ce soutien apporté à un parfait inconnu, je n’aurais pas pu développer une activité qui dix ans plus tard essaime dans toute l’espace francophone tant par les spectacles que l’écriture de pièces. Nous avons besoin d’espace hors de l’institution, nous avons besoin de nous construire hors des cadres, des sentiers tous tracés. Porter atteinte à l’Usine dans son ensemble, c’est se couper d’une vitalité essentielle à la bonne santé de la Ville de Genève, c’est propager l’idée d’une ville où rien ne dépasse, où tout est étouffé. La vie, c’est avant tout le mouvement, le foisonnement. L’Usine est essentielle à cette vie. Ce serait dommage de l’oublier.
L’Usine est encore se qui me donne fois dans cette société et dans notre ville ou brasse argent et hypochrisie, lieux de culture, de partage et de rencontre artistique, la sensation de libérté qu’elle procure est incomparable aux autre établissement. Je me bats et me batterai encore pour cette cause car je l’aime moi, l’Usine!
Lieu cultissime de Geneve,qui draine tous les alentours pour des soirées éclectiques et des ambiances de dingue!!!Pourquoi vouloir empêcher cela??
Je vais à l’Usine y voir des concerts depuis 30 ans et l’endroit est un des lieux culturels les plus côtés de Suisse! J’y ai joué plusieurs fois et ai vu des concerts inoubliables (je viens de Lausanne). Longue vie à l’Usine!!!!
l’Usine est un lieu du coeur et de la possibilité de la pensée libre et humaine! c’est un territoire de l’imaginaire, du partage et de la complexité grand MERCI!! créatif et généreux.Longue vie à l’Usine!FORZA l’USINE
« …People have the power! People have the power!
Power to dream, to rule
to wrestle the world from fools!
I believe everything we dream
can come to pass through our union
we can turn the world around
we can turn the earth’s revolution
we have the power… »
Patti Smith
On ne va pas lâcher! L’Usine gagnera, c’est sûr!
J’ai quitte Geneve il y a quelques annees mais je souhaiterai remercier l’usine pour toutes les lecons de vie q’elle m’a appris. Je vous soutiendrais pour toujours
J’ai decouvert l’Usine en arrivant a Geneve et j’etais rassuree de voir qu’un tel endroit puisse exister encore dans un environnement culturel deja lisse et polisse….defendons les creations artistiques, leur liberte et l’expression de liberte et le partage! L’argent ne doit pas etre la seule valeur qui gere l’art et l’expression. Geneve doit etre fiere de sa vie alternative et la proteger – et meme si la majorite des genevois ne visitent pas les spectacles!
Habituelle ritournelle politique, que l’on retrouve dans toute l’Europe et ailleur.
Ils font mine que le système est lent à l’égard de la culture. Qu’elle ne peut plus être soutenu car la ville dépense déjà assez et que ce type d’espace est entrain de devenir obsolète face à la demande.
Ils aimeraient secrètement se débarrasser de cette culture pour une autre. Ils se voient garant d’une culture pour tous qui seraient une ingénierie entrepreneuriale bien huilé. Ils n’ont pas honte, jamais.
C’est régressif et monarchique mais la non plus ils n’ont pas honte car s’ils pouvaient prendre le pouvoir sur nous ce serait encore pour le bien de tous et pour le rayonnement culturel de Genève en suisse et surtout pas au-delà.
Ils sont capricieux comme des enfants gâtés et personne n’est la pour les remettre en place. Au contraire les entreprises privées leurs donnent des sucettes pour entretenir leur impotence en matière de politique.
A 100% avec vous !
Il me semble que les gens qui veulent en finir avec l’usine ont la mémoire courte et ne se souviennent des manifestations qui ont précédé son obtention par la jeunesse genevoise… Maintenant qu’on l’a, on va pas la lâcher!!!
L’usine est une part incontournable de Genève ; la Genève d’hier, d’aujoutd´hui et de demain! Pour beaucoup nous avons grandit avec! C’est évident! Nous nous battrons!
Si on ferme l usine que restera-il de culturel à Genève? Où iront nos jeunes qui n’ont pas les moyens? Dans la rue?
Laissez nous l’Usine!! C’est vrai, l’art et la créativité font peur, surtout aux dictatures. Et c’est pour ça qu’il ne faut pas se laisser faire.
FIGHT 4 USINE!!
La culture ne peut et ne doit pas être régie par la politique! Les villes ont besoin de ces espaces de vie et de création comme l’Usine qui est devenue un vrai symbole pour tous les possibles de Genève à travers les dernières décennies….
C’est beau l’Usine la nuit…
L’usine c’est nous! C’est mes 20 ans. On s’est battu pour l’avoir, on se battra pour la garder!
Genève n’est rien sans l’Usine, je suis de tout coeur avec vous ! Fight for l’Usine !!
hasta la victoria siempre!!
I love L »usine, I fight for L »usine!!!
Hereby my support from The Netherlands.
Warmly,
Renée van Trier
Bon sérieux les gars, maintenant on fait payer l’accès à ma tombe, alors vous allez quand même pas faire chier l’Usine?
L’Usine est un lieu de tolérance où se mélange la Genève artistique, alternative, passifique, internationale, festive, dansante. Soutenez la culture de l’ouverture!
Bonjour,
L’usine est un lieu fondamentale et utile, tant au niveau artistique que social !
« Qui sème le vent récolte la tempête. » Est-ce le but recherché par la droite?
Histoire de réprimer et rassurer le bon peuple qui semble avoir tant besoin de l’être?
Madame, Monsieur,
Quelle désolation de voir qu’à travers le scandaleux chantage que vous exercez sur un espace culturel comme l’USINE, c’est le dynamisme et l’innovation suisses que vous détruisez.
Défendre l’Usine, c’est défendre le bastion de la culture alternative.
L’Usine contribue depuis plus de 20 ans faire de Genève une ville rayonnante socialement artistiquement. Initier sa fermeture à cause de lois sévères, qui pourraient tout a fait être adaptées aux fonctionnements des lieux culturels et des associations, est fortement dommageable pour toutes et tous. Il y a toujours une solution, trouvons-là! Courage!
25 ans de culture, d’une programmation pleine de surprises, un lieu central pour Genève! On a besoin de l’Usine!!! Un grand merci pour tout ce que vous faites!
Tant de générations de Genevois ont connu l’Usine, c’est un lieu culturel majeur de Genève!!!
L’usine, mes premières sorties, mes premiers pas dans ma vie de jeune. Endroit où le jugement n’existe pas. Endroit où j’ai fait les plus belles rencontres de ma vie, et où j’ai renforcé des amitiés, endroit où l’on revoit de vieux potes car on sait que tout le monde y vient le week end. L’usine! Ma chère usine, elle me permet de voir des artistes que je n’aurai jamais pu voir. De découvrir des artistes en tout genre. Merveilleux endroit qui est l’usine ! Il ne faut pas qu’elle meurt!
Merci l’usine et les personnes de l’usine ! On se battera pour sauver cet endroit! On vous soutient!!
Soutenons l’Usine !
L’Usine a fait de moi ce que je suis professionnellement, artistiquement et humainement. C’est une merveilleuse école de vie, un endroit rare en Suisse: généreux, novateur, ouvert, tourné vers l’Europe et le monde.
L’Usine, reine de la nuit; berceau de bien des rêves. Incubateur artistique
J’y suis presque né, j’y ai créé un de mes premiers spectacles, en 89 je crois.
Elle est vitale et essentielle. Fight is beautiful.
Bonjour, l’usine est un lieux unique, fondateur, frondeur et témoin de la vivacité de l exception culturelle de Genève et son aura brille à l international. Je dis ça car je vis à Toulouse, mais, suis originaire de Genève et j’ai puisé beaucoup d’énergie ds ses murs. Il est des symboles qui méritent qu’ on lutte.
Il s’agit de maintenir le dernier espace des Possibles de la cité. Nous ne lâcherons donc pas et irons au front. Aujourd’hui plus que jamais.
Dans ces temps corrompus, tristes et insupportables, la droite arrogante entend toujours faire des exemples. Ils sont finis ces gens là, tôt ou tard ils seront cloués au pilori. Maudet et la clique de droite sont des mirages dans le désert, des conservateurs momifiés.
Il faut soutenir l’Usine parce que c’est vital pour cette ville.
Battons nous pour le droit inaliénable de penser. Freedom
Comment est-ce possible de devoir encore défendre ce genre de valeurs? Où nos politiques cachent-ils leur simple bon sens et leur courage?!
Le Conseil d’État, dans sa volonté d’imposer sa vision hygiéniste et normative de la ville, exerce un chantage inadmissible sur le centre culturel en bloquant arbitrairement le virement de dons conséquents, octroyés par la Loterie romande pour remplacer les gradins du Théâtre et le système de sonorisation d’une des salles de concert.Nous soutenons l’Usine dans son combat et demandons le déblocage immédiat des fonds octroyé par la Loterie romande au centre culturel.
L’Usine est l’un des derniers espaces pour la culture alternative. Nous le laisserons pas se faire détruire comme tous les autres. La richesse d’une culture est sa diversité. Stop au lissage permanent de l’image de Genève! Vive l’Usine!!
Fermer l’Usine c’est essayer de tuer l’espoir.
L’espoir d’être ensemble, la tentative de questionner, inventer, réinventer la communauté artistique et humaine, tout ça à un instant décisif de l’histoire, où l’on a plus que jamais besoin des uns et des autres, où il est plus que nécessaire de sentir et faire sentir notre part d’humanité, la partager et la transmettre.
Nous sommes plus que des machines, nous sommes nombreux et nous refusons d’entrer dans des cadres qui vont à l’encontre de la réalité de nos vies.
Créer c’est vivre, vivre la nuit aussi, faire du bruit parfois, être humains et vivants surtout.
Un endroit de liberté, de confiance, de création, un catalyseur d’énergies collectives, un modèle d’autogestion mondialement reconnu, l’Usine est extrêmement précieuse pour l’émergence de l’art d’aujourd’hui et de demain. Il est indispensable à l’heure actuelle d’avoir de l’espace pour réfléchir, tester, échouer, réussir, imaginer, se confronter à l’altérité et faire l’expérience de la communauté.
J’y ai passé mes premières nuits blanches d’adolescente, j’y ai fait des rencontres déterminantes, j’ai eu l’occasion de présenter un projet au Théâtre de l’Usine que je n’aurais pas pu défendre comme je l’ai fait dans d’autres conditions, l’Usine fait partie de ce qui a formé la citoyenne, l’artiste et l’être humain que je suis aujourd’hui et je refuse absolument d’y renoncer.
Fermer l’Usine c’est nier notre humanité et notre existence, c’est nous enlever une part de nous-même, c’est tenter de réduire à néant nos existences.
On ne s’excusera pas d’exister. On ne se soumettra pas. On est là et on ne se laissera pas abattre.
Emeute d’amour inconditionnel pour l’Usine!
« Pour tous les mal-logés
Il y a un comité
Et même dans ton quartier
Il y a de quoi squatter
Pour tous les mal-logés
Il y a un comité
Qui défend le quartier
Du promoteur sans coeur »
VIVE L’USINE LIBRE !!!!
Nos cher-e-s dirigeant-es de droite subissent un petit épisode d’ivresse du pouvoir. Ils-elles feraient bien de comprendre qu’une grande partie de la population étouffe dans la société dont ils-elles rêvent, et que les rares lieux comme l’Usine qui restent sont des bouffées d’oxygène qui permettent de tenir le coup. Supprimez-les, mais ne vous attendez pas à nous voir mourir docilement: ça va péter.
On a tous besoin d’un lieu comme l’Usine à Genève. C’est indiscutable, non négociable et tellement évident…
Vous avez tout notre soutien !!!
L’usine c’est bien, l’usine c’est necessaire. Sans l’usine Genève ne serait pas la même.
D’innombrables soirées passées a la Makno, au théâtre, au sputnik et au ptr. Je soutien l’usine!!!
L’Usine, c’est quoi finalement ? C’est un modèle culturel, tant dans la variété que dans la qualité de l’offre; c’est un modèle social, puisque c’est un lieu où tous les publics sont les bienvenus; c’est un modèle économique, où les artistes sont toujours traités correctement – ce qui n’est pas le cas d’autres institutions culturelles genevoises largement plus subventionnées; c’est un centre culturel grâce auquel Genève a un rayonnement international (grâce à son théâtre, grâce à crache-papier, etc.); c’est un nid de professionnels reconnus et disponibles (ingénieurs du son, techniciens divers); et puis aussi on y mange super bien. Bref, c’est un microcosme hyper-fonctionnel à tous les niveaux dont je ne connais aucun équivalent nulle part. En somme il vaudrait mieux que Genève soit géré par l’Usine plutôt que l’inverse. Allez, bisou à tous.
C’est à nouveau un essai institutionnel de fragiliser L’Usine. L’attitude d’intransigeance radicale de Mr Maudet par rapport à L’Usine, demande des réponses radicales aussi. On attend de la classe politique plus de discernement et moins de méconnaissance et d’amalgames. L’appui à L’Usine doit être aujourd’hui inconditionnel, car L’Usine est un lieu essentiel à la vie de Genève. Fight for L’Usine!!
L’Usine doit continuer à exister comme elle l’entend et comme elle l’a toujours fait. Imaginer Genève sans l’Usine est impossible! Certains veulent que cette culture-là disparaisse, les mêmes qui coupent dans les subventions à la création indépendante, les mêmes qui veulent une ville lisse, propre ou rien ne dépasse! On ne les laissera pas faire, c’est clair! Avec vous, à fond, we F4U!
Mr Maudet and Mme Emery-Torracinta, on vous encourage à passer quelques soirées À l’Usine pour comprendre l’intérêt social du lieu. On est assez fatigués des discours qui ne donnent aucune valeur à la culture. Questionner est un droit!
Parce que je ne veux pas d’un monde de plus en plus aseptisé et mortifère.
Avec vous à 100%!!!!!!!!
USINE = Indispensable pour la culture et la jeunesse à Genève
Fight For L’Usine ! Pour toujours !!
Vous avez tout mon soutien! Genève a besoin de vous.
Laissez nous le seul endroit alternatif de geneve. Sans quoi les jeunes les moins jeunes et ceux qui ne sont pas riches ne pourront plus se divertir! L usine est geneve. Vous devez l accepter au nom de la population!!!!!!
le prétexte de la sécurité est insupportable. c’est ce qu’à fait Chirac à Paris en étranglant les petites structures alternatives avec des mesures de sécurité couteuses et déplacées. le prétexte de la loi sur les débits de boissons est honteuse, en c’est un dictat des lobby des cafetiers qui se sentent lésés et qui font pression sur les politiciens. il y a 20 ans l’usine avait le droit de fonctionner 24h sur 24. les lois changent et changeront sans cesse. une loi n’est jamais que provisoire et il faut des combats pour que ces lois changent et évoluent. malheureusement les lois vont dans le sens contraire de la démocratie, et pour ce pays, c’est une honte. le gouvernement de Genève est une honte pour l’humanité. Maudet est un fossoyeur. un message pour les politiciens : cet endroit est un lieu important d’exploration d’une manière de fonctionner à l’horizontale. c’est aussi un lieu d’apprentissage et de formation professionnelle sans égal et surtout qui sort des circuits imposés. c’est un lieu sans profit mais qui emploie beaucoup de monde et qui paie son AVS. vous ne méritez pas d’exercer le pouvoir si celui ci est un abus de pouvoir déguisé en lois . vive l’autodétermination ! vive l’Usine!
À l’attention de Mesdames et Messieurs les Conseillères et Conseillers d’Etat
Mesdames, Messieurs,
Je vous écris de La Chaux-de-Fonds, cette ville lointaine que vous lorgnez, parfois à juste titre, d’un œil amusé. Pour tout vous avouer, je suis né au Locle, ce qui doit achever de vous faire sourire. Tout ça pour vous dire que c’est du haut de ma montagne, avec une certaine distance, que j’observe ce qu’il se passe dans votre cité. J’ai cru comprendre que le conflit avec L‘USINE s’était envenimé et je le regrette. La ville de Genève n’est pas vraiment réputée pour prendre soin de ce qui fait battre son cœur. Je veux parler là, de tout ce qui lui évite de voler la vedette aux Loclois dans le palmarès des villes où il ne se passe pas grand chose. (Même si, en tenant compte du nombre d’habitants, vous faites déjà certainement figure de désert plutôt aride.) Alors réfléchissez bien, même si ce n’est pas le genre de « culture » à laquelle vous vous identifiez, et prenez soin de ce qu’il reste de vivant dans cette Genève déjà à moitié momifiée et confite dans le jus de son propre calvinisme.
Enfin, pour ceux qui ne tolèrent pas qu’un bouseux provocateur de mon espèce vienne mettre son grain de sel là dedans, j’espère qu’ils ont assez d’ouverture d’esprit pour se rendre compte qu’une ville ne brille pas que par sa bourgeoisie cossue, par l’unique présence d’organisations internationales sur son territoire ou par l’affichage outrancier d’un luxe aussi ostentatoire que mal partagé. Vous pouvez être certains que bon nombre de Parisiens doivent regretter le Paris des années folles où la culture populaire avait une aura aussi brillante que ses lumières.
Merci d’y réfléchir.
Le rôle et l’importance de l’Usine dans le paysage culturel genevois ne sont plus à prouver! On lâche rien face à ce plouc de Maudet qui joue au shériff avec ces grands frustrés de politicards de droite!
Usine will never die
IN USINE WE TRUST!!!
Merci pour la lutte… Vous êtes au top les genevois ont besoin de vous!!!
Longue Vie(s) à l’Usine !!!
Parce que sans l’Usine, je ne saurais plus où sortir, voir des concerts, aller au cinéma, voir des pièces, bref, vivre.
NON à l’aseptisation, Non à la standardisation,
VIVE LA Culture & VIVE la biodiversité,
Keep fighting!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Fight for l’Usine!
Indispensable
L’Usine est un lieu indispensable à la vitalité de la scène artistique et culturelle genevoise. Un lieu vivant occupés par des acteurs culturels singuliers, riches et courageux qui engagent leur temps et leur intelligence à favoriser l’émergence de projets innovants. Au cœur de la ville, cet espace qui sort des sentiers battus, est un poumon nécessaire pour tous. Menacer son fonctionnement, et mettre en péril les projets foisonnants qui en découlent, c’est imposer une vision de la culture à une seule voie : la monotonie, c’est tout simplement nier l’altérité.
You have our support.
Oui il fut lutter, une fois encore! Luttons!
Lasst euch nicht unterkriegen! Weitermachen! Grüsse aus Zürich
Prendre la culture en otage d’une telle façon, c’est consternant. L’Usine doit rester ouverte et libre, c’est un lieu indispensable à Genève!
nous ne pouvons imaginer notre ville sans un coeur et le coeur de la ville, c’est L’Usine. Ventricule gauche, artère aorte, veines font intégralement parties d’un tout; l’union fait la force, vive la différence! http://mybiggeneva.com/la-menace-contre-l-usine-geneve/
L’usine était, est et restera un lieu de rencontre incroyable. C’est cet endroit sans équivalent à Genève qui m’a permis de me construire en tant qu’adolescent, qui a renforcé les amitiés qui se sont créées au collège, m’a ouvert les yeux sur la diversité culturelle et humaine. Je soutiens à vive voix l’usine, un lieu de vie accessible, sans jugements et simplement agréable!
Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom:
Liberté!
Paul Eluard.
FORZA l’Usine
La ville a besoin d’air, d’autre chose que de la
Kalvingraderie, l’usine apporte ce genre d’alternative essentielle. Ce chantage financier est inadmissible. Comme l’est la demande de payer les nettoyages de tags
Un poumon au coeur de la ville, l’amputer c’est l’asphyxie assurée.
Longue vie à l’Usine! Ré-si-stance.
Tout mon soutien à l’Usine et toutes leurs activitées qui enrichissent la vie culturelle de Genève.
Genève sans l’Usine, ce serait comme un domac sans ketchup : sec, monotone et étouffant.
On vous soutient à fond!!! La base de la culture alternative à Geneve doit exister!!!!!!
Je soutiens l’Usine! Ma Genève nocturne à besoin d’un tel endroit… et c’est un minimum! Genève a besoin d’autres endroits de ce genre pour ne pas devenir une ville morte, aseptisée. La culture, au sens large du terme, est une nécessité et une soupape sociale pour les jeunes et les moins jeunes!
They sleep, we live
Cessez votre politique mesquine et laissez nos lieux culturels VIVRE bord#@%!!! Genève ne doit pas devenir une tirelire qui ne sert que de pompe à fric pour les nantis! FIGHT for L’usine !
I wish there were more places like it, also where I live now. Fight for it! Geneva needs L’USINE!
L’usine est un lieu essentiel pour une diversité de la culture genevoise, ainsi qu’un lieu où la jeunesse peut s’épanouir a prix abordable et qui ne doit pas être punie pour quelques débordements stupides et contre productif. Malgré ce bémol, tout mon soutien.
fight
FIGHT FOR L’USINE!!
Protest and survive!
L’Usine vaincra !!
Pourquoi supprimer un des rares lieux tourné vers les gens et non vers le profit?
L’Usine, un des uniques lieux de culture alternative à Genève, n’a pas à être prise en otage dans des luttes politiques droite-gauche. Je soutiens votre combat !
N’endormez pas davantage Genève qui ronronne déjà assez!
Les lieux alternatifs sont ceux qui permettent un peu de liberté! FIGHT FOR USINE !
Mystique, magique et euphorique, un lieu de partage où la rencontre et l’échange culturel règnent en maître. Incompréhension que les autorités ne voient pas d’intérêt à soutenir ce genre d’espace social… Courage camarades
Ce lieu est comme une maison, pour nous tous!!!!!FIGHT!!!
Fermer l’usine…. Et Genève se rapprochera encore plus de la ville la plus fadasse de la planète!! L’usine c’est nos meilleurs souvenirs de fête et ca doit continuer !!!
Défendons nos lieux! Pour que le gars qui tague partout « Genève Ville Morte » n’ait jamais raison!
L’Usine est indispensable à la culture, dans une Genève vendue au fric, aux lounges pour expats, à l’uniformisation! Je la fréquente depuis plus de 29 ans et j’espère pouvoir le faire encore longtemps! No retreat no surrender!
« Soyez réalistes,demandez l’impossible » (E.Che Guevara)
tout mon soutien pour que ce lieu poursuive sa belle activité!
L’usine a méchament soutenu nostromo dans ses début (club45…). Sans l’usine nous n’aurions probablement pas fait cette carrière. Pour tout les groupes que l’usine va soutenir dans l’avenir je soutiens fermement cette structure
Le combat pour l’Usine doit aller au delà de la frontière genevoise.
C’est une affaire romande. Il faudrait trouver un moyen de faire une action qui réunisse le canton ! Mobilisons nos forces.
Never give up the fight!
L’Usine et son offre culturelle sont nécessaires et vitales dans cette Genève qui se renferme petit à petit. Sauvons-la!
Après avoir vu disparaitre des lieuy comme artamis et le mad de geneve (tous deux concernés au préalable par des discordes administratives) je comprend que l heure est sévère pour la preservation de ce lieu de lumière dans notre ville. Dossiers toujours plus contraignants, billets volants sur des promesses de fumée c est le cocktail de la poignée qui repressionne..mais les gas ont oublié qu avant des photocopieuses nous sommes des coeurs qui battent et ca ils ne nous l enlèverons jamais! Fightforthepulmon
Lieu incontournable de la culture, part intégrante de ma vie de genevoise, part intégrante de la cité de Calvin !
Elle est un poumon de la culture genevoise. Voulez-vous qu’on arrête de respirer?
Genève serait pauvre sans L’Usine.
L’Usine est le seul véritable endroit sympa et abordable où on peut aller au dernier moment même si on est en pyjama (j’exagère à peine) sans se voir l’entrée refusée! J’entend régulièrement dire par des gens d’ailleurs que à Genève il n’y a « rien à faire pour sortire »… l’Usine est un pilier de la petite vie nocturne genevoise! Indispensable à son bien-être!!! La suprimé c’est mettre beaucoup de monde à la rue au sens propre du terme.. et personne ne veux de ça!
Aidez nous à garder notre centre culturel! Aidez vous à ce qu’on vous fiche la paix! Aidez l’Usine à fonctionner plutôt que, par vanité, de lui mettre des batons dans les roues…
Un lieu qui compte pour moi, longue vie! forcément
Le monde a besoin d’entendre et de voir des hommes et des femmes libres s’exprimer à travers le son, l’image, la parole- créer c’est réfléchir et agir pour être ensemble, c’est un besoin fondamental pour la société, aussi essentiel que le sont les poumons pour respirer. Nous avons tous besoin de l’Usine!
FIGHT FOR L’USINE
Déjà trop de lieu culturel on ferme sur Genève, un de plus serai du gâchis. C est un lieu d échange ou l on passe de très bonne soirée, il y en a pour tout les goûts. C est aussi un lieu de rencontre et de partage qui est accessible pour tout le monde. Si votre intention est de nous rediriger vers des établissements style boîte nuit avec des entrées et des boissons inabordable ce n est pas notre cas.
Fermer l’Usine c’est arracher une jambe à la culture genevoise !
NON à un paysage culturel monochrome !
NON à une ville bercée par le fric et le surcontrôle !
OUI à la diversité !
La culture est le poumon d’une ville, laissons-le respirer !
Genève a besoin de l’Usine !
L’Usine est le nerf de Genève la nuit. Elle soutient les artistes locaux et les encouragent dans leurs créations. Un lieu de partage et de rencontre pour les jeunes et les moins jeunes, ceux qui n’ont pas envie de vider leur porte-monnaie pour sortir. Et surtout un lieu alternatif où tout le monde est bienvenu, des supers concerts abordables et 20 ans de souvenir avec mes amis dans mon coeur. C’est bien dans ce bâtiment que j’ai embrasser mon fiancé pour la première fois…. Merci l’Usine, merci aux bénévoles, merci à tous ceux qui y croient encore jour après jour.
L’usine est un lieu unique et ne doit pas être considéré comme les autres. Le fait que 18 associations se partagent l’espace demandent logiquement un statut particulier et une gestion différente. Pourquoi vouloir diviser un collectif riche et solidaire, qui fonctionne comme une communauté ? Je crois qu’une seule autorisation suffit non !? J’espère que ce lieu restera encore longtemps, un lieu d’expression, d’échanges et de rencontres… et je soutiens l’Usine dans son combat !!
This kind of independant srt spaces need to be protected and notvto be closed down.Important for geneva and the cultural field, young artists etc…
Stay strong usine!
Fight for l’usine. Pour ne pas perdre le bout de Genève qui nous plait.
VIVE L’USINE. MAUDIT MAUDET, FOUS LEUR LA PAIX !
Genève est bien une ville qui a besoin d’un lieu culturel autogéré, non-lucratif et accessible au grand public, avec une politique qui ne veut pas faire pas de l’art pour du profit. C’est un lieu festif sans dress code, ni de groupes fermés, tout le monde est mélangé et des liens se créent à chaque soirée contrairement à d’autre boîtes où les gens sont snobs. Un coin où un peu oublier qu’on se trouve dans une ville en pleine gentrification, qui se transforme en bling bling. Si vous êtes en faveur de son démantèlement, vous regretterez d’avoir fait d’une ville dans laquelle vous vivez un endroit cadavérique !
Bon courage. Vous faites partie de mes beaux souvenirs de ma vie en Suisse. Le coeur est serré et vous soutient dans cette action.
L’Usine est un TOUT, que serait Genève sans elle? C’est un lieu de rencontre connu de tous et pas seulement des genevois. Qui n’y est jamais allé? On se rappellera toutes et tous d’un moins une soirée passé dans cet endroit unique qui offre la possibilité de découvrir autre chose que les night clubs hors de prix à la musique commercial. Elle fait tourner un marché bien au-delà d’elle-même; hôtels pour les artistes, tourisme en général, il n’est pas seulement question de la population genevoise. L’impact d’une telle décision aura plus de retombées négatives à la longue. Genève triste, triste Genève, que serait cette ville sans elle? Politiciens qui avez votez, n’avez-vous jamais passé une soirée dans ce lieu unique? Genève est une ville internationale et elle se doit d’avoir un lieu où la culture l’est également! FIGHT FOR USINE!
L’usine se bat depuis plusieurs années. Nous avons vu les quartiers populaires disparaître. Ne vaudrait-il pas mieux laisser aux populations « alternatives » leur quartier et bâtiment? Certain, dont l’usine, ont une renommée internationale. Ils rassemblent.
L’Usine ne va pas fermer pour une histoire de buvettes, il faut trouver les bons interlocuteurs.
Allez allez allez!!! Genève n’est plus qu’une ville à banques et à boutiques de luxe, que c’est triste.
Fight for l’usine!!!!
Aiiie pas se laisser faire par les plus con .!
Je suis pas du coin et j’me déplacé pour L’Usine et je veux continuée trop de bonne vibes .!!!
Un lieu de mixité culturelle et musicale incontournable! Il y’en a pour tous les goûts, chacun y trouve son compte à L’Usine! Et c’est ça qui est beau!
FIGHT FOR L’USINE!
Une artère à ne pas couper.
Trop de souvenirs et des nouveaux à créer! On espère vraiment que ce lieu magique reste ouvert!!!!
Un des seuls rares endroits où le plus important est le partage contrairement à toutes les boites a frics ! On a besoin de toi Usine ! FIGHT
L’usine est un des plus beaux lieux de rencontre de Genève. Si vous fermez cet endroit magique, il n’y aura plus rien à prix abordable avec de la bonne musique et des personnes géniales. Ce serait dommage et amènera plus de problèmes je pense. FIGHT FOR L’USINE
Aucune raison n’est valable pour la fermeture de ce lieu incontournable de la vie nocturne à Genève. Ne lâchez rien
Toujours là, on ne cédera pas !
Soutient indéfectible pour mon Usine préférée !
Ce combat pose une vraie question: qu’est ce que l’Usine aujourd’hui? Un collectif qui s’affirme d’une seule voix et est en charge de l’ensemble des activités ? Un agrégat de différentes associations qui exploitent chacune leur propre buvette et demandent une subvention qui leur est propre?
(Re)trouver un seul collectif est la seule voie à explorer pour négocier une seule autorisation.
L’usine est nécessaire pour Genève. C’est un coeur et un creuset. Un besoin.
J’y ai vécu de magnifiques moments de musique et de cinéma. C’est un lieu sans égal en Suisse, le perdre serait donc un désastre culturel.
L’Usine est indispensable à la Culture et bien plus, ceci bien au delà des frontières genevoises. La droite fait tristement preuve encore une fois de sa vision étriquée des choses et de sa volonté de mise sous tutelle d’une entité essentielle du tissu social genevois.
laissez vivre le seul lieu autogéré de la ville
Fight for l’usine !!!!
L’Usine c’est des événements uniques à des prix accessibles à tous! L’Usine permet l’échange culturel, les rencontres, le partage! L’Usine fait de sa mixité sa force et de sa tolérance un atout! L’Usine c’est une liberté que l’on veut nous enlever! FIGHT FOR L’USINE.
Courage!!
On ne peut pas se permettre de priver Genève d’une telle entité. (!!!)
Mythique, centrale, multiculturelle, associative, festivalière, nocturne, alternative, ouverte à tous et à toutes dans la plus grande tolérance. (!!!)
NOUS NE CEDERONS PAS !!!
On abandonnera pas parce-qu’on a besoin de toi
FIGHT FOR L’USINE
Vive l’Usine, contre le Fascisme d’Etat, pour la Liberté et le Pluralisme Culturel!
Fight For L’Usine !
Devrions nous vraiment laisser tomber une telle diversité culturelle pour laisser place a une Genève chère et monotone dirigée par une droite rigide?
FIGHT FOR L’USINE!
Allez!
Je, Madame Lola Eulogio
soutiens L’Usine, centre culturel et autogéré établi à Genève depuis plus de 25 ans promouvant la culture sous toutes ses formes à des prix non-discriminants, au regard des demandes listées ci-dessous.
L’association L’Usine demande:
Que cesse le blocage des dons de la Loterie Romande effectué par Pierre Maudet, Conseiller d’Etat chargé du département de la sécurité et de l’économie (DSE), et que lesdits dons attribués à Kalvingrad et au Théâtre de l’Usine soient délivrés sans délais.
Que Anne Emery-Torracinta, Conseillère d’Etat chargée du département de l’instruction publique, de la culture et du sport (DIP), s’attèle à défendre les intérêts des milieux culturels genevois et prenne clairement position quant au discours de Pierre Maudet.
Que l’autorisation pour une buvette unique lui soit délivrée.
Que le fonctionnement collectif, unitaire et solidaire de L’Usine soit reconnu.
Si’l veut plait monsieur, laissé quelque endroit authentique et diffèrent à Genève. La gent qui venons depuis l’étranger, apprécions beaucoup qu’il existe un endroit comme cela. Après que vous aurez fini avec l’Usine, quoi d’autre espace particulier il nous restera a Genève? Vous ne comprenez pas? Ce pas grave, vous devez pas le comprendre, il faudra seulement y respecter et nous soutenir. Merci beaucoup Monsieur.
Vive l’usine, la liberté et la jeunesse. Gardons un établissement de rencontre musicale et sociale!!
Un lieu qui vibre au son des basses, des murs qui tremblent mais qui ne céderont jamais!
L’expression aura toujours le dessus sur la répression… Fight for l’usine, l’âme de Genève!
Geneve sans l’usine c’est pas geneve !
Fight for l’usine !!
Il reste trop peu d endroits pour respirer et penser différemment dans cette ville, elle s asphixie gentiment sous une couche de stratus! Réveillez vous!! Réveillez les! Fight for l’Usine!
Un des rares lieux festifs abordables à Genève. A sauvegarder !
Don’t touch our our Usine !
Grosses pensées à vous tou.te.s depuis la Turquie <3 L'Usine me manque, je veux la retrouver à mon retour…
comment ferait-on pour s’amuser le week end à Genève sinon?
#fight4usine
Fermer des lieux culturels…il est beau le progrès
Battons nous! Ce qui doit fermer, ce n’est pas l’usine, c’est le clapet de Maudet
Soutient l usine
sans ce lieu, point d’échange;
sans ce lieu , point d’apprentissage ;
sans ce lieu , point d’amour ;
sans ce lieu , comment se remplir/découvrir ? ;
sans ce lieu, je ne serais pas qui je suis aujourdhui.
sans ce lieu; je serais devenu un veau.
sans ce lieu; nous n’aurions pas pu experimenter..
sans ce lieu : des tas d’artiste de tout pays et de tout genre ne pourront plus s’exprimer
FIGHT FOR L’USINE
fight for l usine,
Ce lieu de Genève est mythique êt je suis sur meme pour quelle ques un de no conseiller qui y ont sûrement passé du bon temps pendant leurs jeunesses. L usine est le dernier lieu multiculturelle de notre ville cette endroit magic ouvert à tous et surtout accessible à tous!
Genève était déjà bien triste quand j’y habitais et heureusement que l’usine était là. Faire disparaître ce haut lieu de la culture dite « alternative » – et pourtant bien plus importante que les propositions de certaines institutions « officielles » – serait une immense erreur pour Genève. FUERZAAAA l’usine !!!!!!
Le dernier lieu autogéré mois proposant des concerts et soirée de qualité à des prix plus qu’aborde le pour les budget limité, et on veux nous le censurer ?
In énorme courage et soutient à ce lieu mythique qui ne doit pas disparaître !
Et on se battera !
Bonsoir,
L’usine est pour moi un lieu culturel incroyable et fait partie intégrante de la culture genevoise. Il ne faut pas le détruire !
Non à l’asphyxie culturelle de Genève
Fight 4 L’usine!!!
F4U.
A ce qu’il paraît notre génération ne se fait pas assez entendre et prend pas position, mais quand on se révolte on nous punit, ON N’A PAS PEUR ET ON VA SE BATTRE.
L’usine est un lieu culte à Genève de la musique et de la population Underground. Il est hors de question qu’elle ferme ! Fight For Usine !
J’avais tellement envie de devenir « le mec qui a réussit à soumettre l’usine » auprès de mes copains notables dont j’ai tellement besoin de la reconnaissance que j’ai un peu perdu les pédales.
Mais comme dirait le big boss de Volkswagen: « I am sorry, I screwed up ».
Je vous présente donc mes plus plates excuses et viendrai « shake mon boule » sur de la bonne musique, mater un bon film ou voir une bonne pièce en tisant de la bière pas chère dès que l’occasion se présentera.
FIGHT FOR L’USINE !
J’suis jamais venu car j’suis jeune mais j’aimerais pas passer à côté de ça ! LEEETT’SSS SURVIIIVVE !
Quand je suis arrivé à Genève, la ville me paraissait être une petite montagne de neige bien propre et sans reliefs, un petit tas de glaçons où l’argent et l’hygiène murmuraient en coeur « agonie ». Et puis j’ai découvert des lieux comme l’usine, l’écurie, quelques squats encore existants et quelques personnes pour me raconter le temps d’avant. La ville m’avait paru s’illuminer, et j’avais enfin perçue quelque chose comme un peu de chaleur et d’humanité.
Quand j’ai vu les graffitis le lendemain du cortège, évidement je me suis dit « ah les cons », et j’imagine aisément quelques adolescents grivois qui s’y donnèrent à coeur joie sans penser aux conséquences de leurs actes. Ils ont vu les murs de la ville comme un moyen de dire merde, et non pas comme une somme de petites propriétés privées, de commerces de proximité, de boutiques qui s’essaient à fonctionner.
Je ne crois pas en la culture alternative, ou du moins pas en ce terme. Dire qu’une culture est alternative ne dit pas autre chose qu’une culture de remplacement, une culture de l’à côté. Cette culture mérite une autre nom, elle mérite d’être simplement nommée « culture ». L’usine n’est pas un lieu de culture « alternative », il est un lieu de culture tout court, un lieu culte et essentiel pour la ville.
En coupant les subventions allouées à l’usine, c’est une vilaine fessée que ce lieu, ses habitants, ses occupants, ses participants, reçoivent de plein fouet. C’est Papa qui dit qu’on a pas été gentils. C’est Papa qui pense qu’une bonne raclée, ça va tout régler. Ce n’est pas simplement rétrograde, c’est abjecte.
A ceux qui rétorqueront que ce n’est qu’une histoire d’argent, s’il vous plait, retournez regarder la télévision, ne remettez jamais rien en question, laissez vous bercer par l’illusion que le monde est en bonne forme, et transmettez le peu de culture et de savoirs qu’ils vous restent à vos enfants. Et un jour vos enfants vous feront un joli doigt d’honneur, et vous l’aurez bien mérité, cette fois.
Je mets ce texte sur facebook, parce qu’à l’heure du tout-communicant, nos voix ne doivent pas simplement être « entendues » mais comprises et traduises en actes. J’aime cette ville parce que ces lieux existent. Genève sans l’usine, c’est un être sans coeur, c’est un corps qui prévient de son arrêt cardiaque.
Never die !! Full support!
l’usine est certainement loin d’être parfaite mais elle essaie au moins de proposer quelque chose de différent à l’ennui quotidien du même reproduit à l’infini. Maudet, même avec ses longues dents, n’aura pas sa peau.
HASTA SIEMPRE LIBERTAD !
FIGHT FOR L’USiNE
Il faut impérativement sauver un des uniques lieux qui fait de Genève une ville ouverte à tous et pas seulement au plus riches qui s’amusent à dépenser leur fortune dans des club de piètre qualité. Sauvons un lieu qui encourage la vrai culture et les vrai interactions sociales.
FIGHT FOR USINE!
LE lieu culturel de Genève
L’une des seul infrastructures alternatives genevoises ! Impensable de l’imaginer rendre l’âme ! We will always fight !
Que resterait-il à Genève de différent sans l’usine ? À croire que la différence fait peur.
Laisser l’Usine vivre en paix ! Laissez en vie ce dernier lieu authentique et créatif à Geneve !
Utiliser tout vos fichus bureaux vide et laissez-nous L’Usine !!! C’est un lieu mythique à Genève ! Ras-le bol de vos lieux sans-âmes !
Stop le massacre des lieux alternatifs !!!
le seul lieu à Genève qui me ressemble. FIGHT FOR L’USINE!
FIGHT FOR USINE!!! Je soutiens ce lieu pour toutes les bonnes et moins bonnes choses qu’il nous apporte à tous!! C’est un lieu de créativité ou chacun peut extérioriser à sa façon et ça va vaut de l’or massif
Une méchante révolution va éclater si ce lieu mytique ferme! La diversité et la richesse de la nuit laisseront place petit à petit au Java et à toutes ces merdes du genre! NON MERCI !! Ce n est pas la réalité que je veux! Je suis de tout cœur avec l’USINE! Ils ne savent pas de quoi un peuple est capable lorsqu il se sent mourir à petit feu!!!!!!!!!
Et la culture alors ?? Fight for l’usine à fond
L’Usine est bien sûr un haut lieu de la culture alternative Genevoise, mais il représente surtout pour moi un espace de liberté et de tolérance. Où d’autre aurais-je pu me réfugier ? Je me suis toujours sentis accepté à l’Usine. Petit à petit, le monde semble se déshumaniser, les politiques veulent raser ces lieux alternatifs de la carte. Courage pour votre lutte.
Plus que jamais avec l’Usine, hasta la victoria, siempre!
Lieu chaleureux et vivant, où l’on peut encore se payer le luxe d’être surpris et d’étancher sa soif de diversité et sa curiosité…l’Usine a accueilli et vu (et même fait) grandir un grand nombre de petits et petites Genevois/es en quête de culture, de musique, d’échanges et d’ouverture sur l’Autre. Ce n’est pas par pur sentimentalisme que l’Usine doit être défendue mais parce qu’à chaque fois qu’on y met les pieds on y croise mille visages différents aux milles vies différentes et qu’une telle richesse mêlée à une infinie finesse brute, eh ben je ne l’ai encore jamais vue ailleurs…
De telles décisions sont incompréhensible! Ils disent vouloir promouvoir la culture mais font tous pour la tuer! Un va taper un article sur notre site pour montrer notre soutien et faire passer le message! FIGHT 4 L’USINE!!!
Indispensable aux sorties nocturnes des jeunes genevois. Un lieu top où il y a de tout.
le jura libre est avec vous ! FIGHT FOR L USINE !
DE LA FORCE A VOUS TOUS, ON DESCENDERA ENCORE DANS LES RUES DE GENEVE SI IL LE FAUT!!!
L’Usine: présidente!
Longue vie à l’Usine! C’est un monument vivant de Genève et de la Suisse! Fight for l’Usine!
Il faut pas laisser mourir comme on a vu mourrir Artamis. Avec vous jusqu’au bout! Anarchy is order!
D’abord l’Artamis, après l’Usine….?
Qu’est-ce qui reste après?
A préserver, non seulement pour ses soirées mais aussi pou tout le complexe culturel alternatif qu’elle propose. FIGHT FOR USINE
Si L’Usine n’est plus la culture est nue FIGHT4USINE
L’usine est un lieu impératif à la vie culturelle genevoise.
Un jeune qui veut continuer à sortir en baskets
J’apporte mon soutien car l’heure est à la conscience! Le MCG un parti déguisé de gauchiste sous lequel se cache de grandes contradictions et des propos xénophobes ultra extrémistes.
S’attaquer à l’usine, c’est s’attaquer à la culture artistique genevoise et Suisse.
S’attaquer à l’usine c’est s’attaquer à un volcan qui a pour but de réguler et purger les tracas du quoditien capitaliste.
S’attaquer à l’usine, c’est s’attaquer à la liberté d’expression du peuple et des artistes Suisse et internationaux.
S’attaquer à l’usine, c’est comme planter un couteau dans le cœur de toutes les personnes sensibles qui se battent pour garder des lieux culturels pour le bien du peuple.
S’attaquer à l’usine, c’est s’attaquer aux valeurs démocratiques du pays lui même.
Et enfin, s’attaquer à l’usine, c’est s’attaquer à l’esemble même d’une constitution libre.
Alors messieurs les droitistes et autres, réfléchissez bien avant de tirez une balle dans votre propre tête. Vous qui vous dites « Citoyens du peuple ». Vous qui pensez défendre des valeurs socialistes en fondant des partis comme le SEGE de 2009 pour lutter contre les frontaliers, osez dire sur une chaîne audiovisuelle que vous voulez que l’usine se transforme en lieu d’accueil pour les migrants, vous êtes en pleine contradiction de vos partis! Vous êtes entrain de jouer à un jeu dangereux.
Alors mesdames et messieurs, membre de partis peu scrupuleux, vous perdez votre temps, car dans la conscience restera toujours la liberté! Faites vous quelques semaines de méditations, cela vous enlèvera peut être la merde que vous avez dans la cavité de vos yeux.
Bien à vous, celui qui veut du bien.
« Fight for L’Usine »
Damian
La société n’appartient pas qu’à cette génération de parlementaires. Vous n’avez pas à décider pour nous. Vous ne pouvez pas nous enlever l’Usine, quel sens donner sinon à cette vie à Genève ?!? FIGHT FOR L’USINE !!!!!!
Parce que sans l’Usine, Genève ne sera plus la même! Fight 4 Usine!
L’Usine est le dernier vrai lieu de culture alternative proposant un cadre et une programmation professionnelle à Genève. Elle est indispensable ou la culture n’a plus lieu d’être.
« Pour moi ne comptent que ceux qui sont fous de quelque chose, fous de vivre, fous de parler, fous d’être sauvés, ceux qui veulent tout en même temps, ceux qui ne bâillent jamais, qui ne disent pas de banalités, mais brûlent, brûlent, brûlent comme un feu d’artifice »
Jack Kerouac, cité par Yves Buin
1 pour tous et tous pour l’usine
Fight for l’usine !
L’usine est pour moi le seul lieu, avec des prix abordables, à vous accepter tel que vous êtes, pas de dress code !
Un des rares endroit où on se sent injugés, égaux à Genève!
Libre d’écouter autre chose que du reggaeton ou de la house…
On peux y voir des artistes qui ne seraient surement pas accepter ailleurs mais aussi en découvrir !
Si vous nous enlevez l’usine, oû irons nous ? Dans vos précieuses rues ?!
Tous avec l usine !!!
La culture ne doit pas se taire mais faire du bruit. FIGHT FOR USINE
L’usine c’est toute ma jeunesse
fight for l’usine !
L’usine est un lieu emblématique du paysage culturel vaudois et ne doit pas disparaître !
Soyons solidaires et battons nous pour l’usine !
we will never surrender
L’usine un lieu indispensable à la vie nocturne genevoise, FIGHT 4 USINE!
FIGHT FOR L’USINE ! Lieu de rencontres cosmopolites, d’ouvertures et de libertés des esprits.
DERNIER REMPART à l’aseptisation croissante de cette ville pourrie par sa politique et par son fric dégueulasse FIGHT!
Pour des raisons politiques, financières, méchantes, bêtes, l’ensemble des institutions culturelles de ce pays sont menacées. Soyons solidaire et unissons nous !
Bonjour, l’heure est grave chers concitoyens !
Sans l’Usine et la programmation culturelle qu’elle propose il ne restera plus que la Gravière et le Motel Campo (comme lieu d’une certaine grandeur) dans le domaine « alternatif ».
Je n’ai pas envie et je n’ai pas les moyens (oui je ne suis pas si riche que ça) de passer mes soirées au P+R que l’on nomme « Bypass ».
Le parti républicain est de tout cœur avec l’Usine et ses résidents !!!
FIGHT FOR L’USINE #F4U
Pas envie d’aller au ByPass^^
FIGHT FOR L’USINE!!!!!!
L’usine est un canalisateur social, une vrai erreur de la circonscrire.
fermer l’Usine serait comme un matin sans lumière pour beaucoup. Que proposez-vous à ces personnes?
l’énergie de toute une vie pour certains…
Pour tous les artistes et tous les publics qui sont passés et qui passent par ici ce lieu doit rester ouvert et ne peut être classé dans la case souvenirs.
pour la culture urbaine si bien reconnue… genève n’est pas seulement une ville remplie de bling bling superficiel mais aussi une ville de personnes de taille humaines qui ont besoin que ce lieu reste comme il est.
bien à tous*
Je donne mon soutien inconditionnel à L’USINE ! Non pas en tant qu’établissement physique fais de briques et de mortier, mais en tant qu’idéologie !
Je soutiens l’usine !
L’usine n’est pas un luxe. C’est un lieu NECESSAIRE à la vie genevoise. Un poumon. Ne la laissons pas être asphyxiée.
Fight 4 usine
« Privé d’oxygène votre cerveau meurt.Privé de culture aussi »
Avec vous et derrière vous.
Nique le MCG, le PLR et l’UDC qui n’y connaissent rien à la culture et agissent en véritable nazi! Vive l’Usine, ils ont eu l’Artamis ils n’auront pas l’Usine!
Ne tuez pas la créativité s’il vous plait.
L’usine un lieu indispensable à la vie nocturne genevoise
L’usine est notamment un lieu où se forment et se sont formés des artistes de talent. La structure autogérée de ce lieu permet à ces artistes d’expérimenter des choses plus librement qu’ailleurs. Sur le plan régional, l’autogestion de l’usine favorise également la diversité des pratiques artistiques. Vu sous ces angles, l’Usine est un lieu de première importance à l’échelle régionale. Fermer l’Usine ou la contraindre à des pratiques administratives contraires à sa mission, c’est refuser de considérer ces deux aspects (la liberté, la diversité) comme importants, voire nécessaires à la création artistique et à la vitalité (et l’attractivité) d’une région.
Je soutiens l’Usine.
360°Fever soutien l’Usine et son combat !
Les Associations 360, 360° fever et 360° magazine sont depuis 18 ans liées à l’Usine en terme de combat, de vision et de multiples collaborations tout au fil de ces années.
L’Usine a accueilli à de nombreuses reprises 360, l’Usine a les mêmes volontés que 360.
Longue vie à la culture variée et abordable !
Longue vie à l’ouverture d’esprit !
360° fever est là pour l’Usine !
Die Usine ist eine der wichtigsten Kulturorte der Stadt Genf und ist bekannt und respektiert in der ganzen Schweiz. Sie in Frage zu stellen ist eine Dummheit…
On est loin de la pensée de Chruchill pendant la seconde guerre mondiale qui disait que la culture était la seule raison pour laquelle se battre !!! Fight for l’usine !
Ne touche pas à mon usine !!
Je suis actif dans la vie culturelle de la ville de Montreux depuis bientôt 8ans et je ne sais que trop bien les problèmes rencontrés à cause de politiques repressive et non constructive. Je suis de tout coeur avec l’équipe de l’Usine!
J’ai eu le bonheur de participer à quelques soirée dans ce lieu unique et j’en garde en excellent souvenir! Continuez à vous battre pour ce lieu!
Bravo à l’équipe!
Tout mon soutien à l’usine !
Il faut que ce lieu continue d’exister comme il l’a toujours fait.
C’est bien un des seul lieu où je sors à Genève, où l’on peut rentrer comme l’on est réellement.
Défendons l’usine ! Défendons la culture !
J’y ai passé une soirée avec la chance de visiter le lieu entier avec un ami qui y travaille! Magnifique lieu culturel à préserver à tout pris!!!!
be careful, we are a lot
Selon la loi en vigueur sur la culture, art.3al.1 et 4, la liberté de la création est garantie ainsi que la diversité de l’offre culturelle est assurée! La DSE l’aurait-elle oubliée?
L’usine a toujours été considérée par la droite (mais sans l’avouer) à un lieu de débauche et d’insalubrité, en rétrogradant son statut de lieu culturel alternatif en lieu de beuverie pour les jeunes. Le simple fait que l’Usine soit un lieu autogéré avec sa propre manière de fonctionner, effraie l’état, qui souhaiterais évidemment avoir tout sous son contrôle. Mais l’Usine et ses collectifs, sont Art, Culture et expression! L’Usine est un droit, qui perdurera tant qu’il y aura des gens pour la soutenir!
La ville prétend vouloir offrir aux jeunes des lieux de sorties « digne de ce nom », mais ce n’est en aucun cas à elle de choisir à leur place ce qui est « bon pour eux » ou ce qui ne l’est pas! Maudet oublie que les jeunes sont la plupart du temps majeurs et vacciné! Et non pas des ados prépubères qui ont un droit de sortie jusqu’à minuit. Genève se prétend une ville de culture ouverte d’esprit. Qu’elle le montre en laissant libre arbitre à l’Usine, qui se gère très bien, pour un accès à une culture alternative pour tous!
L’Usine n’est pas seulement un lieu culturel indissociable de la vie associative Genevoise, c’est aussi un espace de liberté et de tolérance où je me suis souvent réfugié et où je me suis toujours senti accepté. Ou aurais-je été sans cela ? Petit à petit, les squats et autres lieux associatifs disparaissent et la ville se déshumanise lentement mais sûrement.
Courage dans votre lutte et longue vie à l’USINE
L’Usine est un endroit indispensable a l’Europe. Je vous soutiendrai avec mes mains si nécessaire.
¡¡¡¡¡¡FIGHT FOR L’USINE!!!!!!
Nous sommes venus présenter un concert il y a quelques semaines dans les locaux inspirés du Théatre l’Usine. Outre l’accueil chaleureux du public et sa manifeste curiosité, le TU nous est apparu à mon équipe et moi-même comme une chance de soutien et d’accompagnement pour les formes d’arts les plus engagées, comme un lieu sensible, ouvert et pertinent au service de la création contemporaine. Nous y avons rencontré des artistes profondément novateurs, soucieux de partager leur travail avec le plus grand nombre. Nous y avons engagé des conversations rares, rêvé a des utopies politiques, inventé d’autres manières de penser, de générer et de pratiquer le monde contemporain. Il est de nos jours important de préserver les espaces de nos futurs potentiels et ce malgré les récents bouleversement de nos politiques culturelles. Il en est de la responsabilité des artistes, des institutions, de leurs équipes et de leur public.
A fond avec l’Usine, espace indispensable de culture et de partage en Suisse! FIGHT FOR L’USINE!!!!
Il est grand temps que je vienne enfin découvrir ce lieu avant qu’il ne fasse les frais d’une politique sans vision (je touche du bois)!
Vivant dans une ville ou, au nom de la « sécurité » et de « l’ordre », les lois musèlent une certaine créativité et détruisent l’offre multiculturelle, où le monopole des concerts est détenu par une seule organisation (une sorte de Pathé pour le 4eme Art), où l’offre musicale est aussi limitée que la playlist de NRJ un samedi soir et où la danse est règlementée (si si…), je souhaite a Genève de ne JAMAIS tomber dans cette bien-pensance aristocratique qui gangrène la dynamique des villes. Longue vie à l’Usine!!!
PS : un moyen de signer la pétition depuis l’étranger?
Le Théâtre de l’Usine a accueilli notre création durant une année entière. Deux pièces et une première de saison dont il a fallu assumer les risques. Peu d’endroits sont aujourd’hui capables d’un tel engagement sur des formes expérimentales. L’Usine ne peut pas disparaître.
Je ne me suis encore jamais produit à l’Usine en tant que Didgé puisque ce dernier n’est qu’un pseudonyme, mais comme spectatrice – du TU en particulier – comme sensible à la cause de la création sous toutes ses formes et de la scène alternative qui lui donne un lieu d’expression unique, je tiens aujourd’hui à rappeler toute la légitimité de l’Usine et de ses activités dans le paysage culturel genevois. Puis, surtout, je ne veux pas danser sur du David Guetta, une bouteille de smirnoff à dix francs dans les mains, sur le dancefloor du Bypass. Pitié, non.
un bel engagement, une programmation de qualité, une institution genevoise : FIGHT FOR USINE
Euskal Herritik, L’Usine aurrera!!!
C’est la déglingue.
Ne lâchez rien ! L’usine est un lieu exigent et intelligent qui doit exister.
Courage.
Le théâtre de l’Usine est un lieu absolument imprescindible pour nos étudiants de art/action de la HEAD, un lieu courageux, excitant, avec une programmation qu’on trouve pas ailleurs à Genève, une contemporanéité qui est celle que nous souhaitons pour nos étudiants et notre forme de penser l’enseignement. ça serait vraiment difficile de vivre sans l’Usine ou avec un Usine sans moyens de développer son programme magnifique.
L’usine est encore le seule endroit sympa en suisse romande! Merci de respecter ce bastion de résistance! Je suis quelqu’un de calme et de bon mais sans elle ça pourrait vite changer! C’est fou mais je crois que mon équilibre dépend d’elle! Bisous à tous!
Je fréquente l’usine depuis environ 25 ans, plus ou moins fréquemment. J’ai connu pas mal de ses modifications: la buvette qui a donné sa place au Zoo, qui me permettait de me retrouver, me donner un endroit où aller. Je me rappelle la salle en bas, qui se trouvait derrière une porte qui n’existe même plus, et qui a donné place au PTR/Kalvingrad. Pourtant à chaque fois que je passe devant, je la revois, comme si c’était hier. Ces souvenirs sont impérissables.
Maintenant, c’est le Zoo ou le PTR/Kalvingrad que nous fréquentons régulièrement. Ces lieux ne sont pas pour moi que des salles où l’on passe de la musique et où l’on peut consommer à un prix abordable, ce sont des lieux qui m’ont aidé indirectement dans mes moments les plus noirs, supporté, appris à vivre avec des personnes variées. Car en 25 ans de soirées, j’en ai connu des lieux, un peu partout en Europe, et l’usine est bien le seul endroit où l’on se sente un peu comme chez soi, qui nous accepte tels que nous sommes.
Donc, s’il-vous-plait, laissez-nous des endroits pour nous exprimer, nous défouler, dans un lieu « encadré » (je pense que ce mot vous parle Mr Maudet), cela nous éviterait de chercher d’autres solutions « alternatives » pour le faire… ce qui n’est pas forcément le but que vous recherchez et nous non plus.
L’Usine est un endroit génial, un vrai lieu culturel comme il devrait s’en faire plus. On doit préserver ça, c’est une artère de la ville de Genève et elle bouillonne de vie ! Et puis, rien que pour la déco, ce devrait être un monument classé ! En tout cas, un lieu et une programmation supers, variés et ouverts. Une équipe motivée jusqu’au petit matin, et parfois même les croissants pour les couches-tard… C’est fermer cet endroit qui devrait être illégal ! Courage à la team de L’Usine, et FIGHT FOR L’USINE !
Indispensable à Genève et dans toutes les villes car l’être humain ne nait pas dans une éprouvette, pas encore…
Parce que depuis que j’y ai mis les pieds la première fois il y près de 19 ans,
L’Usine a toujours représenté un vivier des cultures les plus éblouissantes, de celles qui perdurent au travers de ceux qui l’habitent et qui la font vivre tous les jours.
Parce que c’est en son sein que j’y ai découvert les musiques les plus diverses, les personnes les plus folles, le cinéma le plus obscur, le théatre et les performances les plus enrichissantes qu’ils soient.
Parce que ceux qui maintenant font partie de la culture genevoise qui s’exporte et qui rayonne au delà des frontières sont passés par l’Usine, ils y ont échangés leur temps, leurs rires leur sueur et leur larmes.
Parce que c’est dans cette rencontre utopique et pas dans l’adversité quotidienne que l’Usine grandit tous les jours. Parce qu’elle est pour tous ceux qui l’acceptent comme elle est: bigarrée, polyglotte, pluridisciplinaire, engagée, hors-normes.
Parce qu’elle ne promet pas des solutions aux problèmes qui ponctuent notre vie, mais qu’elle te propose et t’accueille pour en discuter. La porte est ouverte à tous et à toutes non? Elle représente ce petit brin de folie qui anime notre vie en dehors de la vie.
Parce que chaque moment que j’y passe amène une rencontre.
Fight 4 U
Fight 4 Usine
Ravi en tant qu´étranger d´avoir trouvé un endroit aussi superbe et de cette qualité culturelle! Franchement,un lieu de culte de la culture underground au niveau européene (je me souviens encore du concert de Ty Segall!!) qui doit être préservé à tout prix!! Je soustiens l´Usine!
FIGHT FOR L´USINE!!
Parce que l’Usine est un lieu culturellement riche, parce qu’à l’Usine on peut aussi bien headbanger un soir et venir voir une expo de jeunes créateurs le lendemain, parce que l’Usine est une bulle de liberté pour tous. Parce que les gens qui y travaillent le font avec ferveur et passion, parce que les personnes qui la fréquentent y passent de bons moments. Parce que c’est notre Usine à nous tous, et que la fermer ferait mourir une part culturelle non négligeable de Genève.
Parce que j’aime l’Usine, tout simplement.
Car on a tous besoin d’un lieu avec des valeurs différentes (surtout de cette chère Ville de Genève), d’un lieu ouvert à toutes et à tous, d’un lieu ou il y a une programmation artistiquement intéressante pour tous les gouts, d’un lieu géré par des gens qui ne travail pas pour l’argent mais pour le plaisir de travailler et pour défendre des valeurs autres, d’un lieu ou les gens ne sont pas catégorisés, d’un lieu libre.. Pour toutes ces raisons et bien plus, je soutiens l’Usine et tous ses membres, pour garder un espace vivant et culturellement important qui propose pleins d’activités à prix accessibles pour tout le monde.
Car la culture, devrait être accessible à tous. Car on a pas envie de vivre dans un monde ou l’argent est une valeur plus importante que le savoir, la culture et l’ouverture d’esprit.
FIGHT FOR USINE, FIGHT FOR THE CULTURE.
Citoyenne de Genève, 50 ans.
Je ne vais pas à l’Usine, mais ce lieu de culture alternative doit continuer à exister. Il est nécessaire que les jeunes ait un endroit où ils peuvent se retrouver et écouter la musique qu’ils aiment .
Genève doit être une ville pour tous. Pas seulement pour les riches qui vont au Grand Théâtre puis dîner au Lyrique! Ca n’est pas dans les moyens, ni dans les goûts de tout le monde.
Le gouvernement actuel est en train de transformer Geneve en Monaco!
La révolte gronde ! Ne l’entendez-vous pas?
L’Usine cristallise un débat d’idées, de vision pour l’avenir. Dans un discours, légaliste quelle est la place pour l’exception?
Autrement dit, sommes-nous contraint/asservis à répondre à une vision légiférée de « comment être correct sans provoquer une certaine jalousie ? » Faire de la place pour une autre manière de faire est-il donc si douloureux ?
Qui souffre ? Pourquoi? Autonome, jeune et créatif est-il devenu dangereux ? Sommes-nous dans une gérontocratie ?
L’Usine, dernier bastion alternatif de la cité, village d’irréductibles gaulois, on est avec toi.
Je viens trop rarement vous voir, mais s’il faut vous défendre, je serais là.
Fight for L’Usine !!! GoGoGoooo !
L’Usine est un vivier d’artistes et de citoyens, un exemple rare aujourd’hui, qui seule, assure un équilibre précaire et un lieu libre, populaire, accessible à toutes et tous. L’annuler est une erreur politique inquiétante.
La culture, le passeport ultime, une masse d’or, une hymne donc Fight for l’usine.
Je ne suis pas un aficionado de l’Usine mais je n’ignore pas le rôle important que cette association joue dans la vie culturelle genevoise. Les politiciens actuels sont en train de signifier aux genevois que seule une certaine élite a le droit à la liberté. Les autres ne sont pas les bienvenus.
La Gara, le Goulet, La croix-d’or, les Délices, Le Garage; La baraka; le Rhino; la Tour, Chez Brigitte; ARTAMIS;etc …moi je demande…à supposé que Maudet réussisse à fermer l’Usine…. ON FAIT QUOI ????
De tout coeur je soutiens L’Usine, lieu de rencontres tellement important pour tous les âges!
Et je souhaite que M. Maudet et Mme Torracinta sortent du silence et respectent leurs paroles données.
L’usine est unique. On se battra jusqu’au bout pour que nos enfants, nos petits-enfants, nos petits-petits-enfants puissent également avoir la chance de découvrir ce lieu artistique. Merci l’usine.
L’usine…un lieu mythique où j’ai passé toute mon adolescence, et où je continue et continuerai à aller! Et j’espère bien transmettre à mes enfants l’amour de la scène alternative. Genève à besoin de ce lieu, après la fermeture de nombreux squats et lieux alternatifs, l’usine reste le seul lieu où je me sens un peu chez moi! Fight For L’usine!!!!
L’Usine, lieu de culture alternative à la portée de tous et de toutes, est un poumon dans cette ville moribonde. Nous aimons l’Usine et nous nous battrons pour la préserver telle qu’elle est !
Je suis avec vous
L ordre obsessionnel et la coercition afin que tous soit captifs est l essence de ce que veulent tout les pouvoirs qui rongent petit a petit tous les interstices en serrant les nœuds coulants et les espaces de cultures libres sont seuls dans les tempêts face aux systèmes , viva la muerte
Laissez vivre l’usine, parce que ce lieu est unique et indispensable à la vie culturelle et à la vie nocturne genevoise
Pour la soutien de la culture alternative que je vois réprimandée chez moi en France, mais aussi bien partout en Europe et pour laquelle il faut se battre car elle est unique !
Ils sont peut-être magistrats et députés, mais nous sommes bien plus nombreux qu’eux. Ils ont peut-être des postes de pouvoir dans la politique, mais pendant qu’ils font leur basse besogne de bureaucrates dans leurs bureaux confortables, nous vivons dans cette ville et nous la faisons vivre. N’ayons pas peur d’eux. Légal ou illégal qu’importe, nos désirs sont légitimes, les revendications de l’Usine sont légitimes, aucun coincé du cul installé dans son siège de politicard n’offrira autant à cette ville que ce qu’apporte l’Usine depuis vingt-cinq ans. Surtout, ne lâchez rien! On vous aime et on est avec vous.
Je suis ici à genéve depuis presque deux ans et j’ai découvert l’usine par hasard on va dire et puis maintenant l’usine c’est un lieu dont j’admire énormément, c’est un lieu où franchement je me sens accepté et je crois que des autres gens pensent comme moi car c’est un lieu unique et qui doit être préservé.
FIGHT FOR L’USINE
USINE, je te soutien. Toi qui nous as permis, permets, PERMETTRA de vivre des univers artistiques aux mille et une facettes.
Je soutiens l’USINE, seul lieu de culture marginal et original de notre cité calviniste.
[…] plus d’info sur www.usine.ch/fight/ […]
Non, l’usine n’est pas qu’une cour de recréation de gauchistes, c’est LE lieu de la culture alternative genevoise. Genève a besoin de son usine !
Il est indispensable de preserver la culture.
Merci pour votre engagement culturel et la diversité que vous entretenez. Bon courage et longue vie à L’Usine !
Parce que l’usine est un lieu mythique qui rayonne dans toute l’Europe, SOUTIEN !
L’Usine DOIT continuer à vivre….c’est le poumon de la scène musicale genevoise!
Je soutiens l’USINE car c est le dernier lieu culte et culturel de Genève, la programmation est unique en son genre pour tous les styles de personnes, jeunes et moins jeunes. Dernier lieu marginal dans cette ville qui devient un peu trop ennuyeuse, je frequente l’Usine depuis plus de 20 ans et cet endroit me plait toujours autant, l’architecture, l’ emplacement, l’ ambiance, l’organisation et bien sur la programmation…sans l’Usine, Geneve ne sera plus Genève. ..
Ne détruisez pas notre famille!
l’usine, organe vital, une histoire, une passion, un bastion….
A préserver, coûte que coûte.
No usine, no geneva
ON NE LACHERA PAS !
L’usine sert de portail à la culture alternative pour tout le bassin Genevois (et plus loin encore) depuis tant d’années que je n’imaginais pas un jours que sa nécessitée soit remise en question. Aux même titre que le jets d’eau, mais peut-être à un niveau qui semble échapper aux politiques, l’Usine est une facette de l’identité Genevoise qui sert de point de ralliement à toute une population. En tant que telle, elle mérite qu’on la considère et qu’elle fasse partie des considérations budgetaires pour le développement culturel Genvois.
Sans la diversité culturelle accueillie, entretenue et préservée à l’Usine, mon travail de chercheur sur la diversité biologique environnementale n’aurait pas pu aboutir. En effet, il aurait été avorté par un défaut de motivation, un manque de soutien moral et un avilissement spirituel. A l’Usine, nombre protagonistes d’une société qui souhaite un réel progrès pour un meilleur futur peuvent venir se rafraichir les idées et se rafermir les convictions. Il faut permettre à l’Usine de pérenniser l’ensemble de ses activités (buvettes, soirées dansantes, concerts, etc, etc).
« La démocratie n’est pas simplement la loi de la majorité, c’est la loi de la majorité respectant comme il convient le droit des minorités. » -Clement Attlee
#FightForlUsine
L’usine ne doit pas être appréhendé comme un fardeau ou poids pour la ville, comme semble le démontrer le Conseil d’Etat. Ceux qui se sont rendus à l’usine, ceux qui sont passés voir un concert ou même boire seulement une bière entre amis, sauront que l’usine représente une force, un lieu concentré de cultures et de classes différentes, un endroit rempli d’histoires et qui fait bon de s’y rendre à toutes occasions. La ville, et pas uniquement ses visiteurs, devrait en être fier et devrait tout faire pour la maintenir en vie ! Bravo pour votre travail à tous. ABE
Que vous le vouliez ou non, l’usine reste un lieu essentiel à la vie nocturne Genevoise.
L’Usine est un lieu unique qu’il faut sauvegarder à tout prix. Toute les cultures, les catégories sociales s’y retrouvent afin de passer un bon moment. Les États veulent tous réduire les inégalités entre le peuple, l’Usine ne les réduits pas, elle les supprime. Conservons l’Usine !
Que dire…ne pas se rendre compte de la nécessité d’un tel endroit et du fonctionnement particulier qu’il nécessite par rapport aux clubs à vocation commerciale, c’est faire preuve d’aveuglement. Malgré tous les côtés négatifs que l’ont peut, le plus souvent à tort, attribuer à l’Usine, cela est loin de compenser le nombre incalculable d’éléments positifs tant sur le plan de la culture que de la diversité sociale. C’est véritablement un lieu humainement beau où tout un chacun est accueilli de la même manière sans privilège ni hiérarchie. Genève ne serait plus la même sans « son » Usine telle qu’elle est.
Gros soutien à tous ceux qui se battent pour la culture et le contact humain ! fight for l’Usine, big up
J’adooooooore l’Usine et faut pas quelle ferme ! La musique et l’ambiance est ouf !!!!!!!!!!
Et je rajoute, car il faut le dire haut et fort…sans l’Usine, on enlève à Genève, une aura culturelle au niveau local et international !
La différence fait la richesse et la force!
Si on asphyxie l’Usine, c’est toute une partie de la population genevoise qui va manquer de souffle et par effet domino, la Ville de Genève entière va manquer d’air !
Je ne peux pas imaginer, même dans mes pires cauchemars, un si bel endroit disparaître!
L’Usine qui, grâce à l’inventivité des personnes qui s’y investissent, sait accueillir un public très divers (jeunes, moins jeunes, en emploi, sans emploi) et des artistes aux multiples facettes !
A l’Usine, cohabitent les différences, ce qui en fait sa richesse et sa force ; alors prenons exemple sur ce savoir faire et ce savoir être, plutôt que de tenter de le faire disparaître !
Madame, Monsieur, Ne préfériez vous pas voir les gens qui fréquentent ce lieu faire la fête dans ces murs plutôt qui traînent dans les rues avec les problèmes que cela peut engendrer, alors donnez leur cette autorisation et que l’Usine vive car les habitués de ce lieu n’iront pas dans les discothèques, clubs ou pubs branchés pour se divertir ce n’est pas de leurs goûts. Il faut garder l’Usine dans les nuits de Genève et vous remercies d’avance de la considération que vous porterez à ce message. Bonsoir
l’Usine est une institution à Genève et un lien direct pour la culture et la diversité musicale genevoise. Il m’est juste impossible d’imaginer la culture genevoise sans l’Usine. Les gens ont besoin de pouvoir se retrouver et de partager dans de tels lieux, de pouvoir s’amuser et s’enrichir culturellement sans devoir se ruiner et ce serait une grave erreur de priver les genevois de ce lieu mythique à mon sens. Alors au lieu de sataniser l’Usine, il vaudrait mieux que les politiques se penchent sur les vrais problèmes de cette société et arrêtent de stigmatiser cette jeunesse qui cherche juste à s’amuser. Je soutiens l’Usine et tous ces membres, tous ceux qui désirent encore pouvoir échanger un minimum et qui ont la force et le courage de proposer une alternative et de la diversité culturelle à cette ville.
Un haut lieu de la culture alternative genevoise, pour ne pas dire Romande… Laissons donc vivre un des derniers lieu de ce genre, ou l’on peut encore faire la fête sans débourser un bras dans des club surfait à l’ambiance fade…. Laissons vivre l’Usine et faisons en sorte qu’elle éveille encore des milliers de jeunes (et de moins jeunes) au bienfaits de la musique électronique et du rock qui tâche, entre autre….
L Usine est un magnifique endroit pour la culture, la musique, de l art et des rencontres. Ne laissons pas un si bel endroit, fermer les portes! Je soutiens l Usine.
Fight for L’usine !! Don’t give up !!
Dernier lieu alternatif mythique à Genève…plus de 20 ans que je le fréquente!!! Il y en a pour tout les goûts…toujours des bonnes déco, du bon son, une organisation au top et surtout des prix plus que raisonnables!! Laissez-nous notre Usine!!!
L’USINE EST UNE INSTITUTION! POINT!
Le seul endroit ou l on peut apprécier different styles electro chaque wknd, Mega soutien a vous! Vox Populi!!
Bonsoir, vos arguments sont justes et votre combat important. Il n’y a pas à séparer les activités et les buvettes, l’Usine est un tout. Vous avez mon soutien.
Amitiés,
AF
Je connais qu’une salle ou tous les décors changent chaque weekend, qu’un endroit ou tu pourra voir des artistes d’aussi prêt, qu’un bar ou tu peux venir discuter et t’amuser tous les soirs, qu’un ciné ou tu sera mieux installé que dans ton canap et qu’un théatre ou… je ne suis jamais allé… Bref je connais qu’un lieu ou tu verra autant de création, d’expérimentation, et de gens différents : L’usine.
Veuillez laisser l endroit dans l etat dans lequel vous l avez trouvé ! Laissez nous nos endroits alternatifs. Un francais qui n ira plus a geneve si il n y a plus d usine !
Mega support pour vous les gars !!!
Une
Simple
Idée
Nous
Englobe,
l’idée que l’Usine doit continuer à exister et à fonctionner comme elle l’a toujours fait.
Si vous ne le faites pas pour nous, faites-le pour votre ville.
Mal jugé, mal aimé, il reste quand même un lieu de rencontre, de partage et de joie.
L’USINE est un lieu Mythique de l’Underground et de la Culture à Genève. Nous vous soutiendrons !!!
Full support, ne lâchez rien
L’Usine est la raison pour laquelle je suis passionné de musique électronique aujourd’hui, je suis devenu dj, producteur et collectionneur de vinyle grâce à toutes ces soirées folles qui m’ont éduqué de ce milieux.
Tous enssmeble pour le mentien de ce lieu ! le berceau de la musique !
Ce lieu ne doit PAS disparaitre !
L’usine est un acteur principal de la scène genevoise pour la culture et la musique ! Laissez la vivre
Un endroit merveilleux qui doit continuer de vivre !
Ils peuvent casser tout les murs autours , détruire nos lieux alternatifs , fermer les squats ,
mais ils ne prendront jamais nos souvenirs .L usine est un point essentiel dans le milieu associatif si ce n est plus la bas on reconstruira comme à chaque fois qu ils ont essayé de
nous dicter nos libertés.
L Usine 4 ever
Continuer la lutte !
On arrête pas un peuple qui danse !!!!
Laisser nous ce lieu magique pour survivre dans cette ville …longue vie à l’Usine, never give up !!!!!!! Courage .
C’est affligeant de constater qu’en prétextant « faire respecter » des pseudo réglementations, les élus se permettent de mettre le couteau sous la gorge d’un lieu qui n’a plus à prouver les multiples bénéfices sociaux, culturels, artistiques qu’il apporte depuis des années à Genève. Un rapport de force déséquilibré et des actions qui ne visent qu’à satisfaire des égos surdimensionnés qui ne supportent pas d’être contrariés dans leurs petites convictions par le mode de fonctionnement alternatif proposé par l’usine… Résistons si on ne veut pas avoir plus que nos yeux pour pleurer!!!
J’y ai travaillé, j’y emmène régulièrement des groupes et j’en ai découvert de grandioses. Longue vie à l’Usine!!!
Soutiens ! Quoi qu’il arrive !
Rébellion ! nous n’allons pas laisser que l’Etat, nous oblige à tenir parole et pas eux !
Oeil pour oeil, dent pour dent. Soutenons l’Usine !
Laissez vivre l’Usine ! Laissez vivre la culture ! Un lieux unique à Genève, que nous défendrons !!
C’est vraiment domage ce qu’ils vous font!! Ne vous laissés pas faire!! On a besoin de l’usine telle qu’elle le est!! De tout coeur avec vous! Résistance!
Alors la décidément ils veulent nous tuer la ville de Genève deja qu’il n’y a pas grand chose a y faire! On se sent toujours bien a l’Usine, arrêtez c’est bientôt l’anarchy ou quoi ?
L’Usine doit continuer à vivre absolument, c’est un lieu culturel incontournable en Suisse Romande, si vous empêchez L’Usine de tourner correctement, vous empêchez le développement de la culture artistique régionale.
De tout coeur avec vous, battons nous !!!
Vive l’usine, vive la différence !!!
S’il faut s’enchaîner au bâtiment, nous le ferons.
Ne faites pas disparaître le dernier endroit bonnard à genève !
Usine has to exist!!!
Le point de ralliement et de rencontre tant de choses se passent entre ses murs
Du haut de votre conseil d’état
Ouvrez vous a la culture
Mr MAUDET et Mme Emery-Torracinta;
Nous connaissons vos motivations premières… Et vous savez très bien qui nous sommes…
Nous avons des idées bien tranchées et éloignées certes.
Mais comme vous le savez il y aura toujours des jeunes utopistes « de gauche » et des vieux cons « de droite ».
Alors, Que pouvons-nous faire ?
Nous battre éternellement comme ils le font à Jérusalem .
Ou trouvez des ententes où nous serons tous gagnants ?
Nous ne voulons pas vous empêcher de penser ce que vous voulez, nous sommes il paraît en « démocratie ».
Mais arrêtez aussi de vouloir contrôler un domaine que vous ne connaissez pas et qui ne vous parle pas: « L’ART »
Cette chose abjecte qui ne respecte ni loi ni foi et ne sera jamais à vos ordres, jamais soumis, jamais mort…
Vous pouvez tuer la « culture » mais celle-ci renaîtra toujours de ses cendres encore plus forte et plus violente si vous le désirez ainsi !
Alors s’il vous plaît monsieur madame nos représentants, essayer de faire preuve de grandeur et de classe.
Soyez les dignes représentants de notre belle humanité qui aspire à devenir ce qu’elle est depuis toujours:
des êtres suprêmes doués d’Intelligence et de compatie… D’amour et d’entraide…
Arrêtez de nous diviser, car vous régnerez seulement sur des terres pourries par vos avarices…
Amicalement vôtre.
Goin
Boule multi-facettes de la culture de notre ville, l’Usine est un lieu indispensable qui ne peut exister que dans son unité. Ce lieu magique est la somme de l’énergie dépensée par une foule de personnes qui se démènent jour après jour et depuis des années afin d’offrir au plus grand nombre un accès à une culture vivante, actuelle, à la fois pointue et populaire. Cet espace merveilleux m’a fait découvrir de nombreux artistes, musiciens, auteurs et je souhaite ardemment que cette belle aventure puisse continuer sous cette forme collective et engagée qui lui sied si bien.
Fight for L’Usine !
l usine , acteur majeur de la culture alternative . ne tuez pas la culture !!!
Notre chez nous quand même à la maison on ne s’y sent plus. Là où tous se retrouvent, point commun qui nous unit. Un pour tous et tous pour l’Usine.
S’ils ne veulent pas que les gens traînent dehors et fassent du bruit qu’ils laissent vivre ces lieux indispensables!
N’essayez pas de faire taire l’un des plus grand centre culturel de genève. Si vous les faites sortir, le reste de la Ville risque d’être envahi et certain feront plus la tronche que d’habitude
De tout coeur avec vous!!
Le festival Black Movie soutien à 100% le combat de l’Usine. Cultivés à l’Usine, Black Movie en a gardé les valeurs et le type de fonctionnement. Nous collaborons chaque édition avec des entités de l’Usine pour le plus grand plaisir des festivaliers et des réalisateurs venus des quatre coins de la planète. Ils sont toujours éblouis par cet espace de créativité et de liberté, plus que précieux dans le monde capitaliste et cynique de 2015.
Vu de France, ce lieu est incontournable à Genève, l’Usine doit subsister et continuer à y produire des événements de qualité afin que la culture alternative puisse subsister !
J’ai découvert l’Usine en 2008 lors d’une soirée DMZ au Zoo, et y suis retourné plusieurs fois par la suite malgrès la distance (j’habitais à Grenoble à l’Epoque), grâce à une programmation et un travail d’équipe remarquable.. loongue vie à ce lieu !
Un endroit unique que beaucoup de monde vous envie où la culture sous de nombreuses formes peut s’exprimer dans de bonnes conditions alors continuez le combat pour continuer exister !
L’Usine est un lieu original qui ne se trouve pas partout! La diversité est importante dans une ville comme Genève. Si vous fermez l’usine vous n’empêcher pas uniquement des Genevois mais toute une communauté (venant des 4 coins de la suisse) de savourer des bon moments !
Je ne suis pas toujours d’accord avec vos prises de position. Mais je soutiens l’Usine de toute mon âme! Ce lieu est essentiel à cette ville déjà bien lisse et formatée. Vive l’Usine, vive la différence! ( mais la différence, ça gêne…)
À garder absolument à Genève, faut tout faire pour et tenir parole. Un lieu unique avec des responsables intelligents.
la liberte d expression encore une fois coupe a la racine.ne lâchez rien!gardez votre cap ,ne doutez pas et ne rentrez pas dans leur moule vive la culture ,le renouveau et l artistique.
Vous êtes super!
Résistance !
Courage à tous . Ne baissez pas les bras . Il ne faut rien lâcher. Bonne continuation
L.usine est un lieu de partage et de rencontre qui est indispensable de part sa diversité de programmation et de gens. J y ai fait des rencontres incroyable au court de ces 20 dernieres années. Jy ai passé les meilleures soirées entre amis, les meilleurs moment improvisés. Ce lieu de partage et de fête fait partie de ma vie et de celle de mes amis. L usine fait en sorte d ammener une contribution culturelle aussi differente de ce qu il.peut y avoir ailleur, alternative et ouverte. Merci l usine et les potos! On se battera.
Un lieu d’expression unique, un lieu où on l’on rencontre des gens qui illumine votre vie.
Un monde sans culture ?!! Pouvez vous l’imaginer ? … enlevez votre identité et votre mémoire ! Aussi celle de votre famille et amis! Ça y est, vous y êtes ! Charmant non ? …
Bien triste la démocratie et la liberté d’expression aujourd’hui !!?
Vous avez tout mon soutien. Je suis moi même dans la même situation. Espérons que l’état devienne plus tolérant avec la culture alternative, les personnes et les lieux qui lui sont associé.
Pour que la Culture reste pluriel et vivante, des lieux comme celui ci doivent toujours exister et les subventionner, n’est pas grand chose aux regards du travail accompli par votre structure qui est impressionnant.
L’Usine est un des dernier lieux alternatif de Genève. Laissons le vivre !
C’est éminemment important de ne pas laisser mourir un lieu comme l’Usine qui a généré tant de choses et rendu si vivant tout un grouillement d’activités, d’échanges, d’œuvres, de rencontres sans intermédiaire et dans la vie vraie, de travail, de créativité, d’invention, d’organisation originale, d’événements étonnants et uniques, d’autres manières de penser, vivre, aimer, travailler, rêver, chercher, cultiver, respirer. La disparition déjà de tant d’endroits comme elle polisse si bien Genève que cela finira par la rendre tout à fait propre et stérile. Il est d’autant plus urgent qu’après elle j’ai le sentiment que tout va s’écrouler, tant la grande Dame est encore la garante du maintient de petites îles de singularités, elle au fond devenue un peu notre Reine-Mère. Longue vie à elle, aussi loin que l’on puisse voir.
l’usine, lieu alternatif institutionnalisé, remplit une fonction nécessaire et cathartique, et il ne serait dans l’intérêt de personne de voir disparaitre un tel endroit fonctionnant comme un coucou suisse, sous peine d’émergences fatales de l »underground » de façon beaucoup moins contrôlée…
L’usine est une famille,Ma famille,Notre Famille!
On ne touche pas à la Famille!!
FIGHT FOR L’USINE 4 EVER
l’usine est un lieu indispensable ou l ‘on fait des découvertes, ou l’on peut s’exprimer ou l ‘on peut faire des rencontres, un lieu qui insuffle de la vie à cette ville.
Défendons l’Usine
L’Usine est un lieu vivant qui mérite de continuer à fonctionner comme il l’a fait jusqu’à présent à satisfaction. Tout ne doit pas être marchandisé et le marché n’a pas toujours raison ! Long live L’Usine !!!
Laissez à nos enfants l’opportunité de choisir que nous avons eu!
Laissez vivre cette grande Dame de la culture.
Laissez à la portée de tous, la possibilité de découvrir ses nombreuses richesses.
Laissez la se gérer seule comme elle a toujours su le faire.
Laissez la vivre.
La politique… ou l’art de détruire ce qui fonctionne très bien ?
Occupez vous plutôt de ce qui ne va pas
et sans perdre de temps
car il y a des problèmes
bien plus graves et importants
à régler dans notre chère ville de Genève…
Bravo et merci à l’USINE pour tous ces moments grandioses
et il y en aura plein d’autres !
un lieu unique, une grande diversité culturelle, des prix abordables pour les entrées des concerts et autres évènements, je ne comprends vraiment pas pourquoi les politiciens s’acharnent sur cette Usine qui fonctionne à merveille depuis 25 ans ! Il faut la laisser vivre, c’est une grande dame et elle se débrouille très bien alors cessez ce mobbing indigne. Vos arguments sont des plus bas et ne tienne pas compte des usagers. Faut-il redescendre dans la rue pour garder cet espace tel qu’il est, tel qu’il a été créé ? Il répond à un besoin d’une partie non négligeable de la population qui aime la culture et qui n’a pas les moyens de se payer des sorties hors de prix. Alors du respect pour cet établissement, qu’il puisse continuer à vivre !!!
Genève sans l’Usine ? C’est à se demander quelle ville on veut…
L’usine est un joyau culturel!
L’usine ne fermera jamais!
Lachez rien!
Merci d’exister et Bravo !!! Il en faut pour tout l’monde dans la vie et vous êtes de ceux qui en donnent généreusement et sans compter !! Bien que certains décideurs n’y soient pas sensibles, c’est de la pure culture avec un énorme « C » qui suinte de ct’équipe. Lieu CULTE et incontournable à Genève !
L.usine est nécessaire
Seul endroit à Genève à s’y sentir encore bien et libre ! Que l’état se concentre sur le concentré de moisissures nocturnes aux quatre coins de Genève !
Salle de concert exceptionnelle de part son accueil mais aussi par sa qualité technique et les affiches proposées. Nous avons joué plusieurs fois dans ce lieu et ce depuis 1999. Cet endroit reste une de nos références au niveau européen. Ici, les gens sont passionnés et le public aussi. Que deviendrait la vie musicale et culturelle de Genève sans l’Usine ?
L’Usine,
Berceau de la pluriculturalité genevoise et parfait exemple de l’entente du mélange de gouts,des genres et fer de lance de la jeunesse d’hier et d’aujourd’hui mais avan tout un lieu de plaisir, de bonheur et non de simple débauche comme beaucoup la jugent. Vous,vendeur de fausses paroles, je vous invites donc a venir partager un réel moment GENEVOIS auprès des vrais acteurs de notre société. Vous qui nous décevez de plus en plus avec votre politique de répression. Dans le cas d’une fermeture totale de notre Usine bien-aimée, tremblez, politichiens, car c’est chez vous (vos bureaux) que nous nous retrouverons pour de plus amples explications. Ma déception ne cesse de grandir…
De tout cœur avec vous !!!
JE SUIS L’USINE !
Ce lieu culturel est une fierté! Vos conseillers d’état devraient s’en rendre compte!
FREE FIGHT ! <3
Si l’usine meurt, Genève meurt!
Un lieu de fête, de culture, de musique, d’échange. Un lieu qui reflète une image multi ethnique et multiculturelle de la cité de Calvin.
J’y ai fait des rencontres enrichissantes, des connections musicales, des soirées pleines d’énergie.
C’est un endroit parfait pour vivre sa liberté à fond, pas cher pour les jeunes, proche de tout, j’ai eu la chance de participer à une émission de Radio Usine, de vivre l’usine pleinement et dans on ensemble.
C’est aussi lieu de rendez-vous, un point de repère de ma ville native, où toutes les générations se mélangent et s’observent.
Des open mics de la Maknho aux soirées Drum&Bass en passant par le hall d’entrée chaleureux et accueillant les nuits d’hiver glacial.
L’Usine dans sa globalité alimente les mouvements culturels Genevois depuis plus de 20 ans et cela ne doit pas s’arrêter.
Gardons l’idéologie de l’Usine telle qu’elle l’a toujours été; alternative et indépendante.
Fight for l’Usine !
Plus qu’un lieu culturel, l’usine est un véritable lieu de vie, ou tout style de musiques et de personnes se mélangent. Un établissement de ce type est indispensable, nous l’enlever serait comme nous enlever une véritable source d’enrichissement, de bonnes ondes, et surtout de bons souvenirs. Fight for usine !
Ca serait vraiment débile pour Genève de couler l’Usine..
Merci de nous laisser l’unique endroit à geneve qui ne coute pas quarante mille balles pour écouter de la musique de merde et qui est ouvert à tout le monde.
Tous les lieux alternatifs de Genève disparaissent peu à peu et la ville meurt avec ces disparitions. Ne le voyez-vous donc pas? FIGHT FOR L’USINE! Fight pour la liberté, fight pour la différence!
L’usine.. ou comment découvrir la vie nocturne ! A l’époque on pouvait y aller dès 16ans, imaginez la fierté de pouvoir annoncer à ses potes : j’ai enfin 16ans, je peux aller à l’usine ET boire des bières ! Elle passait avant le reste, les concerts variés qui enthousiasme la jeunesse Genevoise, qui n’est pas trop soutenue (OK y’à le skatepark mais bon, cela ne s’adresse qu’aux skaters, bmx etc.) Gardons en vie ce lieu mythique Genevois ! L’usine est morte, Vive l’usine !
Soutient total à l’USINE fabrique de possibles ! Et halte à la droite qui veut la casser, comme elle veut enterrer la Nouvelle Comédie, et fragmenter la culture.
OUI à l’USINE. NON au terrorisme culturel de la droite!
Soutien à l’Usine de Seine-et-Marne.
Soutien pour des lieux par et pour tous, de vie, de réflexions et de création.
« L’ambition de l’anarchisme n’est pas de détruire la société, mais d’éliminer de la société tout pouvoir disposant d’un droit de contrainte sur l’individu »
Si vous nous enlevez ou etouffez l’activité de l’Usine, vous nous arrachez une partie de notre identité tout simplement ! Notre devise est Post Tenebras, alors respectez-la et cessez de vois comporter comme aux temps sombres de la censure ! Vive l’Usine libre
Petit a petit tous les lieux comme celui-ci disparaissent en Europe et les conséquences sont très grave les artistes sont en voie de disparition!
Longue vie aux espaces culturels en Suisse! L’Usine est un endroit unique qui mérite sa place en ville de Genève. Courage, battons-nous.
L’Usine est un exemple à suivre! Avant-garde, diverse, tolérante, libre et ouverte, voila un lieu qui nous fait prendre de la hauteur, qui nous ramène à notre humanité. Merci l’usine pour toutes ces découvertes, ces sensations, ces rencontres, ces émotions, merci d’avoir contribué à mon devenir. Souvenirs il y eut et souvenirs il y aura, compte sur moi!
Fight for l’Usine, fight for cultur, fight for freedom!
La culture est une partie fondamental d’un pays, d’une ville. L’usine est culture, culture vive, et un lieu de réference pour de centaines de personnes.
Longue vie à l’usine!
Pour que toutes les cultures puissent s’exprimer et que tout un chacun ait un lieu d’échanges et de rencontres, l’Usine doit vivre !
Tout le Botox est derrière vous !!!
La Culture, la Liberté et l’Epanouissement artistique de la région genevoise doit avoir des endroits comme l’Usine pour laisser le Vivant de l’Homme s’ébattre naturellement et simplement… Longue vie à l’Usine 🙂
Salut l’Usine,
La seule fois ou j’ai No Use For A Name c’était chez toi. Un dimanche soir fin janvier alors que j’étais encore étudiant à Besancon. Respect éternel uniquement pour ce concert !
Depuis Tony Sly est décédé mais je continue d’écouter No Use For A Name tous les jours.
Fin aout je suis revenu chez toi voir Bad Religion et c’était le meilleur concert que j’ai vu d’eux.
Donc longue vie à l’Usine et bon courage à toute l’équipe.
++
Ben
Un lieu incroyable, qui ne juge personne, où tout le monde peut venir sans discrimination. Un lieu magique, rempli de culture, de bons sons,de convivialité.
Un espace qui permet à toutes et à tous de pouvoir se retrouver pour vivre de futurs souvenirs mémorable.
Ce lieu est unique et il faut le préserver.
Fight for l’usine!
KEEP IT UP L’USINE! On se battra avec toi! Bisous
Une ville sans culture alternative est une ville morte!
Genève ne peut tout simplement pas se passer de l’Usine…!
Longue vie à vous <3
L’usine est vraiment un endroit ou tout est possible ou tout le monde trouve sa place. C’est l’un des club les plus connu de La Suisse romande alors pourquoi vouloir mettre des bâtons dans les roues d’une organisation présente depuis très longtemps et qui sait se gérer d’une main de fer. Genève ne sera plus pareil sans l’Usine et notre vie étudiante bien moins attractive. Merci à l’usine et battez vous, en tout cas nous vous envoyons tout notre soutien !
C’est INACCEPTABLE ! Sauvegardons nos droits, nos libertés, battons-nous pour l’Usine, qui subit un chantage épouvantable, passé sous silence par les politiques et le DIP! Il y a peu, on se battait pour la liberté d’expression, l’Usine, elle aussi, s’exprime! Ce chantage, c’est la censurer, si on ne fait rien, on se bâillonne nous-même. Un consensus a été trouvé, il doit être respecté. Et puis, au-delà de tout cela, a-t-on envie que l’un des lieux culturels et de fête les plus dynamiques de Genève soit un jour fermé? NON. Il faut les aider, pousser le débat dans une ambiance propice aux solutions … COURAGE l’USINE!
C’est énervant et triste en même temps que nos conseillers d’État veulent diviser une structure regroupant plusieurs collectifs et associations, lieu incontournable de la culture alternative à Genève. L’Usine rayonne par son fonctionnement et par la possibilité à toutes personnes de s’épanouir lors de concerts, de découvertes artistiques, de théâtre et autres atelier à des prix plus que raisonnables.
Pauline
L’Usine est un lieu vivant qui est en passe d’être le dernier de son espèce à Genève. L’Usine c’est plus qu’une boîte de nuit comme certains aiment à la réduire, c’est aussi et surtout des concerts, du cinéma, du théâtre et bien d’autres choses encore. C’est aussi un lieu social important qui malgré ses défauts, rempli un besoin essentiel de la culture alternative.
« Don’t fight it,feel it »
Primal Scream
To me Usine is this,not a place,a building…
It’s a feeling
Un lieu de culture unique et historique, c’est une richesse de la ville que beaucoup de nous envie! voyez la chance d’avoir en les murs de la cité de calvin, une telle perle, où tous les arts peuvent s’exprimer librement!
Fermer l’usine c’est fermer vos esprit, à moins que le deuxième cas soit déja un fait…
Comme tout lieu culturel, qui plus est qui touche à mon art préféré à savoir la musique, je ne pourrais apporter que mon soutien, notamment lorsque ces derniers se retrouvent mis en danger par le fait d’actions politiques, institutionnelles ou autres. De plus, si je ne connais pas historiquement l’Usine, ce lieu respire la sincérité, l’engagement et la passion. Full Support de la part d’un Lyonnais qui sait très bien la lutte permanente qui occupe bon nombre de salles de concerts et lieux culturels pour survivre.
Plus d’Usine…plus de vie culturelle à Genève. Fight for L’Usine!
L’usine n’est pas une boîte de nuit, l’usine est un lieu culturelle, un lieu de rencontre, on s’y sent chez nous! Alors de tous mon coeur « Fight 4 Usine » !
L’usine est un haut lieu de la culture musicale underground en tout genre, son action doit absolument perdurer pour que de génération en génération on puisse continuer à y découvrir des styles et des talents que l’on ne voit pas ailleurs et ce dans une atmosphère de liberté de plus en plus rare à notre époque !!!
Force & courage à l’usine !!!!
Full support de Grenoble
Haut lieu de culture et de création, de rencontres d’univers, aujourd’hui une référence pour les touristes qui aiment Genève et les Genevois et ne cherchent pas seulement à passer un dejeuner a l’entrecote au milieu d’une ville fantôme.
Touriste parisienne amoureuse de la Suisse.
Ne plus continuer à soutenir le travail de créativité de l’usine signifie arrêter de nourrir la cité de ses recherches artistiques non conventionnelles. De plus c’est l’argent généré par la loterie romande qui finance ce projet. La loterie qui est bien un organisme de rêve pour ceux qui achètent un billet. Alors pourquoi empêcher la création et le rêve à l’Usine? Oui soutenons l’Usine !
Battons nous pour l’usine, un des derniers remparts face à la mauvaise musique et à l’inculture. L’usine ne doit pas être considéré comme une simple boite de nuit. L’usine c’est bien plus que ça. C’est un des rares endroits ou il est encore possible de se cultiver.
L’usine, de par sa bonne sélection prône de véritables valeurs autre qu’un simple profit. L’usine n’a pas pour but de se comporter comme un lieu de consommation destiné au profit. l’Usine enfin, c’est la liberté. Tenter de fermer l’Usine, c’est tenter de restreindre nos libertés. Et si il faut se battre pour conserver ce lieu, alors soit. J’affirme que l’Usine restera ouverte car notre parole est plus forte que deux magistrats.
Une initiative dont beaucoup de collectivités seraient fières grâce au dynamisme artistique et aux valeurs qu’elle apporte! Un manque de discernement total vis-à-vis de cette institution qu’est l’Usine.. Faites preuve de bon sens!
L’usine est un des piliers d’une autre culture, une institution hors des institutions. Il est aberrant qu’aujourd’hui encore, dans le monde multi-culturel et trans-disciplinaires du XXIeme siècle, l’état pense judicieux de cloisonner des activités à des murs en fermant les portes à un monde de possible et de dialogues entre acteurs, activités et consommateurs de cultures.
Le chantage actuel met malheureusement à jour les dysfonctionnement de l’Etat, qui bien qu’ayant mis en place une réforme ne sait pas ou n’ose pas projeter Genève dans le présent. Les lois doivent correspondre à la société qu’elles régisse et si celles-ci ne sont pas adaptées, ils est du devoir des élus de les changer.
Quelle libertés reste-t-il, lorsqu’il est interdit de manger et danser au même endroit?
L’usine est une couleur locale. .. elle fait partie de notre patrimoine, elle est ce qui donne à Genéve du caractère, de la vie, de la culture, celle qui échappe et qui doit rester libre.
Le New York Times écrivait à propos d’une culture alternative qui se meurt à Genève en 2011 suite à un article paru dans Le Temps…
Ne laissons pas l’Usine perdre sa façon de fonctionner. Ne laissons pas l’Usine perdre ce qui fait son identité. Ne laissons pas l’Usine perdre sa gestion qui fait sens. Ne laissons pas l’Usine mourir.
Ne sabotons pas l’Usine.
Merci pour eux, merci pour nous.
La Cave à Musique à Mâcon (F) est née juste après l’Usine et je ne peuX que me souvenir de mon premier concert à L’Usine : Noise Gate. Depuis, L’Usine est restée et demeure le lieu où je passe quand je suis à Genève. Vous avez, comme d’hab, tout mon soutien même si mon courrier du 16 avril 2015 à Maudet et son « accusé de réception » du 20 avril mentionnant qu’il a retenu sa meilleure attention et dont il m’a remercié n’auront, bien évidemment, servi à RIEN dans sa morbide réfleXion.
Que cet homme sache qu’il n’est que temporairement élu et/ou « en poste », qu’il sache aussi que ses vices n’ont rien à voir avec nos vertus et les valeurs de liberté et de tolérance que nous défendons.
Sans L’Usine, ce monsieur va se retrouver à devoir « gérer » d’autres problèmes auxquels soit il ne s’attend même pas, soit qu’il « cherche » pour s’abreuver de son pouvoir maléfiK auréolé de ses vanités bientôt exsangues…
Homme sans parole et sans âme, pauvre de lui ! HONTE SUR LUI !
Vous, toute l’équipe de L’Usine, à tous les étages, vous donnez beaucoup et vous avez tout mon respect et mes remerciements.
A tout bientôt,
= Ninus =
Fight avec vous tous for L’USINE !
Sinon je ne viens plus à Genève 😉 bisou à toute l’équipe
Vive l’Usine ! oui, VIVE L’USINE !
Depuis presque 20 ans, je grandis grâce à ce lieu et aux gens qui le font vivre.
Musiques, théâtres, arts plastiques, rencontres, perfos, découvertes multiples qui continuent à me former et à me dé-formater.
L’Usine connue bien au-delà de ces simples alentours.
L’Usine, pierre fondatrice et inspiratrice d’une culture qui touche et concerne les êtres humains,
contrariant la vacuité de ce tas d’ordure qu’on nous vend comme culture.
Qu’on se le dise : sans l’Usine, Genève signe sa descente vers les enfers de la bêtise.
Vive l’Usine, incubateur d’art et d’expression sociale!
Jet d’eau, horloge fleurie, l’Usine, c’est Genève quoi…
Bonjour Messieurs-dames de notre Etat,
Nous aimerions avoir dans notre Etat, des lieux de culture, où les artistes puissent aussi être barmen-women, homme ou femmes de ménage, ouvreurs-euses, heureux-euses si cela leur chante. Où la créativité et la vie puisse prendre toutes les formes, où nous pourrions nous rendre en étant fiers de notre Etat quel que soit notre état! Nous aimerions garder une culture vivante grâce au respect fait à leurs acteurs (trices) par les fonctionnaires de notre Etat.
Merci
L’Usine, c’est toute ma jeunesse. L’Usine m’a apris a chercher la liberté et a la nourrir quand je la trouve. Je suis fier d’habiter une ville qui a su créer un espace aussi beau.
Un petit mot en provenance du sud de la France pour dire toute l’importance de l’Usine, dans le paysage artistique et alternatif européen. Puisse Genève entendre le juste appel de cette structure humaniste, fiable, intègre, créatrice, et prendre conscience de « l’utilité » d’un pareil lieu culturel dans la cité. « Le mal qui est dans le monde vient presque toujours de l’ignorance » – La Peste, A. Camus
Usine, dans notre ville, dans notre culture, dans nos repères, notre histoire, notre héritage, nos coeurs…
Français (et non frontalier), c’est l’Usine qui m’a découvrir Genève et c’est l’Usine qui m’y fait retourner toujours plus, allant à y passer un week-end ou plus en profitant d’y voir un concert ou plusieurs selon la programmation. Genève et l’Usine sont pour moi deux entités totalement indissociables.
Étonnamment, alors que je découvre toujours plus la ville, c’est toujours vers l’Usine que mes pieds reviennent comme inéluctablement attiré par ce lieu, véritable centre névralgique culturel de création, d’ouverture, de générosité, de liens entre et par des publics qui font de l’humain une règle d’or sur laquelle baser nos rapports. L’Usine est un lieu de vie, au sens le plus noble du terme, et c’est bien peut-être l’un des seuls de la ville à avoir ce rayonnement international.
Par international, j’entends la qualité et la diversité de la programmation qui y est offerte, surtout ces dernières années avec des pointures qu’aucun autre endroit en ville n’aurait su accueillir avec autant de cachet, de crédibilité et de savoir-faire que ceux que l’Usine a su développer et capitaliser après toutes ces années.
En ce sens, l’acharnement du préfet Maudet à mettre des bâtons dans les roues au bon fonctionnement de l’Usine est aussi révoltant que stupide; que veut-il faire de Genève?
Se priver de l’Usine reviendrait à éteindre un peu plus une ville qui possède déjà bien trop peu de lieux dans lesquels un semblant de rayonnement culturel réel et créateur peut être vu luire. Se battre pour l’Usine, c’est ce battre pour ce rayonnement et tout acte contraire relève d’une certaine forme de malhonnêteté intellectuelle et morale.
Fight for l’Usine!
Diversité culturelle, générosité des acteurs du site, un dynamisme qu’on ne peut pas trouver ailleurs ! A ne pas laisser disparaître, ce sont des années d’expérience et d’inventivité qui font le terreau !
Nous soutenons l’Usine sur l’ensemble de ses revendications, le vivier qu’elle a toujours représenté nous ravit, nous donne de l’espoir depuis le début d’Etat d’Urgences et nous rend fiers par sa présence à Genève : créative, combattive et autogérée, indivisible et formidable.
L’Usine est bien trop précieuse pour se laisser transformer par les mains formatées et anti – artistiques de cette politique culturello-mortifère qu’entretient la ville se Genève depuis quelques années.
L’Usine fait partie de mes lieux de coeur Genevois.
Je croise les doigts pour que celui – ci ne disparaisse pas non plus…
Halte au formatage de nos vies!
Nous ne voulons pas devenir de petits baudets bien proprets rasant les murs, profils bas à la sortie du turbin ou du chômedu pour aller s’enterrer vivants dans de lugubres clapiers hors de prix avec comme seule muse notre télécommande TV.. ceci pour permettre à une poignée d’arrivistes de péter plus haut que leurs culs.
L’Usine est un vivier de culture, de rencontres, de réalisations, de convivialité, un laboratoire d’expériences humaines collectives et un des rares espaces d’expression accessible à un très large public à Genève.
L’Usine crée des passerelles avec ses buvettes entre les différents publics et acteurs culturels qui la fréquentent.
Ces bars ont une utilité artistique et sociale globale qui forge au quotidien l’identité de l’Usine et ouvrent de nouveaux terrains de découvertes au public. Ils sont aussi indivisibles que l’est l’Usine dans son fonctionnement et sa raison d’exister.
Si M. Maudet veut transformer Genève en un vaste cimetière St-Georges, je lui prédis de sérieux ennuis.. Montrons-lui que nous n’avons aucune envie d’être enterrés vivants.
Longue vie à l’Usine interdisciplinaire, accessible, autogérée et indivisible !
Olivier Stoffel
Fight pour L’Usine ! Fight pour l’indépendance artistique et culturelle !
L’Usine n’est pas morte, vive l’Usine !
25 ans de bons et loyaux services, ne vous en déplaise. Et pas un merci?
Allons, Benoît, épuisez-moi; ça tombe bien, j’ai mes vapeurs.
Détendez-vous et laissez L’Usine faire ce qu’elle fait de mieux: enluminer de ses charmes les cieux un peu froids de votre cité!
You have my support in the fight to keep your vibrant cultural, artististic and political view!
Hold on!
You gotta fight for your (Our) right to party – Kick it!!!